Titre : |
Indianité et lutte des classes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Loup Herbert, Auteur ; Carlos Guzmán Böckler, Auteur ; Julio Quan, Auteur ; Carmen Fuentez, Traducteur ; Elianne Benbanaste, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Union générale d'Editions |
Année de publication : |
1972 |
Collection : |
10-18, ISSN 0240-2300 num. 677 |
Importance : |
319 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
Note générale : |
Bibliogr. p. 303-315 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Espéranto (esp) |
Résumé : |
Les Indiens, les autres, de leur côté... Les Blancs, capitalistes ou socialistes de cabinet, du leur... Chacun suivait son chemin. La théorie ignorait qu'ils puissent se rencontrer. ils étaient soit exotiques ou enfermés dans les mécanismes de l'ethnologie, soit propriétaires esclaves, patrons, ouvriers, enserrés dans la "civilisation". Ils pouvaient changer de camp, mais de façon brutale, la rupture. Indianité et lutte des classes brise cette opposition, et fait se rencontrer dans l'espace concret des actes, d'une part, le temps long, l'indien, et de l'autre, le temps court et lourd du colonialisme ou du capitalisme à la blanche et des luttes des classes. Cette rencontre n'est pas celle d'une vue de l'esprit affirmant le temps hiérarchisé d'une humanité unique, mais le tableau décrit pas à pas, du comportement des masses indiennes, plus précisément guatémaltèques. De ce tableau se dégage peu à peu une signification, une conclusion : l'Occident, dans sa prétention à modeler le visage des autres, est mort, il se meurt. Nos contradictions, plaquées sur le visage indien, ne génèreront pas un paradis socialiste, mais bien plutôt une indianité nouvelle, future. |
Permalink : |
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Indianité et lutte des classes [texte imprimé] / Jean-Loup Herbert, Auteur ; Carlos Guzmán Böckler, Auteur ; Julio Quan, Auteur ; Carmen Fuentez, Traducteur ; Elianne Benbanaste, Traducteur . - Paris : Union générale d'Editions, 1972 . - 319 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( 10-18, ISSN 0240-2300; 677) . Bibliogr. p. 303-315 Langues : Français ( fre) Langues originales : Espéranto ( esp)
Résumé : |
Les Indiens, les autres, de leur côté... Les Blancs, capitalistes ou socialistes de cabinet, du leur... Chacun suivait son chemin. La théorie ignorait qu'ils puissent se rencontrer. ils étaient soit exotiques ou enfermés dans les mécanismes de l'ethnologie, soit propriétaires esclaves, patrons, ouvriers, enserrés dans la "civilisation". Ils pouvaient changer de camp, mais de façon brutale, la rupture. Indianité et lutte des classes brise cette opposition, et fait se rencontrer dans l'espace concret des actes, d'une part, le temps long, l'indien, et de l'autre, le temps court et lourd du colonialisme ou du capitalisme à la blanche et des luttes des classes. Cette rencontre n'est pas celle d'une vue de l'esprit affirmant le temps hiérarchisé d'une humanité unique, mais le tableau décrit pas à pas, du comportement des masses indiennes, plus précisément guatémaltèques. De ce tableau se dégage peu à peu une signification, une conclusion : l'Occident, dans sa prétention à modeler le visage des autres, est mort, il se meurt. Nos contradictions, plaquées sur le visage indien, ne génèreront pas un paradis socialiste, mais bien plutôt une indianité nouvelle, future. |
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