BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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La fabrique scolaire de l'histoire
Titre : La fabrique scolaire de l'histoire : illusions et désillusions du roman national Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence de Cock, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emmanuelle Picard (1967-...), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Suzanne Citron, Préfacier, etc. Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2009 Collection : Passé & présent Importance : 1 vol. (XXV-212 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7489-0106-1 Prix : 16 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Histoire Politique et éducation Historiographie Index. décimale : 907 Étude et enseignement, recherche, sujets connexes de l'histoire Résumé : Depuis la Révolution française, l’enseignement de l’histoire est associé à la construction d’une « identité nationale ». En prenant la forme d’un récit ethnocentré, l’histoire scolaire devait permettre l’intégration de tous les futurs citoyens de la République, quelles que soient leurs identités originelles, dans un ensemble politique unique.
Aujourd’hui, alors que la période est favorable à la reconnaissance des « identités plurielles », les exclus du roman national réclament l’ajustement des programmes scolaires et critiquent la fabrique scolaire de l’histoire vue comme un instrument de domination.
Le moment est propice pour interroger la manière dont l’histoire scolaire est fabriquée. De fait, l’enseignement de histoire à l’école est le produit d’une chaîne de responsabilités dont il nous faut interroger chacun des maillons : pourquoi et comment apprendre l’histoire, et quelle histoire ? Car c’est une politique du passé qui s’exprime à travers ce montage. Une politique où la question d’une histoire commune et donc de l’universalité est en jeu.
Laurence De Cock est historienne et professeure d’histoire au lycée de Nanterre. Vice-présidente du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire (CVUH), elle a notamment co-publié Comment Nicolas Sarkozy écrit l’histoire de France (Agone, 2008) et Mémoires et histoire à l’école de la République (Armand Colin, 2007).
Emmanuelle Picard est historienne au Service histoire de l’éducation (INRP-ENS) et membre du CVUH.Note de contenu : Notes bibliogr. Glossaire Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4188 La fabrique scolaire de l'histoire : illusions et désillusions du roman national [texte imprimé] / Laurence de Cock, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Emmanuelle Picard (1967-...), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Suzanne Citron, Préfacier, etc. . - Marseille : Agone, 2009 . - 1 vol. (XXV-212 p.) ; 19 cm. - (Passé & présent) .
ISBN : 978-2-7489-0106-1 : 16 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Histoire Politique et éducation Historiographie Index. décimale : 907 Étude et enseignement, recherche, sujets connexes de l'histoire Résumé : Depuis la Révolution française, l’enseignement de l’histoire est associé à la construction d’une « identité nationale ». En prenant la forme d’un récit ethnocentré, l’histoire scolaire devait permettre l’intégration de tous les futurs citoyens de la République, quelles que soient leurs identités originelles, dans un ensemble politique unique.
Aujourd’hui, alors que la période est favorable à la reconnaissance des « identités plurielles », les exclus du roman national réclament l’ajustement des programmes scolaires et critiquent la fabrique scolaire de l’histoire vue comme un instrument de domination.
Le moment est propice pour interroger la manière dont l’histoire scolaire est fabriquée. De fait, l’enseignement de histoire à l’école est le produit d’une chaîne de responsabilités dont il nous faut interroger chacun des maillons : pourquoi et comment apprendre l’histoire, et quelle histoire ? Car c’est une politique du passé qui s’exprime à travers ce montage. Une politique où la question d’une histoire commune et donc de l’universalité est en jeu.
Laurence De Cock est historienne et professeure d’histoire au lycée de Nanterre. Vice-présidente du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire (CVUH), elle a notamment co-publié Comment Nicolas Sarkozy écrit l’histoire de France (Agone, 2008) et Mémoires et histoire à l’école de la République (Armand Colin, 2007).
Emmanuelle Picard est historienne au Service histoire de l’éducation (INRP-ENS) et membre du CVUH.Note de contenu : Notes bibliogr. Glossaire Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4188 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100544 Pédagogie CRITIQUE Livre Bibliothèque principale Disponible Le révisionnisme en histoire / Domenico Losurdo
Titre : Le révisionnisme en histoire : problèmes et mythes Type de document : texte imprimé Auteurs : Domenico Losurdo (1941-....), Auteur ; Jean-Michel Goux, Traducteur Editeur : Paris [France] : Albin Michel Année de publication : 2006 Collection : Bibliothèque Albin Michel Sous-collection : Bibliothèque Albin Michel de l'histoire Importance : 1 vol. (316 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-226-15885-7 Prix : 24 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita) Mots-clés : Historiographie 20e siècle Révolutions Philosophie Philosophie de l'histoire Index. décimale : 907 Étude et enseignement, recherche, sujets connexes de l'histoire Résumé : Dans cette relecture originale des origines du totalitarisme, Domenico Losurdo s'attache à analyser et à dénoncer ce qui, selon lui, constitue le plus grand mythe historique de l'époque moderne, forgé par Carl Schmitt entre les deux guerres : l'idée que la tradition révolutionnaire, qui prend sa source dans la revendication de l'égalité abstraite et universelle de tous les hommes, est en dernier ressort la cause des totalitarismes - fasciste et communiste - qui ont marqué le XXe siècle.
S'inscrivant en faux contre les positions qui en découlent, D. Losurdo montre, contre Nolte, que la terreur de masse et le totalitarisme ont des racines qui précèdent de loin la révolution d'Octobre et, contre Furet, qu'ils n'ont pas de liens intrinsèques avec la tradition révolutionnaire et la lutte pour l'égalité abstraite. Leur origine est endogène à la culture libérale de l'Occident moderne ; elle est liée à la manière dont les démocraties ont conçu et développé leurs rapports avec les peuples « autres ». Le nazisme n'est donc pas le produit d'une infection par l'Orient (et n'a pas imité les méthodes des bolcheviques, « mongols », « asiates », juifs sans patrie, comme le prétend Nolte), mais est un pur produit de l'Occident. À l'opposé de la tradition révolutionnaire, il tire son essence de la négation de l'universel humain et de la racisation de l'ennemi pratiquée par les pays occidentaux, dans le colonialisme et les mouvements racialistes qui ont foisonné avec l'essor de la modernité industrielle et « libérale ».
Et c'est dans ce déni que plongent les racines du révisionnisme historique qui tend à s'insinuer de nos jours.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6525 Le révisionnisme en histoire : problèmes et mythes [texte imprimé] / Domenico Losurdo (1941-....), Auteur ; Jean-Michel Goux, Traducteur . - Paris [France] : Albin Michel, 2006 . - 1 vol. (316 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Bibliothèque Albin Michel. Bibliothèque Albin Michel de l'histoire) .
ISBN : 978-2-226-15885-7 : 24 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita)
Mots-clés : Historiographie 20e siècle Révolutions Philosophie Philosophie de l'histoire Index. décimale : 907 Étude et enseignement, recherche, sujets connexes de l'histoire Résumé : Dans cette relecture originale des origines du totalitarisme, Domenico Losurdo s'attache à analyser et à dénoncer ce qui, selon lui, constitue le plus grand mythe historique de l'époque moderne, forgé par Carl Schmitt entre les deux guerres : l'idée que la tradition révolutionnaire, qui prend sa source dans la revendication de l'égalité abstraite et universelle de tous les hommes, est en dernier ressort la cause des totalitarismes - fasciste et communiste - qui ont marqué le XXe siècle.
S'inscrivant en faux contre les positions qui en découlent, D. Losurdo montre, contre Nolte, que la terreur de masse et le totalitarisme ont des racines qui précèdent de loin la révolution d'Octobre et, contre Furet, qu'ils n'ont pas de liens intrinsèques avec la tradition révolutionnaire et la lutte pour l'égalité abstraite. Leur origine est endogène à la culture libérale de l'Occident moderne ; elle est liée à la manière dont les démocraties ont conçu et développé leurs rapports avec les peuples « autres ». Le nazisme n'est donc pas le produit d'une infection par l'Orient (et n'a pas imité les méthodes des bolcheviques, « mongols », « asiates », juifs sans patrie, comme le prétend Nolte), mais est un pur produit de l'Occident. À l'opposé de la tradition révolutionnaire, il tire son essence de la négation de l'universel humain et de la racisation de l'ennemi pratiquée par les pays occidentaux, dans le colonialisme et les mouvements racialistes qui ont foisonné avec l'essor de la modernité industrielle et « libérale ».
Et c'est dans ce déni que plongent les racines du révisionnisme historique qui tend à s'insinuer de nos jours.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6525 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102063 Histoire HISTORIOGRAPHIE Livre Bibliothèque principale Disponible