| Titre : |
Le peuple de l'abîme |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jack London (1876-1916), Auteur ; François Postif (1927?-....), Traducteur ; Francis Lacassin (1931-2008), Préfacier, etc. |
| Editeur : |
Paris : Union générale d'Editions |
| Année de publication : |
1975 |
| Collection : |
10-18 |
| Sous-collection : |
Série L'Appel de la vie num. 927 |
| Importance : |
1 vol. (314 p.) |
| Présentation : |
couv. ill |
| Format : |
18 cm |
| Prix : |
11,22 F |
| Note générale : |
Translation of The people of the abyss |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
| Résumé : |
Voici le plus étonnant de tous les voyages accomplis par London, de la mer de Behring au Mexique, en passant par la Corée, l'Alaska, la Polynésie. Une descente aux enfers de la société industrielle dans les fonds de Londres en 1902. Jamais la misère, l'injustice sociale, l'horreur, la crasse n'ont été explorées à une telle profondeur. Entre autres visions atroces, celle du cadavre d'un bébé promené de l'unique lit de l'unique pièce au toit du garde-manger à l'abri des rats, pendant les jours occupés à collecter l'argent des obsèques. Pour mieux analyser la technique par laquelle une société élimine les déchets humains qu'elle a usés, pour mesurer la duperie des institutions charitables, Jack London s'est habillé et a vécu en clochard pendant plusieurs semaines. Au moment où chefs d’État et ministres vont au peuple ou dans les prisons à son de trompe, c'est un exemple à méditer. |
| Permalink : |
https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10753 |
Le peuple de l'abîme [texte imprimé] / Jack London (1876-1916), Auteur ; François Postif (1927?-....), Traducteur ; Francis Lacassin (1931-2008), Préfacier, etc. . - Paris : Union générale d'Editions, 1975 . - 1 vol. (314 p.) : couv. ill ; 18 cm. - ( 10-18. Série L'Appel de la vie; 927) . 11,22 F Translation of The people of the abyss Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
| Résumé : |
Voici le plus étonnant de tous les voyages accomplis par London, de la mer de Behring au Mexique, en passant par la Corée, l'Alaska, la Polynésie. Une descente aux enfers de la société industrielle dans les fonds de Londres en 1902. Jamais la misère, l'injustice sociale, l'horreur, la crasse n'ont été explorées à une telle profondeur. Entre autres visions atroces, celle du cadavre d'un bébé promené de l'unique lit de l'unique pièce au toit du garde-manger à l'abri des rats, pendant les jours occupés à collecter l'argent des obsèques. Pour mieux analyser la technique par laquelle une société élimine les déchets humains qu'elle a usés, pour mesurer la duperie des institutions charitables, Jack London s'est habillé et a vécu en clochard pendant plusieurs semaines. Au moment où chefs d’État et ministres vont au peuple ou dans les prisons à son de trompe, c'est un exemple à méditer. |
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