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Détail de l'indexation
Ouvrages de la bibliothèque en indexation 331.88 (11)



La CGT / Émile Pouget
Titre : La CGT : suivi de Le parti du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Émile Pouget (1860-1931), Auteur ; Jacques Toublet, Préfacier, etc. ; Renée Lamberet, Antécédent bibliographique Editeur : Paris : CNT-Région parisienne Année de publication : 1997 Importance : 1 vol. (239 p.) Présentation : couv. ill Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9504948-2-5 Prix : 60 FRF Langues : Français (fre) Catégories : Syndicalisme Mots-clés : Confédération générale du travail (France) Syndicalisme France Histoire Index. décimale : 331.88 Syndicats Résumé : Émile Pouget – le fondateur du fameux hebdomadaire le Père Peinard – sera l’adjoint pendant quelques années du secrétaire général de la CGT, Victor Griffuelhes, et responsable de l’organe de presse du jeune syndicat révolutionnaire, la Voix du Peuple.
Dans le premier texte – repris ici dans sa version de 1910, écrite deux ans après la tuerie de Villeneuve-Saint-Georges –, Émile Pouget procède à une sorte de radiographie de cette jeune confédération syndicale. Il y expose les structures sur lesquelles repose le fonctionnement du syndicat, les effectifs dont il dispose, les principes qui l’animent, et passe en revue les moyens auxquels recourent les syndicalistes de la CGT d’alors : grève, boycottage et pratique du label syndical, sabotage, lutte contre l’État. La section finale du texte de Pouget met l’accent sur les résultats dont la Confédération pouvait se targuer après un peu plus de dix ans d’existence.
Dans le second texte, Pouget s’attache à dégager ce qui fait la spécificité – sa définition, sa nécessité, son but – du syndicalisme révolutionnaire, de ce qu’il nomme le « Parti du Travail ». Il y met en garde contre « la plus dangereuse des illusions », qui serait de « limiter l’action syndicale à l’obtention [des] améliora tions parcellaires ».Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7904 La CGT : suivi de Le parti du travail [texte imprimé] / Émile Pouget (1860-1931), Auteur ; Jacques Toublet, Préfacier, etc. ; Renée Lamberet, Antécédent bibliographique . - Paris : CNT-Région parisienne, 1997 . - 1 vol. (239 p.) : couv. ill ; 21 cm.
ISBN : 978-2-9504948-2-5 : 60 FRF
Langues : Français (fre)
Catégories : Syndicalisme Mots-clés : Confédération générale du travail (France) Syndicalisme France Histoire Index. décimale : 331.88 Syndicats Résumé : Émile Pouget – le fondateur du fameux hebdomadaire le Père Peinard – sera l’adjoint pendant quelques années du secrétaire général de la CGT, Victor Griffuelhes, et responsable de l’organe de presse du jeune syndicat révolutionnaire, la Voix du Peuple.
Dans le premier texte – repris ici dans sa version de 1910, écrite deux ans après la tuerie de Villeneuve-Saint-Georges –, Émile Pouget procède à une sorte de radiographie de cette jeune confédération syndicale. Il y expose les structures sur lesquelles repose le fonctionnement du syndicat, les effectifs dont il dispose, les principes qui l’animent, et passe en revue les moyens auxquels recourent les syndicalistes de la CGT d’alors : grève, boycottage et pratique du label syndical, sabotage, lutte contre l’État. La section finale du texte de Pouget met l’accent sur les résultats dont la Confédération pouvait se targuer après un peu plus de dix ans d’existence.
Dans le second texte, Pouget s’attache à dégager ce qui fait la spécificité – sa définition, sa nécessité, son but – du syndicalisme révolutionnaire, de ce qu’il nomme le « Parti du Travail ». Il y met en garde contre « la plus dangereuse des illusions », qui serait de « limiter l’action syndicale à l’obtention [des] améliora tions parcellaires ».Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7904 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 103719 Syndicalisme CGT Livre Bibliothèque principale Disponible Fernand Pelloutier et les origines du syndicalisme d'action directe / Jacques Julliard
Titre : Fernand Pelloutier et les origines du syndicalisme d'action directe Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Julliard (1933-....), Auteur ; Fernand Pelloutier (1867-1901), Auteur Editeur : Paris [France] : Le Seuil Année de publication : 1971 Collection : L'Univers historique, ISSN 0083-3673 Importance : 1 vol. (556 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Pelloutier, Fernand (1867-1901) Syndicats France Histoire. Index. décimale : 331.88 Syndicats Résumé : "Actuellement, notre situation dans le monde socialiste est celle-ci : proscrits du Parti parce que, non moins révolutionnaires que Vaillant et que Guesde, aussi résolument partisans de la suppression de la propriété individuelle, nous sommes en outre ce qu'ils ne sont pas : des révoltés de toutes les heures, des hommes vraiment sans dieu, sans maître et sans patrie, les ennemis irréconciliables de tout despotisme, moral ou matériel, individuel ou collectif, c'est-à-dire des lois et des dictatures (y compris celle du prolétariat) et les amants passionnés de la culture de soi-même"
Fernand PelloutierPermalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7422 Fernand Pelloutier et les origines du syndicalisme d'action directe [texte imprimé] / Jacques Julliard (1933-....), Auteur ; Fernand Pelloutier (1867-1901), Auteur . - Paris [France] : Le Seuil, 1971 . - 1 vol. (556 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (L'Univers historique, ISSN 0083-3673) .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pelloutier, Fernand (1867-1901) Syndicats France Histoire. Index. décimale : 331.88 Syndicats Résumé : "Actuellement, notre situation dans le monde socialiste est celle-ci : proscrits du Parti parce que, non moins révolutionnaires que Vaillant et que Guesde, aussi résolument partisans de la suppression de la propriété individuelle, nous sommes en outre ce qu'ils ne sont pas : des révoltés de toutes les heures, des hommes vraiment sans dieu, sans maître et sans patrie, les ennemis irréconciliables de tout despotisme, moral ou matériel, individuel ou collectif, c'est-à-dire des lois et des dictatures (y compris celle du prolétariat) et les amants passionnés de la culture de soi-même"
Fernand PelloutierPermalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7422 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 103255 Syndicalisme JULLIARD Livre Bibliothèque principale Disponible IWW / Larry Portis
Titre : IWW : le syndicalisme révolutionnaire aux Etats-Unis Type de document : texte imprimé Auteurs : Larry Portis (1943-2011), Auteur Mention d'édition : 2ème édition Editeur : Paris [France] : Spartacus Année de publication : 2003 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 166 Importance : 1 vol. (173 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-902963-48-5 Prix : 12 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Mouvement ouvrier
SyndicalismeMots-clés : Industrial Workers of the World Syndicalisme révolutionnaire États-Unis 1900-1945 Index. décimale : 331.88 Syndicats Résumé : Dans la période de fort développement et de forte concentration de l’industrie, le mouvement ouvrier américain connut lui aussi dans les années 1870 et 1880 un développement très important, avec des formes originales. Ainsi, les Knights of labor, une confrérie des producteurs – secrète à l’origine pour des raisons de sécurité – rassembla jusqu’à 700 000 membres au milieu des années 1880. Ouverte aux femmes et aux noirs, elle revendiquait la journée de huit heures, la nationalisation des chemins de fer, l’abolition des monopoles et la formation d’entreprises coopératives. Elle rassemblait ouvriers qualifiés et non qualifiés, syndiqués ou non, mais également des artisans et des petits patrons. De ce fait, sa direction refusait l’affrontement des classes et, après une série de conflits meurtriers, son influence déclina, concurrencée qu’elle était par l’American Federation of Labor (A. F. L.). Celle-ci, dirigée par Samuel Gompers, regroupait des syndicats de métiers, sans chercher à en unifier l’action ni à s’ouvrir aux ouvriers non qualifiés et aux chômeurs, et prônait ouvertement la négociation, le compromis et la réforme.
Dans divers secteurs de l’économie américaine, notamment dans les chemins de fer et dans les mines de l’ouest des États-Unis, les travailleurs rejetèrent les méthodes de l’A. F. L. et s’organisèrent sur la base de leur branche d’activité – industry en anglais. C’est de leur regroupement que naquirent en 1905 les Industrial Workers of the World, une fédération syndicale fondée sur le regroupement par branche. Les I. W. W. – surnommés plus tard wobblies – adoptèrent des principes syndicalistes-révolutionnaires, comparables à ceux de la Charte d’Amiens, et des méthodes d’action directe – grève ou sabotage si nécessaire – plutôt que négociation entre responsables syndicaux et patrons. Pendant plus de dix ans, ils animèrent de très nombreuses luttes à travers les États-Unis.
Internationalistes convaincus, ils s’opposèrent à la participation des États-Unis à la Première guerre mondiale et se heurtèrent alors à une répression meurtrière. Même s’ils existent encore, les I. W. W. n’ont depuis lors plus pu mobiliser un nombre significatif de travailleurs, mais leurs principes – un seul syndicat pour tous les salariés – et les formes qu’ils ont données à leurs actions ont continué à influencer les luttes sociales aux États-Unis.
Cette nouvelle édition du livre de Larry Portis, paru initialement en 1985, est le seul ouvrage disponible en français consacré à ce mouvement hautement représentatif du syndicalisme révolutionnaire.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7119 IWW : le syndicalisme révolutionnaire aux Etats-Unis [texte imprimé] / Larry Portis (1943-2011), Auteur . - 2ème édition . - Paris [France] : Spartacus, 2003 . - 1 vol. (173 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 166) .
ISBN : 978-2-902963-48-5 : 12 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Mouvement ouvrier
SyndicalismeMots-clés : Industrial Workers of the World Syndicalisme révolutionnaire États-Unis 1900-1945 Index. décimale : 331.88 Syndicats Résumé : Dans la période de fort développement et de forte concentration de l’industrie, le mouvement ouvrier américain connut lui aussi dans les années 1870 et 1880 un développement très important, avec des formes originales. Ainsi, les Knights of labor, une confrérie des producteurs – secrète à l’origine pour des raisons de sécurité – rassembla jusqu’à 700 000 membres au milieu des années 1880. Ouverte aux femmes et aux noirs, elle revendiquait la journée de huit heures, la nationalisation des chemins de fer, l’abolition des monopoles et la formation d’entreprises coopératives. Elle rassemblait ouvriers qualifiés et non qualifiés, syndiqués ou non, mais également des artisans et des petits patrons. De ce fait, sa direction refusait l’affrontement des classes et, après une série de conflits meurtriers, son influence déclina, concurrencée qu’elle était par l’American Federation of Labor (A. F. L.). Celle-ci, dirigée par Samuel Gompers, regroupait des syndicats de métiers, sans chercher à en unifier l’action ni à s’ouvrir aux ouvriers non qualifiés et aux chômeurs, et prônait ouvertement la négociation, le compromis et la réforme.
Dans divers secteurs de l’économie américaine, notamment dans les chemins de fer et dans les mines de l’ouest des États-Unis, les travailleurs rejetèrent les méthodes de l’A. F. L. et s’organisèrent sur la base de leur branche d’activité – industry en anglais. C’est de leur regroupement que naquirent en 1905 les Industrial Workers of the World, une fédération syndicale fondée sur le regroupement par branche. Les I. W. W. – surnommés plus tard wobblies – adoptèrent des principes syndicalistes-révolutionnaires, comparables à ceux de la Charte d’Amiens, et des méthodes d’action directe – grève ou sabotage si nécessaire – plutôt que négociation entre responsables syndicaux et patrons. Pendant plus de dix ans, ils animèrent de très nombreuses luttes à travers les États-Unis.
Internationalistes convaincus, ils s’opposèrent à la participation des États-Unis à la Première guerre mondiale et se heurtèrent alors à une répression meurtrière. Même s’ils existent encore, les I. W. W. n’ont depuis lors plus pu mobiliser un nombre significatif de travailleurs, mais leurs principes – un seul syndicat pour tous les salariés – et les formes qu’ils ont données à leurs actions ont continué à influencer les luttes sociales aux États-Unis.
Cette nouvelle édition du livre de Larry Portis, paru initialement en 1985, est le seul ouvrage disponible en français consacré à ce mouvement hautement représentatif du syndicalisme révolutionnaire.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7119 IWW / Larry Portis
Titre : IWW : le syndicalisme révolutionnaire aux Etats-Unis Type de document : texte imprimé Auteurs : Larry Portis (1943-2011), Auteur ; Christiane Passevant (1945-...), Collaborateur Editeur : Paris [France] : Spartacus Année de publication : 1985 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 133 Importance : 1 vol. (147 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-902963-13-3 Langues : Français (fre) Catégories : Mouvement ouvrier
SyndicalismeIndex. décimale : 331.88 Syndicats Résumé : Dans la période de fort développement et de forte concentration de l’industrie, le mouvement ouvrier américain connut lui aussi dans les années 1870 et 1880 un développement très important, avec des formes originales. Ainsi, les Knights of labor, une confrérie des producteurs – secrète à l’origine pour des raisons de sécurité – rassembla jusqu’à 700 000 membres au milieu des années 1880. Ouverte aux femmes et aux noirs, elle revendiquait la journée de huit heures, la nationalisation des chemins de fer, l’abolition des monopoles et la formation d’entreprises coopératives. Elle rassemblait ouvriers qualifiés et non qualifiés, syndiqués ou non, mais également des artisans et des petits patrons. De ce fait, sa direction refusait l’affrontement des classes et, après une série de conflits meurtriers, son influence déclina, concurrencée qu’elle était par l’American Federation of Labor (A. F. L.). Celle-ci, dirigée par Samuel Gompers, regroupait des syndicats de métiers, sans chercher à en unifier l’action ni à s’ouvrir aux ouvriers non qualifiés et aux chômeurs, et prônait ouvertement la négociation, le compromis et la réforme.
Dans divers secteurs de l’économie américaine, notamment dans les chemins de fer et dans les mines de l’ouest des États-Unis, les travailleurs rejetèrent les méthodes de l’A. F. L. et s’organisèrent sur la base de leur branche d’activité – industry en anglais. C’est de leur regroupement que naquirent en 1905 les Industrial Workers of the World, une fédération syndicale fondée sur le regroupement par branche. Les I. W. W. – surnommés plus tard wobblies – adoptèrent des principes syndicalistes-révolutionnaires, comparables à ceux de la Charte d’Amiens, et des méthodes d’action directe – grève ou sabotage si nécessaire – plutôt que négociation entre responsables syndicaux et patrons. Pendant plus de dix ans, ils animèrent de très nombreuses luttes à travers les États-Unis.
Internationalistes convaincus, ils s’opposèrent à la participation des États-Unis à la Première guerre mondiale et se heurtèrent alors à une répression meurtrière. Même s’ils existent encore, les I. W. W. n’ont depuis lors plus pu mobiliser un nombre significatif de travailleurs, mais leurs principes – un seul syndicat pour tous les salariés – et les formes qu’ils ont données à leurs actions ont continué à influencer les luttes sociales aux États-Unis.
Cette nouvelle édition du livre de Larry Portis, paru initialement en 1985, est le seul ouvrage disponible en français consacré à ce mouvement hautement représentatif du syndicalisme révolutionnaire.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9394 IWW : le syndicalisme révolutionnaire aux Etats-Unis [texte imprimé] / Larry Portis (1943-2011), Auteur ; Christiane Passevant (1945-...), Collaborateur . - Paris [France] : Spartacus, 1985 . - 1 vol. (147 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 133) .
ISBN : 978-2-902963-13-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Mouvement ouvrier
SyndicalismeIndex. décimale : 331.88 Syndicats Résumé : Dans la période de fort développement et de forte concentration de l’industrie, le mouvement ouvrier américain connut lui aussi dans les années 1870 et 1880 un développement très important, avec des formes originales. Ainsi, les Knights of labor, une confrérie des producteurs – secrète à l’origine pour des raisons de sécurité – rassembla jusqu’à 700 000 membres au milieu des années 1880. Ouverte aux femmes et aux noirs, elle revendiquait la journée de huit heures, la nationalisation des chemins de fer, l’abolition des monopoles et la formation d’entreprises coopératives. Elle rassemblait ouvriers qualifiés et non qualifiés, syndiqués ou non, mais également des artisans et des petits patrons. De ce fait, sa direction refusait l’affrontement des classes et, après une série de conflits meurtriers, son influence déclina, concurrencée qu’elle était par l’American Federation of Labor (A. F. L.). Celle-ci, dirigée par Samuel Gompers, regroupait des syndicats de métiers, sans chercher à en unifier l’action ni à s’ouvrir aux ouvriers non qualifiés et aux chômeurs, et prônait ouvertement la négociation, le compromis et la réforme.
Dans divers secteurs de l’économie américaine, notamment dans les chemins de fer et dans les mines de l’ouest des États-Unis, les travailleurs rejetèrent les méthodes de l’A. F. L. et s’organisèrent sur la base de leur branche d’activité – industry en anglais. C’est de leur regroupement que naquirent en 1905 les Industrial Workers of the World, une fédération syndicale fondée sur le regroupement par branche. Les I. W. W. – surnommés plus tard wobblies – adoptèrent des principes syndicalistes-révolutionnaires, comparables à ceux de la Charte d’Amiens, et des méthodes d’action directe – grève ou sabotage si nécessaire – plutôt que négociation entre responsables syndicaux et patrons. Pendant plus de dix ans, ils animèrent de très nombreuses luttes à travers les États-Unis.
Internationalistes convaincus, ils s’opposèrent à la participation des États-Unis à la Première guerre mondiale et se heurtèrent alors à une répression meurtrière. Même s’ils existent encore, les I. W. W. n’ont depuis lors plus pu mobiliser un nombre significatif de travailleurs, mais leurs principes – un seul syndicat pour tous les salariés – et les formes qu’ils ont données à leurs actions ont continué à influencer les luttes sociales aux États-Unis.
Cette nouvelle édition du livre de Larry Portis, paru initialement en 1985, est le seul ouvrage disponible en français consacré à ce mouvement hautement représentatif du syndicalisme révolutionnaire.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9394 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104868 Syndicalisme ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE Livre Bibliothèque principale Disponible 1 - juin 1997 (Bulletin de Les Temps maudits)
[n° ou bulletin]
Titre : 1 - juin 1997 Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Peyraut, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Frank Mintz (1941-....), Auteur ; Marc Tomsin (1950-....), Auteur Année de publication : 1997 Importance : 1 vol. (107 p.) Présentation : ill. en noir et blanc Format : 22 cm Langues : Français (fre) Index. décimale : 331.88 Syndicats Note de contenu : Sommaire
En guise de présentation p.5
France
Des luttes de décembre 1995 à la situation sociale et syndicale actuelle p.7
L'opposition CFDT : syndicalisme alternatif ou reconstruction social-démocrate ? p.18
Le paysage enseignant à la lumière de la lutte des non-titulaires p.27
International
Le syndicalisme autogestionnaire et le Mexique d'aujourd'hui p.42
Une internationale zapatiste ? Ou autopsie d'un mouvement de solidarité (presque) réussi. L'exemple parisien p.51
Un "incontrôlé" de la colonne Durito. Réponses à l'enquête de la revue Chiapas p.63
Histoire
Aux camarades de l'Alliance syndicaliste révolutionnaire et anarchosyndicaliste de Saint-Maur p.69
Le cheminement vers la scission de la CGT p.75
Chronologie de la scission confédérale p.85
Extraits de la biographie de quelques militants du temps de la scission de 1921 p.93
Parutions et notes de lectures p.97Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=269 [n° ou bulletin] 1 - juin 1997 [texte imprimé] / Yves Peyraut, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Frank Mintz (1941-....), Auteur ; Marc Tomsin (1950-....), Auteur . - 1997 . - 1 vol. (107 p.) : ill. en noir et blanc ; 22 cm.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 331.88 Syndicats Note de contenu : Sommaire
En guise de présentation p.5
France
Des luttes de décembre 1995 à la situation sociale et syndicale actuelle p.7
L'opposition CFDT : syndicalisme alternatif ou reconstruction social-démocrate ? p.18
Le paysage enseignant à la lumière de la lutte des non-titulaires p.27
International
Le syndicalisme autogestionnaire et le Mexique d'aujourd'hui p.42
Une internationale zapatiste ? Ou autopsie d'un mouvement de solidarité (presque) réussi. L'exemple parisien p.51
Un "incontrôlé" de la colonne Durito. Réponses à l'enquête de la revue Chiapas p.63
Histoire
Aux camarades de l'Alliance syndicaliste révolutionnaire et anarchosyndicaliste de Saint-Maur p.69
Le cheminement vers la scission de la CGT p.75
Chronologie de la scission confédérale p.85
Extraits de la biographie de quelques militants du temps de la scission de 1921 p.93
Parutions et notes de lectures p.97Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=269 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 300232 Revues TEMPS MAUDITS Périodique Bibliothèque principale Disponible Ni Dieu, ni Maire / Jorge Valero
PermalinkLe syndicalisme / Karl Marx
PermalinkLe syndicalisme / Karl Marx
PermalinkLe syndicalisme de "La révolution prolétarienne" entre 1925 et 1939 / Edward Sarboni
PermalinkLe syndicat des correcteurs de Paris et de la région parisienne / Yves Blondeau
PermalinkLes Temps maudits
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