Titre :	Hongrie 1956 : la commune de Budapest ; les conseils ouvriers
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Andy Anderson, Auteur
Editeur :	Paris [France] : Spartacus
Année de publication :	1974
Importance :	1 vol. (156 p.)
Présentation :	cartes, couv. ill.
Format :	18 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-902963-17-1
Prix :	40 F
Note générale :	Titre orig. "Hungary 56" publié en anglais par Solidarity en 1964.
Langues :	Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories :	Histoire:Europe:Hongrie
Concepts :	Sans schéma Conseils ouvriers
Index. décimale :	943.9 Histoire de la Hongrie
Résumé :	Le 4 novembre 1956, à 3 heures du matin, quinze divisions blindées russes, qui comptaient au total 6.000 chars, se regroupèrent aux points-clés de la Hongrie, en vue des derniers préparatifs de leur deuxième assaut contre une population qui, proportionnellement, n’avait guère de moyens de défense. Le premier assaut, un peu plus d’une semaine auparavant, avait été une histoire assez confuse. Moscou prétendait même ne pas avoir été consultée. En fait, on ne s’était pas attendu à ce que les Hongrois se battent contre des chars avec les mains quasiment nues. On ne s’était pas non plus attendu à ce que les soldats russes passent en si grand nombre du côté des travailleurs hongrois. Cette fois, il fallait qu’il n’y ait aucune erreur. A 4 heures, les chars s’ébranlèrent. (...)
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Hongrie 1956 : la commune de Budapest ; les conseils ouvriers [texte imprimé] / Andy Anderson, Auteur . - Paris [France] : Spartacus, 1974 . - 1 vol. (156 p.) : cartes, couv. ill. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-902963-17-1 : 40 F
Titre orig. "Hungary 56" publié en anglais par Solidarity en 1964.

Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)

Catégories :	Histoire:Europe:Hongrie
Concepts :	Sans schéma Conseils ouvriers
Index. décimale :	943.9 Histoire de la Hongrie
Résumé :	Le 4 novembre 1956, à 3 heures du matin, quinze divisions blindées russes, qui comptaient au total 6.000 chars, se regroupèrent aux points-clés de la Hongrie, en vue des derniers préparatifs de leur deuxième assaut contre une population qui, proportionnellement, n’avait guère de moyens de défense. Le premier assaut, un peu plus d’une semaine auparavant, avait été une histoire assez confuse. Moscou prétendait même ne pas avoir été consultée. En fait, on ne s’était pas attendu à ce que les Hongrois se battent contre des chars avec les mains quasiment nues. On ne s’était pas non plus attendu à ce que les soldats russes passent en si grand nombre du côté des travailleurs hongrois. Cette fois, il fallait qu’il n’y ait aucune erreur. A 4 heures, les chars s’ébranlèrent. (...)
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