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France -- 1968 (Journées de mai)
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18 - mai 2008 - Spécial 68 : Mai encore ! (Bulletin de Offensive)
[n° ou bulletin]
Titre : 18 - mai 2008 - Spécial 68 : Mai encore ! : numéro commun avec Courant alternatif (Hors-série n°13) Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. (52 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 31 cm Prix : 5,00 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Histoire:France:1968 Concepts : Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)Index. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Mai 68 a été transformé en cliché. Son lieu serait unique, ses acteurs toujours les mêmes, ses formes identiques. Sur le cliché, on y voit les mêmes gestes : jetés de pavés et barricades, joutes oratoires et conflit de générations, jeunes qui s’embrassent dans le quartier Latin… Il est pourtant, comme tout mouvement, complexe et traversé de courants opposés. Dans ce paysage, les comités d’actions, les organisations politiques, le mouvement paysan sont portés disparus. Mai 68 devient l’affaire de vedettes, du ministre Kouchner à l’éditorialiste July. On préfère les historiettes où l’on se met en scène plutôt que de s’intéresser au comité d’action Citroën, à la stratégie des trotskistes ou des anarchistes…
Quel fut le rôle des syndicats ? L’impact des comités de base ? Pourquoi Mai 68 n’a pas réussi à renverser le capitalisme gaulliste ? Autant de questions si importantes à l’époque qui ne souffrent d’aucune analyse aujourd’hui. Des interrogations jugées désuètes. Car l’analyse de 68 n’existe qu’à travers les enjeux actuels. L’idée farfelue que l’on puisse changer le monde, faire la révolution est alors battue en brèche : un coup, on nous explique que « le contexte a changé, on était jeunes et fous », une autre fois que « l’échec de Mai 68 est de ne pas s’être transformé en conquête électorale » ou encore « qu’à l’époque, on ne se rendait pas compte que les vrais problèmes étaient dans le tiers-monde ». Autant de remarques qui balaient d’un coup les velléités révolutionnaires actuelles, la dénonciation en 68 de la sortie électorale proposée par De Gaulle (et avalisée par le PCF) et pour finir les luttes anti-impérialistes si intenses avant le joli mois de Mai.
Personne non plus pour souligner la place importante de la critique de la hiérarchie – du petit chef d’atelier aux enseignants en passant par les « pères-la-morale » – qui exprime le refus d’être un pion soumis aux desiderata du capitalisme. « Contrairement aux “révolutions” précédentes, ce n’est pas la superstructure politique qui a vacillé le plus, mais le fondement même de l’ordre social, l’autorité » explique Jean-Pierre Duteuil (Mai 68, un mouvement politique, Acratie, 2008).
En lisant ce qu’on nous conte sur 68, on ne sait pas non plus pourquoi des millions de personnes se sont mises en grève. L’article de Viansson-Ponté dans Le Monde du 15 mars 1968 « La France s’ennuie » (!) semble encore servir de base à la réflexion actuelle. Opportunément, on oublie de préciser que ce fut « l’unique insurrection “générale” qu’aient connu les pays occidentaux surdéveloppés depuis la Seconde Guerre mondiale » (Mai 68 et ses vies ultérieures, Kristin Ross, Complexe, 2005, p. 10). Personne – ou presque – pour parler des occupations d’usine de la Rodhiaceta à Besançon, des jacqueries à Caen qui secouent la France avant Mai. Quant à la « libération sexuelle », elle est réduite à une volonté de libertinage, en oubliant la critique de la famille triangulaire. En vidant Mai 68 de sa portée révolutionnaire, on ne parle plus d’opposition à la société capitaliste mais d’un événement conduisant la France vers la modernité, allant dans le sens de l’Histoire. Ainsi, on a habilement divisé le culturel du politique comme on sépare le bon grain de l’ivraie. Dans ce méli-mélo, on fait la part belle aux aspects culturels et festifs de 68 (tout en les vidant de leurs contenus subversifs). On interprète, on glose sur ses conséquences supposées sans en connaître les faits. On mélange tout : les luttes écologistes, la minijupe, l’antipsychiatrie… Tout est 68, et finalement 68 n’est plus rien.
Il était donc bien nécessaire que Courant Alternatif et Offensive s’associent pour éditer un numéro commun sur Mai 68 en s’emparant de toutes ces questions. Mai 68 nous intéresse parce que nous sommes militants, comme les révoltés du printemps 68, nous pensons qu’il est plus que jamais nécessaire d’en finir avec cette société capitaliste. Nous avons donc voulu, sans chercher des parallèles impossibles avec aujourd’hui, comprendre un événement de l’histoire révolutionnaire afin d’être mieux armés pour les luttes à venir.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=29 [n° ou bulletin] 18 - mai 2008 - Spécial 68 : Mai encore ! : numéro commun avec Courant alternatif (Hors-série n°13) [texte imprimé] . - 2008 . - 1 vol. (52 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 31 cm.
5,00 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire:France:1968 Concepts : Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)Index. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Mai 68 a été transformé en cliché. Son lieu serait unique, ses acteurs toujours les mêmes, ses formes identiques. Sur le cliché, on y voit les mêmes gestes : jetés de pavés et barricades, joutes oratoires et conflit de générations, jeunes qui s’embrassent dans le quartier Latin… Il est pourtant, comme tout mouvement, complexe et traversé de courants opposés. Dans ce paysage, les comités d’actions, les organisations politiques, le mouvement paysan sont portés disparus. Mai 68 devient l’affaire de vedettes, du ministre Kouchner à l’éditorialiste July. On préfère les historiettes où l’on se met en scène plutôt que de s’intéresser au comité d’action Citroën, à la stratégie des trotskistes ou des anarchistes…
Quel fut le rôle des syndicats ? L’impact des comités de base ? Pourquoi Mai 68 n’a pas réussi à renverser le capitalisme gaulliste ? Autant de questions si importantes à l’époque qui ne souffrent d’aucune analyse aujourd’hui. Des interrogations jugées désuètes. Car l’analyse de 68 n’existe qu’à travers les enjeux actuels. L’idée farfelue que l’on puisse changer le monde, faire la révolution est alors battue en brèche : un coup, on nous explique que « le contexte a changé, on était jeunes et fous », une autre fois que « l’échec de Mai 68 est de ne pas s’être transformé en conquête électorale » ou encore « qu’à l’époque, on ne se rendait pas compte que les vrais problèmes étaient dans le tiers-monde ». Autant de remarques qui balaient d’un coup les velléités révolutionnaires actuelles, la dénonciation en 68 de la sortie électorale proposée par De Gaulle (et avalisée par le PCF) et pour finir les luttes anti-impérialistes si intenses avant le joli mois de Mai.
Personne non plus pour souligner la place importante de la critique de la hiérarchie – du petit chef d’atelier aux enseignants en passant par les « pères-la-morale » – qui exprime le refus d’être un pion soumis aux desiderata du capitalisme. « Contrairement aux “révolutions” précédentes, ce n’est pas la superstructure politique qui a vacillé le plus, mais le fondement même de l’ordre social, l’autorité » explique Jean-Pierre Duteuil (Mai 68, un mouvement politique, Acratie, 2008).
En lisant ce qu’on nous conte sur 68, on ne sait pas non plus pourquoi des millions de personnes se sont mises en grève. L’article de Viansson-Ponté dans Le Monde du 15 mars 1968 « La France s’ennuie » (!) semble encore servir de base à la réflexion actuelle. Opportunément, on oublie de préciser que ce fut « l’unique insurrection “générale” qu’aient connu les pays occidentaux surdéveloppés depuis la Seconde Guerre mondiale » (Mai 68 et ses vies ultérieures, Kristin Ross, Complexe, 2005, p. 10). Personne – ou presque – pour parler des occupations d’usine de la Rodhiaceta à Besançon, des jacqueries à Caen qui secouent la France avant Mai. Quant à la « libération sexuelle », elle est réduite à une volonté de libertinage, en oubliant la critique de la famille triangulaire. En vidant Mai 68 de sa portée révolutionnaire, on ne parle plus d’opposition à la société capitaliste mais d’un événement conduisant la France vers la modernité, allant dans le sens de l’Histoire. Ainsi, on a habilement divisé le culturel du politique comme on sépare le bon grain de l’ivraie. Dans ce méli-mélo, on fait la part belle aux aspects culturels et festifs de 68 (tout en les vidant de leurs contenus subversifs). On interprète, on glose sur ses conséquences supposées sans en connaître les faits. On mélange tout : les luttes écologistes, la minijupe, l’antipsychiatrie… Tout est 68, et finalement 68 n’est plus rien.
Il était donc bien nécessaire que Courant Alternatif et Offensive s’associent pour éditer un numéro commun sur Mai 68 en s’emparant de toutes ces questions. Mai 68 nous intéresse parce que nous sommes militants, comme les révoltés du printemps 68, nous pensons qu’il est plus que jamais nécessaire d’en finir avec cette société capitaliste. Nous avons donc voulu, sans chercher des parallèles impossibles avec aujourd’hui, comprendre un événement de l’histoire révolutionnaire afin d’être mieux armés pour les luttes à venir.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=29 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 300018 Revues OFFENSIVE Périodique Bibliothèque principale Exclu du prêt D'Alger à Mai 68 / François Cerutti
Titre : D'Alger à Mai 68 : mes années de révolution Type de document : texte imprimé Auteurs : François Cerutti (1941-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2010 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 179 Importance : 1 vol. (167 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-902963-61-4 Prix : 13 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Biographies
Colonialisme
Histoire:Afrique:Algérie
Histoire:France:1945-1968
Histoire:France:1968
Histoire:France:1968->...Concepts : Histoire - évènements
Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie)
Histoire - périodes
Algérie -- 1962-1992
Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)Index. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Ceux qui, dans les années 1960 et 1970, ont cru à l'effondrement du vieux système d'exploitation et d'oppression, n'ont pas tous sublimé leur révolte et accepté de se couler dans les institutions.
Né à Alger en 1941, François Cerutti a rapidement rejoint ceux qui, en France, ont milité pour l'indépendance de l'Algérie. Pour lui, la révolte des peuples colonisés contre la domination criminelle des colonisateurs était un signe de l'imminence du renversement de la société bourgeoise. Insoumis, il part pour le Maroc. À Alger, de 1962 à 1965, il travaille dans une entreprise autogérée. Avec un petit groupe de membres de la IVe Internationale, il milite pour la consolidation du secteur autogéré face à la volonté de mainmise toujours plus forte du FLN et du gouvernement sur celui-ci.
En 1965, le coup d'État de Boumediène le fait rentrer en France, où l'armée l'oblige à faire le service militaire auquel il s'était soustrait. Il s'y heurtera à la bêtise et à la vindicte de l'institution, qui l'enverra pour quelques mois en prison.
Mai 68 le trouve aux premières loges, puisqu'il habite au Quartier latin et y travaille dans une librairie militante, vouée à la critique du léninisme et des régimes qui s'en réclament. Il participe à la coordination des comités d'action des entreprises de la région parisienne. Surtout, le mouvement de Mai renforce sa conviction que « le monde va changer de base » et que les vieilles organisations du mouvement ouvrier, piliers de l'ordre existant, devront être balayées.
Le récit de ce cheminement qui, d'un « pied-noir » fera un « pied-rouge », d'un révolté un révolutionnaire, c'est aussi celui de rencontres, d'actions militantes, de réflexions qui ont influencé toute une génération, dont une partie continue à affirmer, comme François Cerutti : « La nécessité de changer ce monde est de plus en plus évidente et urgente. »Note de contenu : En appendice, choix de documents Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9039 D'Alger à Mai 68 : mes années de révolution [texte imprimé] / François Cerutti (1941-....), Auteur . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2010 . - 1 vol. (167 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 179) .
ISBN : 978-2-902963-61-4 : 13 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Biographies
Colonialisme
Histoire:Afrique:Algérie
Histoire:France:1945-1968
Histoire:France:1968
Histoire:France:1968->...Concepts : Histoire - évènements
Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie)
Histoire - périodes
Algérie -- 1962-1992
Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)Index. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Ceux qui, dans les années 1960 et 1970, ont cru à l'effondrement du vieux système d'exploitation et d'oppression, n'ont pas tous sublimé leur révolte et accepté de se couler dans les institutions.
Né à Alger en 1941, François Cerutti a rapidement rejoint ceux qui, en France, ont milité pour l'indépendance de l'Algérie. Pour lui, la révolte des peuples colonisés contre la domination criminelle des colonisateurs était un signe de l'imminence du renversement de la société bourgeoise. Insoumis, il part pour le Maroc. À Alger, de 1962 à 1965, il travaille dans une entreprise autogérée. Avec un petit groupe de membres de la IVe Internationale, il milite pour la consolidation du secteur autogéré face à la volonté de mainmise toujours plus forte du FLN et du gouvernement sur celui-ci.
En 1965, le coup d'État de Boumediène le fait rentrer en France, où l'armée l'oblige à faire le service militaire auquel il s'était soustrait. Il s'y heurtera à la bêtise et à la vindicte de l'institution, qui l'enverra pour quelques mois en prison.
Mai 68 le trouve aux premières loges, puisqu'il habite au Quartier latin et y travaille dans une librairie militante, vouée à la critique du léninisme et des régimes qui s'en réclament. Il participe à la coordination des comités d'action des entreprises de la région parisienne. Surtout, le mouvement de Mai renforce sa conviction que « le monde va changer de base » et que les vieilles organisations du mouvement ouvrier, piliers de l'ordre existant, devront être balayées.
Le récit de ce cheminement qui, d'un « pied-noir » fera un « pied-rouge », d'un révolté un révolutionnaire, c'est aussi celui de rencontres, d'actions militantes, de réflexions qui ont influencé toute une génération, dont une partie continue à affirmer, comme François Cerutti : « La nécessité de changer ce monde est de plus en plus évidente et urgente. »Note de contenu : En appendice, choix de documents Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9039 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104620 Biographies CERUTTI Livre Bibliothèque principale Disponible Anarchistes en 1968 à Nanterre / Liaison des étudiants anarchistes (Nanterre)
Titre : Anarchistes en 1968 à Nanterre : textes et tracts Type de document : texte imprimé Auteurs : Liaison des étudiants anarchistes (Nanterre), Auteur Editeur : La Bussière : Acratie Année de publication : 1998 Importance : 1 vol. (58-[1] p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-909899-17-6 Prix : 4,5 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Anarchisme:20e siècle
Histoire:France:1968Concepts : Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)
Sans schéma
Mouvements étudiantsIndex. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Comprendre les évènements qui se sont déroulés à la faculté de Nanterre en 1968 et qui ont contribué à la naissance du mouvement du 22 mars, nécessite un détour par l'activité des "anars" dans cette université dans les années qui précèdent le mois de mai. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8685 Anarchistes en 1968 à Nanterre : textes et tracts [texte imprimé] / Liaison des étudiants anarchistes (Nanterre), Auteur . - La Bussière : Acratie, 1998 . - 1 vol. (58-[1] p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-909899-17-6 : 4,5 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Anarchisme:20e siècle
Histoire:France:1968Concepts : Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)
Sans schéma
Mouvements étudiantsIndex. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Comprendre les évènements qui se sont déroulés à la faculté de Nanterre en 1968 et qui ont contribué à la naissance du mouvement du 22 mars, nécessite un détour par l'activité des "anars" dans cette université dans les années qui précèdent le mois de mai. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8685 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104316 Histoire FRANCE - XXè SIECLE - MAI 68 Livre Bibliothèque principale Disponible L'insurrection étudiante
Titre : L'insurrection étudiante : 2-13 mai 1968, ensemble critique et documentaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Kravetz (1942-....), Editeur scientifique ; Raymond Bellour (1939-....), Collaborateur ; Annette Karsenty, Collaborateur Editeur : Paris : Union générale d'Editions Année de publication : 1968 Collection : 10-18, ISSN 0240-2300 num. 417-418 Importance : 1 vol. (509 p.) Présentation : ill. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Catégories : Histoire:France:1968 Concepts : Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)
Sans schéma
Mouvements étudiantsIndex. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Quel sera l’avenir du mouvement social de mai 1968 ? Nul ne peut aujourd’hui en décider. Quelle qu’elle soit, l’insurrection étudiante des premiers jours de mai garde une importance décisive. La révolution désormais n’est plus la résurgence d’un mythe, mais une exigence présente. Du 2 au 13 mai, ce livre rassemble les documents essentiels, confrontant les événements à ce qu’il en fut dit. L’ordonnance qu’il propose invite à la lecture critique, donc politique. C’est un matériel de travail, une façon de prendre date. Par delà ses confusions et ses erreurs, l’insurrection étudiante ouvre un chemin neuf. D’aucuns le trouveront pavé d’hérésie, mais l’histoire, finalement, ne retient que les hérétiques. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9892 L'insurrection étudiante : 2-13 mai 1968, ensemble critique et documentaire [texte imprimé] / Marc Kravetz (1942-....), Editeur scientifique ; Raymond Bellour (1939-....), Collaborateur ; Annette Karsenty, Collaborateur . - Paris : Union générale d'Editions, 1968 . - 1 vol. (509 p.) : ill. ; 18 cm. - (10-18, ISSN 0240-2300; 417-418) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire:France:1968 Concepts : Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)
Sans schéma
Mouvements étudiantsIndex. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Quel sera l’avenir du mouvement social de mai 1968 ? Nul ne peut aujourd’hui en décider. Quelle qu’elle soit, l’insurrection étudiante des premiers jours de mai garde une importance décisive. La révolution désormais n’est plus la résurgence d’un mythe, mais une exigence présente. Du 2 au 13 mai, ce livre rassemble les documents essentiels, confrontant les événements à ce qu’il en fut dit. L’ordonnance qu’il propose invite à la lecture critique, donc politique. C’est un matériel de travail, une façon de prendre date. Par delà ses confusions et ses erreurs, l’insurrection étudiante ouvre un chemin neuf. D’aucuns le trouveront pavé d’hérésie, mais l’histoire, finalement, ne retient que les hérétiques. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9892 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105239 Histoire MAI 68 Livre Bibliothèque principale Disponible La révolte étudiante
Titre : La révolte étudiante : les animateurs parlent Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Sauvageot (1943-2017) ; Alain Geismar (1939-....), Auteur ; Daniel Cohn-Bendit (1945-....), Auteur ; Jean-Pierre Duteuil (1944-...), Auteur Editeur : Paris [France] : Le Seuil Année de publication : 1968 Importance : 1 vol. (128 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm. Langues : Français (fre) Catégories : Histoire:France:1968 Concepts : Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)
Sans schéma
Mouvements étudiantsIndex. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Le mois de mai 1968 restera, dans notre histoire, marqué par un mouvement sans précédent, parti de l’université, saisissant les usines, ébranlant le pays jusqu’en ses profondeurs, manquant d’un souffle d’abattre le régime gaulliste. Un mouvement qui est peut-être à la source d’une vraie révolution, sociale et culturelle. Quels furent les inspirateurs, les organisateurs de cet assaut sans exemple, quelles organisations y participèrent, et au nom de quelles idéologies, avec quels objectifs ? C’est ce que disent ici les animateurs de la révolte étudiante : Jacques Sauvageot : 25 ans. Vice-président de l’UNEF, licencié en Droit et en Histoire de l’art. Prépare un troisième cycle de l’Histoire de l’art sur un peintre du XIX° siècle. Alain Geismar : 29 ans. Ex-secrétaire général, membre du bureau national du SNE Sup. Professeur de Physique. Maître-assistant à la faculté des Sciences de Paris. Daniel Cohn-Bendit : 23 ans. Militant du « Mouvement du 22 mars », né en France de père allemand. Études supérieures à Paris. Étudiant en 2e année de Sociologie à la faculté des Lettres de Nanterre. Jean-Pierre Duteuil : 22 ans. Militant du « Mouvement du 22 mars ». Étudiant en Sociologie à la faculté des Lettres de Nanterre. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5166 La révolte étudiante : les animateurs parlent [texte imprimé] / Jacques Sauvageot (1943-2017) ; Alain Geismar (1939-....), Auteur ; Daniel Cohn-Bendit (1945-....), Auteur ; Jean-Pierre Duteuil (1944-...), Auteur . - Paris [France] : Le Seuil, 1968 . - 1 vol. (128 p.) : couv. ill. ; 21 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire:France:1968 Concepts : Histoire
France -- 1968 (Journées de mai)
Sans schéma
Mouvements étudiantsIndex. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Le mois de mai 1968 restera, dans notre histoire, marqué par un mouvement sans précédent, parti de l’université, saisissant les usines, ébranlant le pays jusqu’en ses profondeurs, manquant d’un souffle d’abattre le régime gaulliste. Un mouvement qui est peut-être à la source d’une vraie révolution, sociale et culturelle. Quels furent les inspirateurs, les organisateurs de cet assaut sans exemple, quelles organisations y participèrent, et au nom de quelles idéologies, avec quels objectifs ? C’est ce que disent ici les animateurs de la révolte étudiante : Jacques Sauvageot : 25 ans. Vice-président de l’UNEF, licencié en Droit et en Histoire de l’art. Prépare un troisième cycle de l’Histoire de l’art sur un peintre du XIX° siècle. Alain Geismar : 29 ans. Ex-secrétaire général, membre du bureau national du SNE Sup. Professeur de Physique. Maître-assistant à la faculté des Sciences de Paris. Daniel Cohn-Bendit : 23 ans. Militant du « Mouvement du 22 mars », né en France de père allemand. Études supérieures à Paris. Étudiant en 2e année de Sociologie à la faculté des Lettres de Nanterre. Jean-Pierre Duteuil : 22 ans. Militant du « Mouvement du 22 mars ». Étudiant en Sociologie à la faculté des Lettres de Nanterre. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5166 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102183 Histoire FRANCE - MAI 68 Livre Bibliothèque principale Disponible Tout peut arriver / Fredy Perlman
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