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Les Amis de Spartacus
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La makhnovchtchina / Pierre Archinov
Titre : La makhnovchtchina : l'insurrection révolutionnaire en Ukraine de 1918 à 1921 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Archinov (1887-1937), Auteur Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2000 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 160 Importance : 1 vol. (283 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-902963-42-3 Prix : 19,82 EUR Langues : Français (fre) Concepts : Histoire - périodes
Ukraine -- 1917-1921 (Révolution)
Sans schéma
UkraineIndex. décimale : 947 Histoire de l'Europe de l'Est, de la Russie Résumé : Après le renversement du Tsar en 1917, la révolution suivit en Ukraine son propre cours. Le traité de Brest-Litovsk eut en particulier pour conséquence un retour au pouvoir des grands propriétaires réactionnaires, appuyés par les troupes austro-allemandes, contre lesquels se mobilisèrent paysans et ouvriers pour défendre les acquis de la révolution.
Ce mouvement révolutionnaire autonome prit une ampleur et une durée considérables dans le sud-est de l’Ukraine, dans la région bordant la mer Noire et la mer d’Azov. Les groupes d’auto-défense apparus en 1917 et 1918 constituèrent une armée pour faire face aux armées blanches qui se dressèrent contre la révolution russe. Leur dirigeant le plus éminent en fut Nestor Makhno, un ouvrier anarchiste originaire de cette région ; d’où le nom de makhnovchtchina qui fut donné à l’époque à l’ensemble de ce mouvement. L’armée révolutionnaire ukrainienne joua un rôle déterminant dans les défaites de Dénikine, puis de Vrangel, et donc dans la sauvegarde de la révolution bolchevik, pour être finalement anéantie par l’Armée rouge.
Archinov, qui fit la connaissance de Makhno en prison à Moscou, le rejoignit en Ukraine en 1919 et prit une part importante à l’action éducative et culturelle du mouvement. Il entreprit d’en écrire l’histoire dès 1920, en réponse aux déformations et calomnies de toutes sortes dont il était l’objet, en particulier de la part des bolcheviks. Dans des circonstances très difficiles, il l’acheva en avril 1921, quelques mois avant la défaite finale du mouvement.
Cette édition reprend les textes de la première édition en français préparée par Voline (Éditions anarchistes, 1924), à l’exception de la préface de Sébastien Faure. Elle y ajoute une postface d’Hélène Châtelain, des photos qui ont été confiées à celle-ci par la famille Makhno à Gouliaï-Polié et des cartes.
“Durant toute la lutte révolutionnaire en Ukraine, la classe ouvrière et les paysans de ce pays n’eurent pas l’habitude d’avoir à leurs côtés un tuteur permanent et inflexible comme le fut le parti communiste en Grande Russie. Par conséquent il s’y développa une plus grande liberté d’esprit qui devait infailliblement se faire jour à l’heure des mouvements révolutionnaires des masses…Le mouvement révolutionnaire en Ukraine s’accompagnait donc de deux circonstances qui n’existaient pas en Grande Russie et qui devaient tant influer sur le caractère même de la révolution ukrainienne : l’absence d’un parti politique puissant et organisé, et l’esprit de la Volnitza historiquement propre aux travailleurs d’Ukraine. En effet, tandis qu’en Grande Russie la révolution était étatisée sans peine, contenue dans les cadres de l’État communiste, cette même étatisation rencontrait en Ukraine des difficultés considérables ; l’appareil « soviétiste » s’y instaurait surtout par la contrainte, militairement. Aussi, un mouvement autonome des masses, surtout des masses paysannes, continuait à s’y développer parallèlement. Il s’annonçait déjà sous la République démocratique de Petlioura et progressait lentement, cherchant encore sa voie. En même temps ce mouvement avait ses racines dans les fondements essentiels de la révolution russe. Il se fit ostensiblement remarquer dès les premiers jours du bouleversement de Février. C’était un mouvement des couches les plus profondes des travailleurs cherchant à renverser le système économique d’esclavage et à créer un système nouveau, basé sur la communauté des moyens et des instruments de travail et sur le principe de l’exploitation de la terre par les travailleurs eux-mêmes.”Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4376 La makhnovchtchina : l'insurrection révolutionnaire en Ukraine de 1918 à 1921 [texte imprimé] / Pierre Archinov (1887-1937), Auteur . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2000 . - 1 vol. (283 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 160) .
ISBN : 978-2-902963-42-3 : 19,82 EUR
Langues : Français (fre)
Concepts : Histoire - périodes
Ukraine -- 1917-1921 (Révolution)
Sans schéma
UkraineIndex. décimale : 947 Histoire de l'Europe de l'Est, de la Russie Résumé : Après le renversement du Tsar en 1917, la révolution suivit en Ukraine son propre cours. Le traité de Brest-Litovsk eut en particulier pour conséquence un retour au pouvoir des grands propriétaires réactionnaires, appuyés par les troupes austro-allemandes, contre lesquels se mobilisèrent paysans et ouvriers pour défendre les acquis de la révolution.
Ce mouvement révolutionnaire autonome prit une ampleur et une durée considérables dans le sud-est de l’Ukraine, dans la région bordant la mer Noire et la mer d’Azov. Les groupes d’auto-défense apparus en 1917 et 1918 constituèrent une armée pour faire face aux armées blanches qui se dressèrent contre la révolution russe. Leur dirigeant le plus éminent en fut Nestor Makhno, un ouvrier anarchiste originaire de cette région ; d’où le nom de makhnovchtchina qui fut donné à l’époque à l’ensemble de ce mouvement. L’armée révolutionnaire ukrainienne joua un rôle déterminant dans les défaites de Dénikine, puis de Vrangel, et donc dans la sauvegarde de la révolution bolchevik, pour être finalement anéantie par l’Armée rouge.
Archinov, qui fit la connaissance de Makhno en prison à Moscou, le rejoignit en Ukraine en 1919 et prit une part importante à l’action éducative et culturelle du mouvement. Il entreprit d’en écrire l’histoire dès 1920, en réponse aux déformations et calomnies de toutes sortes dont il était l’objet, en particulier de la part des bolcheviks. Dans des circonstances très difficiles, il l’acheva en avril 1921, quelques mois avant la défaite finale du mouvement.
Cette édition reprend les textes de la première édition en français préparée par Voline (Éditions anarchistes, 1924), à l’exception de la préface de Sébastien Faure. Elle y ajoute une postface d’Hélène Châtelain, des photos qui ont été confiées à celle-ci par la famille Makhno à Gouliaï-Polié et des cartes.
“Durant toute la lutte révolutionnaire en Ukraine, la classe ouvrière et les paysans de ce pays n’eurent pas l’habitude d’avoir à leurs côtés un tuteur permanent et inflexible comme le fut le parti communiste en Grande Russie. Par conséquent il s’y développa une plus grande liberté d’esprit qui devait infailliblement se faire jour à l’heure des mouvements révolutionnaires des masses…Le mouvement révolutionnaire en Ukraine s’accompagnait donc de deux circonstances qui n’existaient pas en Grande Russie et qui devaient tant influer sur le caractère même de la révolution ukrainienne : l’absence d’un parti politique puissant et organisé, et l’esprit de la Volnitza historiquement propre aux travailleurs d’Ukraine. En effet, tandis qu’en Grande Russie la révolution était étatisée sans peine, contenue dans les cadres de l’État communiste, cette même étatisation rencontrait en Ukraine des difficultés considérables ; l’appareil « soviétiste » s’y instaurait surtout par la contrainte, militairement. Aussi, un mouvement autonome des masses, surtout des masses paysannes, continuait à s’y développer parallèlement. Il s’annonçait déjà sous la République démocratique de Petlioura et progressait lentement, cherchant encore sa voie. En même temps ce mouvement avait ses racines dans les fondements essentiels de la révolution russe. Il se fit ostensiblement remarquer dès les premiers jours du bouleversement de Février. C’était un mouvement des couches les plus profondes des travailleurs cherchant à renverser le système économique d’esclavage et à créer un système nouveau, basé sur la communauté des moyens et des instruments de travail et sur le principe de l’exploitation de la terre par les travailleurs eux-mêmes.”Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4376 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102207 Histoire RUSSIE - XXe SIÈCLE - RÉVOLUTION - UKRAINE Livre Bibliothèque principale Disponible Marx et Engels poètes romantiques / Marcel Ollivier
Titre : Marx et Engels poètes romantiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Marcel Ollivier (1898-1993), Auteur Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2014 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 189 Importance : 1 vol. (147 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-94106-12-9 Prix : 12 EUR Note générale : Contient des poèmes de Marx et Engels Langues : Français (fre) Catégories : Littérature:Poésie Index. décimale : 830 Littérature de langue germanique Résumé : « Il connaissait par coeur Henri Heine et Goethe qu'il citait souvent dans sa conversation », écrivait Paul Lafargue quelques années après la mort de son beau-père. « Marx possédait une imagination poétique incomparable ; ses premières oeuvres furent des poésies. Mme Marx gardait soigneusement les oeuvres de jeunesse de son mari, mais ne les montrait à personne. » Dans ses premières années d'étudiant, autour de ses dix-huit ans, Karl Marx se consacra en effet avec énergie à l'écriture de ces poèmes ; au même âge, Friedrich Engels, de deux ans son cadet, en avait déjà publié plusieurs et si sa production fut à l'époque moins abondante, elle n'était certainement inférieure ni en contenu, ni en style, à celle de son aîné.
En consacrant un livre aux travaux poétiques de ces très jeunes adultes, Marcel Ollivier a voulu les replacer dans cette époque où en Allemagne, une petite partie de ses intellectuels commençait à s'élever contre la réaction qui s'était abattue sur l'Europe continentale après la victoire de la Coalition sur la France napoléonienne. La censure, la destitution ou l'exil s'abattaient sur les poètes, les littérateurs et les enseignants critiques ou irrévérencieux comme ce fut le cas pour Heine et d'autres poètes tels que Börne et Freiligrath. En écrivant ces poèmes, les jeunes Marx et Engels exprimaient leurs sentiments sur le monde qui les entouraient et témoignaient des courants de pensée qui les influençaient, quelques années seulement avant qu'ils se lancent dans le combat politique et qu'ils se fassent les chantres du communisme dont le spectre allait hanter l'Europe.
Par-delà les controverses innombrables qui ont entouré et entourent encore leurs travaux ultérieurs, ne peut-on aujourd'hui encore entendre ce message tout simple que nous transmet le jeune Marx ?
Ne subissons pas passivement
Le joug ignominieux.
Car le désir et la passion,
Car l'action nous restent.
Marcel Ollivier (1896-1993) travailla dès le début des années 1920 pour l'Internationale communiste et eut l'occasion à Moscou d'approfondir sa connaissance des oeuvres de Marx et d'Engels. Une première édition de son Marx et Engels poètes parut en 1933 et il reste le seul auteur de langue française à avoir jugé que cette étape cruciale de leur formation intellectuelle et affective méritait mieux que quelques lignes dans leur biographie.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10570 Marx et Engels poètes romantiques [texte imprimé] / Marcel Ollivier (1898-1993), Auteur . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2014 . - 1 vol. (147 p.) : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 189) .
ISBN : 979-10-94106-12-9 : 12 EUR
Contient des poèmes de Marx et Engels
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature:Poésie Index. décimale : 830 Littérature de langue germanique Résumé : « Il connaissait par coeur Henri Heine et Goethe qu'il citait souvent dans sa conversation », écrivait Paul Lafargue quelques années après la mort de son beau-père. « Marx possédait une imagination poétique incomparable ; ses premières oeuvres furent des poésies. Mme Marx gardait soigneusement les oeuvres de jeunesse de son mari, mais ne les montrait à personne. » Dans ses premières années d'étudiant, autour de ses dix-huit ans, Karl Marx se consacra en effet avec énergie à l'écriture de ces poèmes ; au même âge, Friedrich Engels, de deux ans son cadet, en avait déjà publié plusieurs et si sa production fut à l'époque moins abondante, elle n'était certainement inférieure ni en contenu, ni en style, à celle de son aîné.
En consacrant un livre aux travaux poétiques de ces très jeunes adultes, Marcel Ollivier a voulu les replacer dans cette époque où en Allemagne, une petite partie de ses intellectuels commençait à s'élever contre la réaction qui s'était abattue sur l'Europe continentale après la victoire de la Coalition sur la France napoléonienne. La censure, la destitution ou l'exil s'abattaient sur les poètes, les littérateurs et les enseignants critiques ou irrévérencieux comme ce fut le cas pour Heine et d'autres poètes tels que Börne et Freiligrath. En écrivant ces poèmes, les jeunes Marx et Engels exprimaient leurs sentiments sur le monde qui les entouraient et témoignaient des courants de pensée qui les influençaient, quelques années seulement avant qu'ils se lancent dans le combat politique et qu'ils se fassent les chantres du communisme dont le spectre allait hanter l'Europe.
Par-delà les controverses innombrables qui ont entouré et entourent encore leurs travaux ultérieurs, ne peut-on aujourd'hui encore entendre ce message tout simple que nous transmet le jeune Marx ?
Ne subissons pas passivement
Le joug ignominieux.
Car le désir et la passion,
Car l'action nous restent.
Marcel Ollivier (1896-1993) travailla dès le début des années 1920 pour l'Internationale communiste et eut l'occasion à Moscou d'approfondir sa connaissance des oeuvres de Marx et d'Engels. Une première édition de son Marx et Engels poètes parut en 1933 et il reste le seul auteur de langue française à avoir jugé que cette étape cruciale de leur formation intellectuelle et affective méritait mieux que quelques lignes dans leur biographie.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10570 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102763 Littérature MARX Livre Bibliothèque principale Disponible Militants contre la guerre 1914-1918 / Julien Chuzeville
Titre : Militants contre la guerre 1914-1918 Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Chuzeville (1979-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2014 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 186 Importance : 1 vol. (135 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-902963-68-3 Prix : 10 EUR Note générale : Bibliogr. p. 122-131 Langues : Français (fre) Catégories : Histoire:Guerres mondiales:Guerre mondiale (1914-1918) Concepts : Sans schéma
AntimilitarismeIndex. décimale : 940.3 Première guerre mondiale (1914-1918) Résumé : « Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage » : Jaurès l'avait dit et répété, et des congrès successifs de l'Internationale socialiste s'étaient engagés à tout faire pour empêcher le déclenchement d'un conflit. Mais quand, en 1914, malgré la forte agitation sociale que connurent au début de l'année la France, la Russie et l'Allemagne, la machine infernale se mit en route, les socialistes ne lui barrèrent pas le chemin.
La France ne manquait pas de pacifistes ; mais devant les dangers de l'invasion, la mobilisation, la militarisation de la société et la censure, tous furent désemparés et beaucoup se résignèrent. Certains, cependant, osèrent rompre le consensus et voulurent faire entendre la voix d'un pacifisme actif, c'est-à-dire, nécessairement, internationaliste. La paix qu'ils recherchaient était une paix sans tergiversations, « sans vainqueur ni vaincu », une paix - ils en étaient convaincus - que les régimes qui avaient conduit le monde à la guerre ne seraient pas capables d'assurer.
Ces militants - car tous l'étaient avant le début de la guerre - durent mener d'abord le combat dans leurs propres organisations, parti socialiste et syndicats, puis tenter, malgré la censure, l'intimidation et la répression, de faire progresser l'opposition à la guerre. Le Comité pour la reprise des relations internationales (CRRI) qu'ils créèrent fut le centre nerveux du pacifisme militant en France de 1915 à 1918 ; Zimmerwald et Kienthal, mais aussi la prison et les procès, furent les étapes de leur campagne.
La paix des vainqueurs ne fut pas celle pour laquelle ils s'étaient battus et ils savaient qu'elle portait en elle l'annonce d'un nouvel orage. Mais en maintenant vivace l'internationalisme socialiste, leur action résonna encore bien après que le CRRI eût cessé d'exister.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5455 Militants contre la guerre 1914-1918 [texte imprimé] / Julien Chuzeville (1979-....), Auteur . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2014 . - 1 vol. (135 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 186) .
ISBN : 978-2-902963-68-3 : 10 EUR
Bibliogr. p. 122-131
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire:Guerres mondiales:Guerre mondiale (1914-1918) Concepts : Sans schéma
AntimilitarismeIndex. décimale : 940.3 Première guerre mondiale (1914-1918) Résumé : « Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage » : Jaurès l'avait dit et répété, et des congrès successifs de l'Internationale socialiste s'étaient engagés à tout faire pour empêcher le déclenchement d'un conflit. Mais quand, en 1914, malgré la forte agitation sociale que connurent au début de l'année la France, la Russie et l'Allemagne, la machine infernale se mit en route, les socialistes ne lui barrèrent pas le chemin.
La France ne manquait pas de pacifistes ; mais devant les dangers de l'invasion, la mobilisation, la militarisation de la société et la censure, tous furent désemparés et beaucoup se résignèrent. Certains, cependant, osèrent rompre le consensus et voulurent faire entendre la voix d'un pacifisme actif, c'est-à-dire, nécessairement, internationaliste. La paix qu'ils recherchaient était une paix sans tergiversations, « sans vainqueur ni vaincu », une paix - ils en étaient convaincus - que les régimes qui avaient conduit le monde à la guerre ne seraient pas capables d'assurer.
Ces militants - car tous l'étaient avant le début de la guerre - durent mener d'abord le combat dans leurs propres organisations, parti socialiste et syndicats, puis tenter, malgré la censure, l'intimidation et la répression, de faire progresser l'opposition à la guerre. Le Comité pour la reprise des relations internationales (CRRI) qu'ils créèrent fut le centre nerveux du pacifisme militant en France de 1915 à 1918 ; Zimmerwald et Kienthal, mais aussi la prison et les procès, furent les étapes de leur campagne.
La paix des vainqueurs ne fut pas celle pour laquelle ils s'étaient battus et ils savaient qu'elle portait en elle l'annonce d'un nouvel orage. Mais en maintenant vivace l'internationalisme socialiste, leur action résonna encore bien après que le CRRI eût cessé d'exister.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5455 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102605 Pacifisme et militarisme PREMIERE GUERRE MONDIALE Livre Bibliothèque principale Disponible Notes pour servir à l'histoire de la Commune de Paris de 1871 / Jules Andrieu
Titre : Notes pour servir à l'histoire de la Commune de Paris de 1871 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jules Andrieu (1838?-1884), Auteur ; Rubel Maximilien (1905-1996), Editeur scientifique ; Louis Janover (1937-....), Editeur scientifique Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 1984 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 130 Importance : 1 vol. (XL-267 p.) Présentation : fac-sim. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-902963-10-2 Prix : 34 F Langues : Français (fre) Catégories : Histoire:France:1871 Index. décimale : 944.08 Histoire de la France depuis 1870 Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6280 Notes pour servir à l'histoire de la Commune de Paris de 1871 [texte imprimé] / Jules Andrieu (1838?-1884), Auteur ; Rubel Maximilien (1905-1996), Editeur scientifique ; Louis Janover (1937-....), Editeur scientifique . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 1984 . - 1 vol. (XL-267 p.) : fac-sim. ; 18 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 130) .
ISBN : 978-2-902963-10-2 : 34 F
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire:France:1871 Index. décimale : 944.08 Histoire de la France depuis 1870 Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6280 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 101879 Histoire FRANCE - XIXe SIÈCLE - COMMUNE Livre Bibliothèque principale Disponible La peste brune / Daniel Guérin
Titre : La peste brune Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Guérin (1904-1988), Auteur ; Alain Bihr (1950-....), Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2018 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 199 Importance : 1 vol. (144 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-94106-31-0 Prix : 10 EUR Langues : Français (fre) Concepts : Sans schéma
National-socialisme ; Fascisme ; Allemagne -- 1933-1945Index. décimale : 320.533 Fascisme, National-socialisme Résumé : 30 janvier 1933 : Hitler prend le pouvoir en Allemagne, la dictature nazie installe un régime de terreur sous le regard incrédule ou indifférent du reste de l'Europe qui ne comprend pas encore quelle catastrophe est en train de se produire. Pourtant, des voix se sont déjà élevées pour la mettre en garde. Parmi elles, celle de Daniel Guérin qui, l'automne précédent, a livré au public français un premier reportage sur cette Allemagne contaminée par la peste brune, en train de rouler vers le gouffre. Quelques semaines plus tard, il repartira en Allemagne pour un second reportage, cette fois sur la mise au pas de la société allemande.
Dans ces deux textes, le futur auteur de Fascisme et grand capital nous livre à chaud son analyse du phénomène : une petite-bourgeoisie épouvantée et enragée par son déclin ; le plus puissant mouvement ouvrier d'Europe affaibli par un chômage massif, ses divisions et les carences de ses directions ; une grande bourgeoisie que la crise accule à des solutions de force.
À notre époque, quand prolifèrent à travers le monde les régimes autoritaires, quand les politiciens exacerbent les différentiations ethniques et religieuses jusqu'au massacre, quand dans la vieille Europe resurgissent les nationalismes qui se nourrissent du sentiment d'abandon d'une large partie de la population face à des couches dirigeantes qui ne font plus des États nationaux l'instrument principal de leur pouvoir, ces textes à la fois alertes et pénétrants sur la prise du pouvoir par les nazis restent riches d'enseignement.
Daniel Guérin (1904-1988), militant révolutionnaire, anticolonialiste, fut aussi un militant de la cause homosexuelle. Son parcours politique l'amena sans sectarisme dans les rangs du syndicalisme révolutionnaire, de la gauche socialiste, des groupes trotskystes puis des organisations libertaires. Homme de lettres, historien, son œuvre continue à susciter un intérêt dont témoignent les rééditions récentes de ses livres.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10718 La peste brune [texte imprimé] / Daniel Guérin (1904-1988), Auteur ; Alain Bihr (1950-....), Préfacier, etc. . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2018 . - 1 vol. (144 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 199) .
ISBN : 979-10-94106-31-0 : 10 EUR
Langues : Français (fre)
Concepts : Sans schéma
National-socialisme ; Fascisme ; Allemagne -- 1933-1945Index. décimale : 320.533 Fascisme, National-socialisme Résumé : 30 janvier 1933 : Hitler prend le pouvoir en Allemagne, la dictature nazie installe un régime de terreur sous le regard incrédule ou indifférent du reste de l'Europe qui ne comprend pas encore quelle catastrophe est en train de se produire. Pourtant, des voix se sont déjà élevées pour la mettre en garde. Parmi elles, celle de Daniel Guérin qui, l'automne précédent, a livré au public français un premier reportage sur cette Allemagne contaminée par la peste brune, en train de rouler vers le gouffre. Quelques semaines plus tard, il repartira en Allemagne pour un second reportage, cette fois sur la mise au pas de la société allemande.
Dans ces deux textes, le futur auteur de Fascisme et grand capital nous livre à chaud son analyse du phénomène : une petite-bourgeoisie épouvantée et enragée par son déclin ; le plus puissant mouvement ouvrier d'Europe affaibli par un chômage massif, ses divisions et les carences de ses directions ; une grande bourgeoisie que la crise accule à des solutions de force.
À notre époque, quand prolifèrent à travers le monde les régimes autoritaires, quand les politiciens exacerbent les différentiations ethniques et religieuses jusqu'au massacre, quand dans la vieille Europe resurgissent les nationalismes qui se nourrissent du sentiment d'abandon d'une large partie de la population face à des couches dirigeantes qui ne font plus des États nationaux l'instrument principal de leur pouvoir, ces textes à la fois alertes et pénétrants sur la prise du pouvoir par les nazis restent riches d'enseignement.
Daniel Guérin (1904-1988), militant révolutionnaire, anticolonialiste, fut aussi un militant de la cause homosexuelle. Son parcours politique l'amena sans sectarisme dans les rangs du syndicalisme révolutionnaire, de la gauche socialiste, des groupes trotskystes puis des organisations libertaires. Homme de lettres, historien, son œuvre continue à susciter un intérêt dont témoignent les rééditions récentes de ses livres.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10718 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105746 Droites-extrêmes HISTOIRE Livre Bibliothèque principale Disponible Pologne, chroniques d'une société clandestine / Solidarité combattante
PermalinkRepenser la révolution / Claude Bitot
PermalinkLa République des conseils de Bavière / Erich Mühsam
PermalinkLa révolte des Canuts / Jacques Perdu
PermalinkLa révolution mexicaine de Ricardo Flores Magon / Ricardo Flores Magon
PermalinkRévolutionnaires en Catalogne, 1936-1937 / Deutsche Anarcho-Syndikalisten in Ausland
PermalinkRosa Luxemburg / John Peter Nettl
PermalinkLes socialismes : l'histoire sans fin / André Fontaine
PermalinkLes soviets trahis par les bolcheviks / Rudolf Rocker
PermalinkStaline, Trotski, l'héritage de Lénine / Willy Huhn
PermalinkVenezuela, révolution ou spectacle ? / Rafael Uzcategui
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