BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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100 portraits contre l'état policier / Collectif Cases Rebelles (2010)
Titre : 100 portraits contre l'état policier Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif Cases Rebelles (2010), Auteur Editeur : Paris : Syllepse Année de publication : 2017 Importance : 275 Format : 19cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-544-1 Prix : 10€ Langues : Français (fre) Concepts : Sans schéma
Violence policièreRésumé : Ce livre est né de la volonté de rendre visible le flux permanent de personnes qui meurent victimes de l’État policier français.
Elles ont été étouffées, abattues, percutées, battues à mort, lors de contrôles, d’arrestations, d’expulsions, de mouvements sociaux, ou dans d’autres circonstances encore, par des policiers, des gendarmes.
Cases Rebelles, s’empare ici de la forme du portrait militant, hérité de l’art mural, du graff, d’artistes activistes comme Emory Douglas, et largement réactivé dans les mouvements actuels contre la police raciste aux États-Unis, avec Oree Originol notamment.
Le dessin rompt avec la froideur clinique des listes. Facilement diffusable, affichable, il est une tentative de reprendre la rue et ses murs.
Le récit des circonstances et des suites judiciaires permet de saisir comment toutes ces petites histoires, souvent tombées dans l’oubli, forment la grande Histoire de la domination policière en France et son caractère à la fois de classe, raciste et colonial.
Quelques familles ont obtenu une forme de reconnaissance et de justice, mais dans leur grande majorité, elles ont fait face à l’impunité.De 1948 à 2016, chaque portrait est accompagné d’un résumé des circonstances de la mort et des suites judiciaires éventuelles.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9835 100 portraits contre l'état policier [texte imprimé] / Collectif Cases Rebelles (2010), Auteur . - Paris : Syllepse, 2017 . - 275 ; 19cm.
ISBN : 978-2-84950-544-1 : 10€
Langues : Français (fre)
Concepts : Sans schéma
Violence policièreRésumé : Ce livre est né de la volonté de rendre visible le flux permanent de personnes qui meurent victimes de l’État policier français.
Elles ont été étouffées, abattues, percutées, battues à mort, lors de contrôles, d’arrestations, d’expulsions, de mouvements sociaux, ou dans d’autres circonstances encore, par des policiers, des gendarmes.
Cases Rebelles, s’empare ici de la forme du portrait militant, hérité de l’art mural, du graff, d’artistes activistes comme Emory Douglas, et largement réactivé dans les mouvements actuels contre la police raciste aux États-Unis, avec Oree Originol notamment.
Le dessin rompt avec la froideur clinique des listes. Facilement diffusable, affichable, il est une tentative de reprendre la rue et ses murs.
Le récit des circonstances et des suites judiciaires permet de saisir comment toutes ces petites histoires, souvent tombées dans l’oubli, forment la grande Histoire de la domination policière en France et son caractère à la fois de classe, raciste et colonial.
Quelques familles ont obtenu une forme de reconnaissance et de justice, mais dans leur grande majorité, elles ont fait face à l’impunité.De 1948 à 2016, chaque portrait est accompagné d’un résumé des circonstances de la mort et des suites judiciaires éventuelles.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9835 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105207 Sécuritaire Portraits Livre Bibliothèque principale Disponible Abécédaire de la société de surveillance / David Forest
Titre : Abécédaire de la société de surveillance Type de document : texte imprimé Auteurs : David Forest, Auteur Editeur : Paris : Syllepse Année de publication : 2009 Collection : Arguments et mouvements, ISSN 1294-6508 Importance : 1 vol. (134 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-231-0 Prix : 7,00 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Surveillance électronique Aspect politique France Aspect social Informatique et liberté Index. décimale : 323.4 Droits civils spécifiques, limitation et suppression des droits civils Résumé : Nous vivons dans une société de surveillance sur les ruines de l'anonymat balayé par la marchandisation de toute chose et l'extension sans borne du fichage policier.
Ce laisser-faire a conduit à accorder une confiance inquiétante aux dispositifs techno-sécuritaires (caméras, puces électroniques, biométrie, tests ADN, fichiers de police, etc.).
Quelques en sont les causes et manifestations ? Comment et selon quelles logiques ces technologies sont-elles réglementées ? Qu'attendre de la CNIL ?
Autant de questions auxquelles cet ouvrage propose des clefs de compréhension pour éclairer la plupart des débats contemporains (statistiques ethniques, dossier médical personnel, lutte antipiratage et « loi Hadopi », etc.).
Il y a urgence à réintroduire ces questions dans le champ politique car surveiller c'est punir.Note de contenu : Notes bibliogr. Glossaire Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3374 Abécédaire de la société de surveillance [texte imprimé] / David Forest, Auteur . - Paris : Syllepse, 2009 . - 1 vol. (134 p.) : couv. ill. en coul. ; 17 cm. - (Arguments et mouvements, ISSN 1294-6508) .
ISBN : 978-2-84950-231-0 : 7,00 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Surveillance électronique Aspect politique France Aspect social Informatique et liberté Index. décimale : 323.4 Droits civils spécifiques, limitation et suppression des droits civils Résumé : Nous vivons dans une société de surveillance sur les ruines de l'anonymat balayé par la marchandisation de toute chose et l'extension sans borne du fichage policier.
Ce laisser-faire a conduit à accorder une confiance inquiétante aux dispositifs techno-sécuritaires (caméras, puces électroniques, biométrie, tests ADN, fichiers de police, etc.).
Quelques en sont les causes et manifestations ? Comment et selon quelles logiques ces technologies sont-elles réglementées ? Qu'attendre de la CNIL ?
Autant de questions auxquelles cet ouvrage propose des clefs de compréhension pour éclairer la plupart des débats contemporains (statistiques ethniques, dossier médical personnel, lutte antipiratage et « loi Hadopi », etc.).
Il y a urgence à réintroduire ces questions dans le champ politique car surveiller c'est punir.Note de contenu : Notes bibliogr. Glossaire Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3374 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100287 Sécuritaire SURVEILLANCE Livre Bibliothèque principale Disponible Blanquer, un libéralisme autoritaire contre l'éducation
Titre : Blanquer, un libéralisme autoritaire contre l'éducation Type de document : texte imprimé Auteurs : Alex Trani, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Fondation Copernic, Editeur scientifique Editeur : Paris : Syllepse Année de publication : DL 2018 Collection : Les Notes de la Fondation Copernic Importance : 1 vol. (159 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-684-4 Prix : 8 EUR Langues : Français (fre) Résumé :
Blanquer ? Inconnu en dehors des cercles dirigeants de l’éducation nationale à sa nomination comme ministre en mai 2017. Aujourd’hui, une forte notoriété et un passage en février à « L’émission politique » en prime time. Il est le seul ministre dans ce cas.
Macron le met beaucoup en avant et son image de marque, au moins telle que peuvent la mesurer les sondages, est bonne.
La Fondation Copernic veut ici dissiper l’écran de fumée. Blanquer puise son inspiration dans les cercles patronaux. Il a participé aux politiques de droite Chirac-Sarkozy.
Son programme est un mélange d’autoritarisme pédagogique, de déréglementation et d’assujettissement de l’école au patronat.
Et les défis d’une culture commune à toute la jeunesse pour en finir avec les scandaleuses inégalités scolaires, construire une mondialisation humanisée, maîtriser un monde si changeant et participer à la mutation écologique et à la transition numérique, n’y trouvent en rien leur compte.
La mobilisation doit se construire pour faire prévaloir d’autres valeurs et d’autres choix.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9905 Blanquer, un libéralisme autoritaire contre l'éducation [texte imprimé] / Alex Trani, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Fondation Copernic, Editeur scientifique . - Paris : Syllepse, DL 2018 . - 1 vol. (159 p.) ; 19 cm. - (Les Notes de la Fondation Copernic) .
ISBN : 978-2-84950-684-4 : 8 EUR
Langues : Français (fre)
Résumé :
Blanquer ? Inconnu en dehors des cercles dirigeants de l’éducation nationale à sa nomination comme ministre en mai 2017. Aujourd’hui, une forte notoriété et un passage en février à « L’émission politique » en prime time. Il est le seul ministre dans ce cas.
Macron le met beaucoup en avant et son image de marque, au moins telle que peuvent la mesurer les sondages, est bonne.
La Fondation Copernic veut ici dissiper l’écran de fumée. Blanquer puise son inspiration dans les cercles patronaux. Il a participé aux politiques de droite Chirac-Sarkozy.
Son programme est un mélange d’autoritarisme pédagogique, de déréglementation et d’assujettissement de l’école au patronat.
Et les défis d’une culture commune à toute la jeunesse pour en finir avec les scandaleuses inégalités scolaires, construire une mondialisation humanisée, maîtriser un monde si changeant et participer à la mutation écologique et à la transition numérique, n’y trouvent en rien leur compte.
La mobilisation doit se construire pour faire prévaloir d’autres valeurs et d’autres choix.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9905 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105250 Pédagogie FRANCE Livre Bibliothèque principale Disponible Brûler les prisons de l'apartheid / Natacha Filippi
Titre : Brûler les prisons de l'apartheid : révoltes de prisonniers en Afrique du Sud Type de document : texte imprimé Auteurs : Natacha Filippi, Copiste, scribe Editeur : Paris : Syllepse Année de publication : 2012 Collection : Arguments et mouvements, ISSN 1294-6508 Importance : 1 vol. (245 p.-[7] p. de pl.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-323-2 Prix : 10 EUR Note générale : Bibliogr. p. 241-243 Langues : Français (fre) Catégories : Enfermement:Prisons Index. décimale : 365 Etablissements pénitenciaires Résumé : Le 27 avril 1994 se déroulent les premières élections démocratiques multiraciales d'Afrique du Sud. Cette année restera gravée dans la mémoire nationale comme le symbole de la chute définitive du régime d'apartheid et de la naissance d'une nouvelle société, la « rainbow nation ». Pour les prisonniers confinés aux marges de la société, l'année 1994, loin de représenter la concrétisation du rêve de chacun, est une période de lutte intense, où la frustration et la rage de ne pas pouvoir participer à l'élaboration de cette nouvelle société se muent en mutineries et violences incendiaires.
Les premiers « troubles » surgissent dès 1991 dans la prison de Pollsmoor, réputée dans tout le pays pour sa violence et ses conditions de vie extrêmes. Le mouvement s'étend ensuite aux autres établissements pénitentiaires. Jusqu'en 1994, ces derniers seront secoués de façon sporadique par des grèves de la faim, des refus collectifs de remonter de promenade et des altercations toujours plus brutales entre prisonniers et gardes.
Les prisonniers se rassemblent autour des trois gangs alliés les plus puissants au sein des prisons sud-africaines : les 26s, les 27s et les 28s, qui organisent ainsi des mutineries aux dimensions inédites. Mais la violence que les prisonniers peuvent diriger contre les gardes n'est pas suffisante pour provoquer une réaction de l'opinion publique. La mise à feu des cellules est alors utilisée comme moyen d'auto immolation. Les prisonniers tentent ainsi de révéler le caractère mortifère de la logique carcérale qui nie leur droit à exister en tant que citoyens et sujets agissants.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6311 Brûler les prisons de l'apartheid : révoltes de prisonniers en Afrique du Sud [texte imprimé] / Natacha Filippi, Copiste, scribe . - Paris : Syllepse, 2012 . - 1 vol. (245 p.-[7] p. de pl.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Arguments et mouvements, ISSN 1294-6508) .
ISBN : 978-2-84950-323-2 : 10 EUR
Bibliogr. p. 241-243
Langues : Français (fre)
Catégories : Enfermement:Prisons Index. décimale : 365 Etablissements pénitenciaires Résumé : Le 27 avril 1994 se déroulent les premières élections démocratiques multiraciales d'Afrique du Sud. Cette année restera gravée dans la mémoire nationale comme le symbole de la chute définitive du régime d'apartheid et de la naissance d'une nouvelle société, la « rainbow nation ». Pour les prisonniers confinés aux marges de la société, l'année 1994, loin de représenter la concrétisation du rêve de chacun, est une période de lutte intense, où la frustration et la rage de ne pas pouvoir participer à l'élaboration de cette nouvelle société se muent en mutineries et violences incendiaires.
Les premiers « troubles » surgissent dès 1991 dans la prison de Pollsmoor, réputée dans tout le pays pour sa violence et ses conditions de vie extrêmes. Le mouvement s'étend ensuite aux autres établissements pénitentiaires. Jusqu'en 1994, ces derniers seront secoués de façon sporadique par des grèves de la faim, des refus collectifs de remonter de promenade et des altercations toujours plus brutales entre prisonniers et gardes.
Les prisonniers se rassemblent autour des trois gangs alliés les plus puissants au sein des prisons sud-africaines : les 26s, les 27s et les 28s, qui organisent ainsi des mutineries aux dimensions inédites. Mais la violence que les prisonniers peuvent diriger contre les gardes n'est pas suffisante pour provoquer une réaction de l'opinion publique. La mise à feu des cellules est alors utilisée comme moyen d'auto immolation. Les prisonniers tentent ainsi de révéler le caractère mortifère de la logique carcérale qui nie leur droit à exister en tant que citoyens et sujets agissants.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6311 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 101730 Enfermements HISTOIRE Livre Bibliothèque principale Disponible Changer le monde sans prendre le pouvoir / John Holloway
Titre : Changer le monde sans prendre le pouvoir : le sens de la révolution aujourd'hui Type de document : texte imprimé Auteurs : John Holloway (1947-....), Auteur ; Sylvie Bosserelle, Traducteur Editeur : Paris : Syllepse Année de publication : 2007 Autre Editeur : Montréal (Québec) : Lux Collection : Utopie critique Importance : 1 vol. (317 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84950-142-9 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Résumé : Dans son livre Changer le monde sans prendre le pouvoir, Holloway mène une analyse théorique et politique de ce que portent les mouvements sociaux depuis le milieu des années 1990 — impulsés notamment par la révolte zapatiste en 1994. Holloway montre que ces mouvements luttent pour un changement radical, mais dans des termes qui n’ont rien à voir avec la radicalité des luttes antérieures qui visaient la prise du pouvoir d’État. Ils sont plutôt en rupture avec la théorie marxiste classique de la révolution, qui se centre uniquement sur la prise du pouvoir institutionnel. Holloway s’interroge sur la manière de reformuler notre compréhension de la révolution en tant que lutte contre le pouvoir et non pas pour le pouvoir. Après un siècle de tentatives manquées visant à mener des changements radicaux, et ce, autant du côté des révolutionnaires que de celui des réformistes, le concept de révolution est entré en crise. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8633 Changer le monde sans prendre le pouvoir : le sens de la révolution aujourd'hui [texte imprimé] / John Holloway (1947-....), Auteur ; Sylvie Bosserelle, Traducteur . - Paris : Syllepse : Montréal (Québec) : Lux, 2007 . - 1 vol. (317 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Utopie critique) .
ISBN : 978-2-84950-142-9 : 20 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Résumé : Dans son livre Changer le monde sans prendre le pouvoir, Holloway mène une analyse théorique et politique de ce que portent les mouvements sociaux depuis le milieu des années 1990 — impulsés notamment par la révolte zapatiste en 1994. Holloway montre que ces mouvements luttent pour un changement radical, mais dans des termes qui n’ont rien à voir avec la radicalité des luttes antérieures qui visaient la prise du pouvoir d’État. Ils sont plutôt en rupture avec la théorie marxiste classique de la révolution, qui se centre uniquement sur la prise du pouvoir institutionnel. Holloway s’interroge sur la manière de reformuler notre compréhension de la révolution en tant que lutte contre le pouvoir et non pas pour le pouvoir. Après un siècle de tentatives manquées visant à mener des changements radicaux, et ce, autant du côté des révolutionnaires que de celui des réformistes, le concept de révolution est entré en crise. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8633 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104296 Socialisme HOLLOWAY Livre Bibliothèque principale Disponible Comment nous ferons la révolution / Émile Pouget
PermalinkLa commune du Rojava
PermalinkContre Benoît XVI / Jocelyn Bézecourt
PermalinkContre la dictature des marchés
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLes dispensaires autogérés grecs / Christine Chalier
PermalinkL' ennemi principal., 1. Economie politique du patriarcat / Christine Delphy
PermalinkL' ennemi principal, 2. Penser le genre / Christine Delphy
PermalinkEPR : l'impasse nucléaire / Frédéric Marillier
PermalinkL'Europe des citoyens
PermalinkLes extrêmes droites en France / Jean-Paul Gautier
PermalinkFascisme et grand capital / Daniel Guérin
PermalinkLa galaxie Dieudonné / Michel Briganti
PermalinkGéographie et capital / David W. Harvey
PermalinkHomosexualité, mariage et filiation
PermalinkIci notre défaite a commencé
PermalinkIls ont bossé et puis après ? / Thierry Maricourt
PermalinkLeur laisser la France / Ancrages
PermalinkPermalinkMalcolm X / Manning Marable
PermalinkMédias et mobilisations sociales / Action-critique-médias
PermalinkMoi Tarzan, toi Jane / Irène Jonas
PermalinkLe mouvement ouvrier provençal à l'épreuve de la grande guerre (1909-1919) / Gérard Leidet
PermalinkNégationnistes / Alain Bihr
PermalinkPermalinkLe nommé Louis Aragon ou le patriote professionnel / Jean Malaquais
PermalinkPermalinkPermis de tuer
PermalinkPetit manuel de désobéissance civile / Xavier Renou
PermalinkPetit manuel à l'usage de ceux qui vont attraper la grippe et des autres... / Gérard Chaouat
PermalinkLa peur des miroirs / Tariq Ali
PermalinkPistes pour un anticapitalisme vert
PermalinkUn président ne devrait pas faire ça !
PermalinkLe prophétisme communicationnel / David Forest
PermalinkRace rebelle
PermalinkRésistances au travail
PermalinkLes retraites au péril du libéralisme
PermalinkRévolution et contre-révolution au Mexique, 1910-2010 / James Donald Cockcroft
PermalinkLa riche histoire des pauvres
PermalinkLes Rroms / Morgan Garo
PermalinkSur la question noire / Cyril Lionel Robert James
PermalinkTant pis si la lutte est cruelle
PermalinkTous les médias sont-ils de droite ? / Mathias Reymond
PermalinkUn troussage de domestique
PermalinkUn universalisme si particulier / Christine Delphy
PermalinkUniversités sous tension / retours sur la mobilisation contre la loi pour l'égalité des chances et l
PermalinkLa valse des écrous / Stephen Bouquin
PermalinkVengeance d'État / Collectif Angles morts
PermalinkLe Yiddishland révolutionnaire / Alain Brossat
PermalinkZapatisme
Permalink