BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Ouvrages de la bibliothèque en indexation 332 (3)
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La création de valeur pour l'actionnaire ou La destruction de l'idée démocratique / Isabelle Pivert
Titre : La création de valeur pour l'actionnaire ou La destruction de l'idée démocratique Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Pivert, Auteur Editeur : Paris : Éditions du Sextant Année de publication : 2011 Collection : Le décodeur Importance : 1 vol. (54 p.) Présentation : couv. ill. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84978-037-4 Prix : 8 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme
Économie:Entreprises, patronatIndex. décimale : 332 Économie financière Résumé : La création de valeur pour l'actionnaire ou shareholder value est un concept qui, à partir des années 1990, va structurer l'activité de toute grande entreprise cotée en Bourse (sa stratégie, son organisation). Ce faisant, elle va modifier peu à peu la notion même de valeur, jusqu'alors partagée tacitement par les acteurs économiques : salariés, fournisseurs, clients, partenaires, actionnaires. La valeur devient une injonction, purement financière et immédiate : du cash recherché par l'actionnaire sous forme de dividende ou de plus-value. L'auteur montre la dépossession radicale des autres acteurs, notamment des simples salariés, et dès lors, le processus de destruction de l'idée démocratique, dans l'entreprise, mais aussi dans la société. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9072 La création de valeur pour l'actionnaire ou La destruction de l'idée démocratique [texte imprimé] / Isabelle Pivert, Auteur . - Paris : Éditions du Sextant, 2011 . - 1 vol. (54 p.) : couv. ill. ; 20 cm. - (Le décodeur) .
ISBN : 978-2-84978-037-4 : 8 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Capitalisme
Économie:Entreprises, patronatIndex. décimale : 332 Économie financière Résumé : La création de valeur pour l'actionnaire ou shareholder value est un concept qui, à partir des années 1990, va structurer l'activité de toute grande entreprise cotée en Bourse (sa stratégie, son organisation). Ce faisant, elle va modifier peu à peu la notion même de valeur, jusqu'alors partagée tacitement par les acteurs économiques : salariés, fournisseurs, clients, partenaires, actionnaires. La valeur devient une injonction, purement financière et immédiate : du cash recherché par l'actionnaire sous forme de dividende ou de plus-value. L'auteur montre la dépossession radicale des autres acteurs, notamment des simples salariés, et dès lors, le processus de destruction de l'idée démocratique, dans l'entreprise, mais aussi dans la société. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9072 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104634 Économie ÉCONOMIE FINANCIÈRE Livre Bibliothèque principale Disponible Fonds de pension, piège à cons ? / Frédéric Lordon
Titre : Fonds de pension, piège à cons ? : mirage de la démocratie actionnariale Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Lordon (1962-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Raisons d'agir Année de publication : 2000 Collection : Raisons d'agir Importance : 1 vol. (90 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-912107-10-7 Prix : 6,00 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Épargne-retraite Index. décimale : 332 Économie financière Résumé : Prolongeant une histoire de la déréglementation financière vieille déjà de quinze ans, la concentration de l'épargne collective donne naissance à un pouvoir (le pouvoir actionnarial) qui fait du salariat le lieu de report de tous les risques, et qui déstabilise la macroéconomie en y important tous les déséquilibres de la finance. Note de contenu : Glossaire Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3575 Fonds de pension, piège à cons ? : mirage de la démocratie actionnariale [texte imprimé] / Frédéric Lordon (1962-....), Auteur . - Paris [France] : Raisons d'agir, 2000 . - 1 vol. (90 p.) ; 18 cm. - (Raisons d'agir) .
ISBN : 978-2-912107-10-7 : 6,00 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Épargne-retraite Index. décimale : 332 Économie financière Résumé : Prolongeant une histoire de la déréglementation financière vieille déjà de quinze ans, la concentration de l'épargne collective donne naissance à un pouvoir (le pouvoir actionnarial) qui fait du salariat le lieu de report de tous les risques, et qui déstabilise la macroéconomie en y important tous les déséquilibres de la finance. Note de contenu : Glossaire Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3575 Exemplaires (2)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100717 Économie FONDS DE PENSION Livre Bibliothèque principale Disponible 103988 Économie FONDS DE PENSION Livre Bibliothèque principale Disponible La grande crise du XXIe siècle / Isaac Johsua
Titre : La grande crise du XXIe siècle : une analyse marxiste Type de document : texte imprimé Auteurs : Isaac Johsua (1939-....), Auteur Editeur : Paris [France] : La Découverte Année de publication : 2009 Collection : Sur le vif, ISSN 1291-9314 Importance : 1 vol. (136 p.) Présentation : graph. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-5747-8 Prix : 10 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Crise économique (2008) Capitalisme Analyse marxiste Index. décimale : 332 Économie financière Résumé : Avec un rôle accru de l'État, des transferts sociaux et un nouveau rapport salarial, la régulation fordiste a joué autrefois un rôle stabilisateur, mais nous assistons aujourd'hui aux conséquences de son démantèlement au début des années 1980. Elle a été (mal) remplacée par un nouveau modèle, fait de moins en moins d'épargne, de plus en plus de dettes. Fondé sur une politique d'argent facile, ce modèle navigue de bulle en bulle.
S'appuyant sur les fondamentaux de l'analyse marxiste, Isaac Johsua explique le lien entre surconsommation et crise financière : lors des épisodes récessifs, il faut pousser vers le haut la dépense des ménages. D'où la « titrisation des créances », qui a permis aux banques d'accorder toujours plus de crédits ; et la « financiarisation de la consommation », qui a rendu cette dernière dépendante de la valeur du patrimoine, boursier ou immobilier.
Contrairement à ce qu'affirment de larges cercles de la gauche, la sous-consommation n'est pas la cause de la crise. Il s'agit d'une crise de suraccumulation, où l'accumulation du capital s'effectue à un rythme tel qu'elle ne peut maintenir le taux de profit escompté. Le libéralisme postule que la défense des intérêts privés converge en un équilibre collectif. À l'opposé, l'auteur montre l'actualité de la thèse de Marx : il y a contradiction entre le caractère de plus en plus social de la production et la forme étriquée de la propriété privée. Les décisions que chaque propriétaire privé prend pour sa sauvegarde particulière menacent alors la stabilité générale du système.
On ne sortira pas de la crise sans un changement radical de l'édifice économique et social.Note de contenu : Bibliogr. p. 121-123. Notes bibliogr. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6100 La grande crise du XXIe siècle : une analyse marxiste [texte imprimé] / Isaac Johsua (1939-....), Auteur . - Paris [France] : La Découverte, 2009 . - 1 vol. (136 p.) : graph. ; 20 cm. - (Sur le vif, ISSN 1291-9314) .
ISBN : 978-2-7071-5747-8 : 10 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Crise économique (2008) Capitalisme Analyse marxiste Index. décimale : 332 Économie financière Résumé : Avec un rôle accru de l'État, des transferts sociaux et un nouveau rapport salarial, la régulation fordiste a joué autrefois un rôle stabilisateur, mais nous assistons aujourd'hui aux conséquences de son démantèlement au début des années 1980. Elle a été (mal) remplacée par un nouveau modèle, fait de moins en moins d'épargne, de plus en plus de dettes. Fondé sur une politique d'argent facile, ce modèle navigue de bulle en bulle.
S'appuyant sur les fondamentaux de l'analyse marxiste, Isaac Johsua explique le lien entre surconsommation et crise financière : lors des épisodes récessifs, il faut pousser vers le haut la dépense des ménages. D'où la « titrisation des créances », qui a permis aux banques d'accorder toujours plus de crédits ; et la « financiarisation de la consommation », qui a rendu cette dernière dépendante de la valeur du patrimoine, boursier ou immobilier.
Contrairement à ce qu'affirment de larges cercles de la gauche, la sous-consommation n'est pas la cause de la crise. Il s'agit d'une crise de suraccumulation, où l'accumulation du capital s'effectue à un rythme tel qu'elle ne peut maintenir le taux de profit escompté. Le libéralisme postule que la défense des intérêts privés converge en un équilibre collectif. À l'opposé, l'auteur montre l'actualité de la thèse de Marx : il y a contradiction entre le caractère de plus en plus social de la production et la forme étriquée de la propriété privée. Les décisions que chaque propriétaire privé prend pour sa sauvegarde particulière menacent alors la stabilité générale du système.
On ne sortira pas de la crise sans un changement radical de l'édifice économique et social.Note de contenu : Bibliogr. p. 121-123. Notes bibliogr. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6100 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 101300 Économie CRISES Livre Bibliothèque principale Disponible