BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Visionnaires de Taïwan / Rémy Ricordeau
Titre : Visionnaires de Taïwan : art brut, art populaire insolite et visionnaires autodidactes de l'île de Taïwan Type de document : texte imprimé Auteurs : Rémy Ricordeau, Auteur Editeur : Montreuil [France] : L'Insomniaque Année de publication : 2015 Collection : La Petite brute, ISSN 2490-4430 Importance : 1 vol. (115 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-915694-85-7 Prix : 18 EUR Langues : Français (fre) Concepts : Sans schéma
Art brutIndex. décimale : 709 Étude historique, géographique, relative à des personnes des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : À Taïwan, comme partout ailleurs, il arrive que des hommes de peu, mus par un sens du merveilleux plus ou moins conscient, se décident, avant de disparaître, à laisser une belle trace de leur passage sur terre en donnant libre cours à leur imagination. Dégagés des pressions sociales de toute sorte, ils ne se préoccupent plus, alors, que de donner forme et expression aux songes qui les ont hantés et secrètement nourris leur vie durant. Ce récit d'un périple à travers l'île de Taïwan, illustré de nombreuses photos, nous fait découvrir d'étranges créations situées dans un pays plus réputé pour ses prouesses économiques que pour l'inventivité et l'originalité de ses artistes populaires. S'inspirant de traditions locales autant que de l'air du temps, mais ne se fiant qu'à leur fantaisie, ces bricoleurs de paradis offrent à nos regards une vaste gamme de savoir-faire, qui sont autant de savoir-être. Les créateurs d'art brut ou d'art populaire insolite à la rencontre desquels l'auteur est allé n'ont pas de grandes idées à représenter ni de justes causes à défendre - seulement d'insolites visions à partager... avec qui veut bien les voir.
la Petite Brute vise à faire découvrir aussi bien l'art dit « naïf » ou « brut » que certaines formes d'art populaire insolite d'hier ou d'aujourd'hui, parfois revendiquées actuellement sous le terme d'« art modeste ». De l'art certes, mais sans artistes - au sens où ce mot désigne aussi une caste à part. Cet art de l'immédiat présente aux regards une osmose exemplaire entre l'intelligence instantanée des phénomènes vitaux et sa transcription plastique - car sachant trouver les raccourcis les plus directs entre expression et perception. Ses multiples apparitions (poésie naturelle, art brut, naïf, modeste, architectures et environnements d'autodidactes, poésie involontaire des inscriptions fautives ou simplement bizarres, graffiti, violons d'Ingres populaires, inventions loufoques...) se déploient le plus souvent à mille lieues des médias et du marché.
Les noms des créateurs méritant d'être signalés par La Petite Brute sont donc le plus souvent inconnus du public. Leurs créations parallèles sont néanmoins tout aussi inventives que celles des artistes reconnus, parfois bien davantage. Admettre ce fait implique un bouleversement du regard propre à entraîner une rupture avec l'organisation sociale dominante - tant ce libre rapport à la création est étranger aux triomphantes idéologies de la rentabilité.
Ces arts de la plèbe, riches en possibilités de dépassement, participent donc de la résistance à la standardisation de l'espace public ou privé ; ils sont aussi un contrepoison à l'accaparement asphyxiant de la création par le commerce et la spéculation.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10357 Visionnaires de Taïwan : art brut, art populaire insolite et visionnaires autodidactes de l'île de Taïwan [texte imprimé] / Rémy Ricordeau, Auteur . - Montreuil [France] : L'Insomniaque, 2015 . - 1 vol. (115 p.) : ill. en coul. ; 18 cm. - (La Petite brute, ISSN 2490-4430) .
ISBN : 978-2-915694-85-7 : 18 EUR
Langues : Français (fre)
Concepts : Sans schéma
Art brutIndex. décimale : 709 Étude historique, géographique, relative à des personnes des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : À Taïwan, comme partout ailleurs, il arrive que des hommes de peu, mus par un sens du merveilleux plus ou moins conscient, se décident, avant de disparaître, à laisser une belle trace de leur passage sur terre en donnant libre cours à leur imagination. Dégagés des pressions sociales de toute sorte, ils ne se préoccupent plus, alors, que de donner forme et expression aux songes qui les ont hantés et secrètement nourris leur vie durant. Ce récit d'un périple à travers l'île de Taïwan, illustré de nombreuses photos, nous fait découvrir d'étranges créations situées dans un pays plus réputé pour ses prouesses économiques que pour l'inventivité et l'originalité de ses artistes populaires. S'inspirant de traditions locales autant que de l'air du temps, mais ne se fiant qu'à leur fantaisie, ces bricoleurs de paradis offrent à nos regards une vaste gamme de savoir-faire, qui sont autant de savoir-être. Les créateurs d'art brut ou d'art populaire insolite à la rencontre desquels l'auteur est allé n'ont pas de grandes idées à représenter ni de justes causes à défendre - seulement d'insolites visions à partager... avec qui veut bien les voir.
la Petite Brute vise à faire découvrir aussi bien l'art dit « naïf » ou « brut » que certaines formes d'art populaire insolite d'hier ou d'aujourd'hui, parfois revendiquées actuellement sous le terme d'« art modeste ». De l'art certes, mais sans artistes - au sens où ce mot désigne aussi une caste à part. Cet art de l'immédiat présente aux regards une osmose exemplaire entre l'intelligence instantanée des phénomènes vitaux et sa transcription plastique - car sachant trouver les raccourcis les plus directs entre expression et perception. Ses multiples apparitions (poésie naturelle, art brut, naïf, modeste, architectures et environnements d'autodidactes, poésie involontaire des inscriptions fautives ou simplement bizarres, graffiti, violons d'Ingres populaires, inventions loufoques...) se déploient le plus souvent à mille lieues des médias et du marché.
Les noms des créateurs méritant d'être signalés par La Petite Brute sont donc le plus souvent inconnus du public. Leurs créations parallèles sont néanmoins tout aussi inventives que celles des artistes reconnus, parfois bien davantage. Admettre ce fait implique un bouleversement du regard propre à entraîner une rupture avec l'organisation sociale dominante - tant ce libre rapport à la création est étranger aux triomphantes idéologies de la rentabilité.
Ces arts de la plèbe, riches en possibilités de dépassement, participent donc de la résistance à la standardisation de l'espace public ou privé ; ils sont aussi un contrepoison à l'accaparement asphyxiant de la création par le commerce et la spéculation.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10357 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105546 Arts ART BRUT Livre Bibliothèque principale Disponible Viva Posada
Titre : Viva Posada : l'oeuvre gravé de José Guadalupe Posada Type de document : texte imprimé Editeur : Montreuil [France] : L'Insomniaque Année de publication : 2006 Importance : 1 vol. (221 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 34 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-915694-20-6 Prix : 40 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Art:Gravure Index. décimale : 769.9 Études sur la gravure et les graveurs Résumé : Le graveur mexicain José Guadalupe Posada (1852-1913) est célébré dans le monde entier comme l'un des tout premiers humoristes et plasticiens de son époque. Son génie, inspiré par les thèmes populaires, a fait de lui, post mortem, une figure centrale de l'art moderne, un précurseur du surréalisme et de l'expressionnisme.
Si ses squelettes animés constituent l'héritage le plus familier de Posada, ils ne font pas, loin s'en faut, toute la richesse de son oeuvre. Nul artiste n'a su mieux que lui dépeindre aussi complètement la rue: les malheurs des pauvres; l'arrogance brutale des riches et la morgue bestiale des soudards; le panache des bandits et des rebelles...
Sa manière simple et limpide mais riche en contrastes fixe le regard sur l'essentiel qui est, chez lui, l'émotion la plus pure. Son oeuvre prolifique dresse le tableau d'une comédie humaine où la farce le dispute au drame. Elle forme une chronique en images malicieuses de la vie quotidienne et fonctionne comme une féroce dénonciation sociale. Sous son burin, la caricature n'est jamais lourde, l'exagération ne tient qu'à une fantaisie volontiers délirante - visant au rire, elle atteint à la puissance critique.Note de contenu : Contient un article paru dans le n°25 de "Revista de Revistas", 1925 : "Guadalupe Posada, précurseur de l'art indo-américain" / par Jean Charlot
Bibliogr. p. 221Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8861 Viva Posada : l'oeuvre gravé de José Guadalupe Posada [texte imprimé] . - Montreuil [France] : L'Insomniaque, 2006 . - 1 vol. (221 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 34 cm.
ISBN : 2-915694-20-6 : 40 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Art:Gravure Index. décimale : 769.9 Études sur la gravure et les graveurs Résumé : Le graveur mexicain José Guadalupe Posada (1852-1913) est célébré dans le monde entier comme l'un des tout premiers humoristes et plasticiens de son époque. Son génie, inspiré par les thèmes populaires, a fait de lui, post mortem, une figure centrale de l'art moderne, un précurseur du surréalisme et de l'expressionnisme.
Si ses squelettes animés constituent l'héritage le plus familier de Posada, ils ne font pas, loin s'en faut, toute la richesse de son oeuvre. Nul artiste n'a su mieux que lui dépeindre aussi complètement la rue: les malheurs des pauvres; l'arrogance brutale des riches et la morgue bestiale des soudards; le panache des bandits et des rebelles...
Sa manière simple et limpide mais riche en contrastes fixe le regard sur l'essentiel qui est, chez lui, l'émotion la plus pure. Son oeuvre prolifique dresse le tableau d'une comédie humaine où la farce le dispute au drame. Elle forme une chronique en images malicieuses de la vie quotidienne et fonctionne comme une féroce dénonciation sociale. Sous son burin, la caricature n'est jamais lourde, l'exagération ne tient qu'à une fantaisie volontiers délirante - visant au rire, elle atteint à la puissance critique.Note de contenu : Contient un article paru dans le n°25 de "Revista de Revistas", 1925 : "Guadalupe Posada, précurseur de l'art indo-américain" / par Jean Charlot
Bibliogr. p. 221Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8861 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104478 Arts POSADA Livre Bibliothèque principale Disponible La voie du jaguar / Georges Lapierre
Titre : La voie du jaguar : conversations de Georges Lapierre avec Rubén Valencia et David Venegas ; un point de vue sur le mouvement social dans l'État d'Oaxaca au Mexique Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Lapierre, Intervieweur ; Rubén Valencia, Personne interviewée ; David Venegas, Personne interviewée Editeur : Montreuil [France] : L'Insomniaque Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-915694-37-6 Prix : 8 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Catégories : Histoire:Mexique Index. décimale : 972 Histoire de l'Amérique centrale Résumé : Dans la ville d’Oaxaca, l’insurrection des quartiers populaires a pu se développer et constituer une menace réelle pour le pouvoir parce qu’elle a su renouer très vite avec un mode de vie communautaire, dont elle retrouvait les automatismes au fur et à mesure de son déploiement. C’est dans la nostalgie d’une vie communautaire encore proche qu’elle a trouvé ses appuis et puisé son sens.
La communication est le point de départ de tout mouvement insurrectionnel : les gens sont dangereux pour l’ordre quand ils se mettent à communiquer… C’est une étincelle, bien souvent, qui allume le feu de la communication ; dans le cas d’Oaxaca, c’est la brutalité de la répression contre les maîtres d’école le 14 juin 2006 qui a tout déclenché. La rencontre de la lutte pour le territoire et l’autonomie menée par les peuples indiens des différentes régions de l’État d’Oaxaca et l’insurrection urbaine pour une autre société a constitué aux yeux de l’État un moment critique : celui de tous les périls…Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8488 La voie du jaguar : conversations de Georges Lapierre avec Rubén Valencia et David Venegas ; un point de vue sur le mouvement social dans l'État d'Oaxaca au Mexique [texte imprimé] / Georges Lapierre, Intervieweur ; Rubén Valencia, Personne interviewée ; David Venegas, Personne interviewée . - Montreuil [France] : L'Insomniaque, 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-915694-37-6 : 8 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Catégories : Histoire:Mexique Index. décimale : 972 Histoire de l'Amérique centrale Résumé : Dans la ville d’Oaxaca, l’insurrection des quartiers populaires a pu se développer et constituer une menace réelle pour le pouvoir parce qu’elle a su renouer très vite avec un mode de vie communautaire, dont elle retrouvait les automatismes au fur et à mesure de son déploiement. C’est dans la nostalgie d’une vie communautaire encore proche qu’elle a trouvé ses appuis et puisé son sens.
La communication est le point de départ de tout mouvement insurrectionnel : les gens sont dangereux pour l’ordre quand ils se mettent à communiquer… C’est une étincelle, bien souvent, qui allume le feu de la communication ; dans le cas d’Oaxaca, c’est la brutalité de la répression contre les maîtres d’école le 14 juin 2006 qui a tout déclenché. La rencontre de la lutte pour le territoire et l’autonomie menée par les peuples indiens des différentes régions de l’État d’Oaxaca et l’insurrection urbaine pour une autre société a constitué aux yeux de l’État un moment critique : celui de tous les périls…Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8488 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104204 Histoire HIstoire - Amériques - Mexique Livre Bibliothèque principale Disponible Wobblies & hobos / Joyce L Kornbluh
Titre : Wobblies & hobos : les industrial workers of the world, agitateurs itinérants aux États-Unis ; 1905-1919 Type de document : texte imprimé Auteurs : Joyce L Kornbluh, Auteur ; Hsuan-wou Hsi (1951-....), Traducteur ; Julius Van Daal, Traducteur Editeur : Montreuil [France] : L'Insomniaque Année de publication : 2012 Importance : 1 vol. (252 p.) - 1 disque compact Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm Accompagnement : 1 CD de 21 chansons ISBN/ISSN/EAN : 978-2-915694-57-4 Prix : 25 EUR Note générale : Bibliogr. Index
Le CD contient 21 chansons américaines dissidentesLangues : Français (fre) Catégories : Histoire:États Unis d'Amérique Concepts : Sans schéma
Syndicalisme révolutionnaire ; Syndicalisme ; Mouvement ouvrier
Organisations
Industrial workers of the worldIndex. décimale : 973 Histoire des Etats Unis d'Amérique Résumé : Wobblies : militants syndicaux des Industrial Workers Of The World (IWW) qui sillonnaient, au début du XXe siècle, le continent nord-américain pour organiser les luttes des travailleurs non qualifiés : immigrés de fraîche date et Noirs, ouvrières du textile et journaliers de l'agriculture, mineurs de fond et bûcherons... Ils pratiquaient la grève sauvage et le sabotage, prônaient l'unité de tous les pauvres et rêvaient de transformer, par la grève générale et l'abolition du salariat, l'enfer industriel et marchand en une terre de cocagne, de liberté et de dignité. Ils furent sans répit pourchassés, passés à tabac, emprisonnés, expulsés, flingués par les forces alliées du patronat et de l’État.
Hobos : vagabonds du rail américains qui allaient de ville en ville vendre leur force de travail. Ils voyageaient en passagers clandestins dans des wagons de marchandises et se regroupaient, le soir venu, à l'extérieur des villes dans des campements sauvages, communautés autonomes temporaires où régnait la plus stricte égalité. Leurs pérégrinations se confondirent bien souvent avec celles des Wobblies - et ces chevaliers errants en guenilles, méprisés par les repus comme par les résignés, harcelés par toutes les polices, constituèrent pour les IWW un précieux vivier d'aventuriers épris de liberté et assoiffés de justice sociale.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5499 Wobblies & hobos : les industrial workers of the world, agitateurs itinérants aux États-Unis ; 1905-1919 [texte imprimé] / Joyce L Kornbluh, Auteur ; Hsuan-wou Hsi (1951-....), Traducteur ; Julius Van Daal, Traducteur . - Montreuil [France] : L'Insomniaque, 2012 . - 1 vol. (252 p.) - 1 disque compact : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm + 1 CD de 21 chansons.
ISBN : 978-2-915694-57-4 : 25 EUR
Bibliogr. Index
Le CD contient 21 chansons américaines dissidentes
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire:États Unis d'Amérique Concepts : Sans schéma
Syndicalisme révolutionnaire ; Syndicalisme ; Mouvement ouvrier
Organisations
Industrial workers of the worldIndex. décimale : 973 Histoire des Etats Unis d'Amérique Résumé : Wobblies : militants syndicaux des Industrial Workers Of The World (IWW) qui sillonnaient, au début du XXe siècle, le continent nord-américain pour organiser les luttes des travailleurs non qualifiés : immigrés de fraîche date et Noirs, ouvrières du textile et journaliers de l'agriculture, mineurs de fond et bûcherons... Ils pratiquaient la grève sauvage et le sabotage, prônaient l'unité de tous les pauvres et rêvaient de transformer, par la grève générale et l'abolition du salariat, l'enfer industriel et marchand en une terre de cocagne, de liberté et de dignité. Ils furent sans répit pourchassés, passés à tabac, emprisonnés, expulsés, flingués par les forces alliées du patronat et de l’État.
Hobos : vagabonds du rail américains qui allaient de ville en ville vendre leur force de travail. Ils voyageaient en passagers clandestins dans des wagons de marchandises et se regroupaient, le soir venu, à l'extérieur des villes dans des campements sauvages, communautés autonomes temporaires où régnait la plus stricte égalité. Leurs pérégrinations se confondirent bien souvent avec celles des Wobblies - et ces chevaliers errants en guenilles, méprisés par les repus comme par les résignés, harcelés par toutes les polices, constituèrent pour les IWW un précieux vivier d'aventuriers épris de liberté et assoiffés de justice sociale.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5499 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105413 Syndicalisme ÉTATS UNIS Livre Bibliothèque principale Disponible Y a du baston dans la taule / Hélyette Besse
Titre : Y a du baston dans la taule Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélyette Besse, Auteur ; Thierry Guitard (1966-....), Illustrateur Editeur : Montreuil [France] : L'Insomniaque Année de publication : 2001 Collection : À couteaux tirés Importance : 1 vol. (108 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-908744-90-3 Prix : 20 F Langues : Français (fre) Catégories : Enfermement:Prisons:Récits personnels Mots-clés : Mutineries dans les prisons Récits personnels France 1970-2000 Index. décimale : 365 Etablissements pénitenciaires Résumé : «Ca éclate juste après 17 heures, à la salle de culturisme. Les barres des haltères se transforment en armes. En avant pour le grand saccage ! En deux minutes, le coin est dévasté, vitres éclatées, appareils de musculation pliés en douze. Les surveillants coincés donnent les clefs. Deux profs, un d'anglais, un de sciences-nat, le pasteur, tous ceux qui traînent par là deviennent des otages.» Note de contenu : "Mutinerie à la centrale de Saint-Maur" / anonyme. "Fleury brûle-t-il ? : brève relation de l'émeute de Fleury-Mérogis, le 14 juillet 1987, vue de l'intérieur puis du haut des toits" / anonyme. "Fleury brûle-t-elle ?" / Hélyette Besse Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3730 Y a du baston dans la taule [texte imprimé] / Hélyette Besse, Auteur ; Thierry Guitard (1966-....), Illustrateur . - Montreuil [France] : L'Insomniaque, 2001 . - 1 vol. (108 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 15 cm. - (À couteaux tirés) .
ISBN : 978-2-908744-90-3 : 20 F
Langues : Français (fre)
Catégories : Enfermement:Prisons:Récits personnels Mots-clés : Mutineries dans les prisons Récits personnels France 1970-2000 Index. décimale : 365 Etablissements pénitenciaires Résumé : «Ca éclate juste après 17 heures, à la salle de culturisme. Les barres des haltères se transforment en armes. En avant pour le grand saccage ! En deux minutes, le coin est dévasté, vitres éclatées, appareils de musculation pliés en douze. Les surveillants coincés donnent les clefs. Deux profs, un d'anglais, un de sciences-nat, le pasteur, tous ceux qui traînent par là deviennent des otages.» Note de contenu : "Mutinerie à la centrale de Saint-Maur" / anonyme. "Fleury brûle-t-il ? : brève relation de l'émeute de Fleury-Mérogis, le 14 juillet 1987, vue de l'intérieur puis du haut des toits" / anonyme. "Fleury brûle-t-elle ?" / Hélyette Besse Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3730 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100271 Enfermements RECIT Livre Bibliothèque principale Disponible ZAD partout
Permalink¡A Zaragoza o al charco ! / Giménologues
PermalinkZoloé et ses deux acolytes / Donatien Alphonse François de Sade
PermalinkZUP ! / Fred Morisse
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