BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Détail d'une collection
Bibliothèque Albin Michel
Editeur :
ISSN :
0298-2447
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L'Equipe / Francis Carco
Titre : L'Equipe : roman des fortifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Carco (1886-1958), Auteur Editeur : Paris [France] : Albin Michel Année de publication : 1989 Collection : Bibliothèque Albin Michel, ISSN 0298-2447 num. 28 Importance : 1 vol. (247 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-226-03704-6 Prix : 35 F Langues : Français (fre) Index. décimale : 843 Fiction de langue française (France) Résumé : - Je le jure, assura-t-elle. Il marche dans la combine au Marseillais. Il te fait du tort.
Le Capitaine se tut. Ainsi - pour une absence de cinq mois - il ne retrouvait plus personne autour de lui. Sa bande, dont il était fier, l'avait lâché et il lui fallait maintenant chercher, pour de futurs exploits, de nouveaux volontaires. L'entreprise avait ses hasards. Il ne l'ignorait pas, mais il souffrait surtout dans son amour-propre à l'idée qu'un homme dont il ne savait rien s'était permis de le déposséder.
C'est à lui qu'allait toute sa haine et il tâchait à démêler, parmi ses souvenirs, celui qui l'aiderait à découvrir qui pouvait être cet homme dont il se promettait de briser l'ambition.
- J'aurai son rouge, déclara-t-il. Puis, comme ils arrivaient devant les bars de la porte des Lilas, le Capitaine les fouilla du regard.
Francis Carco est né à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) le 3 juillet 1886. Poète, conteur, critique, auteur dramatique et romancier, sa jeunesse s'écoule au milieu de la bohème du Quartier latin et de la butte Montmartre. En 1923, l'Académie française lui décerne le Grand Prix du roman pour l'Homme traqué. En 1937, il est élu membre de l'Académie Goncourt. Il meurt à Paris en 1958.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3418 L'Equipe : roman des fortifs [texte imprimé] / Francis Carco (1886-1958), Auteur . - Paris [France] : Albin Michel, 1989 . - 1 vol. (247 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Bibliothèque Albin Michel, ISSN 0298-2447; 28) .
ISBN : 978-2-226-03704-6 : 35 F
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 843 Fiction de langue française (France) Résumé : - Je le jure, assura-t-elle. Il marche dans la combine au Marseillais. Il te fait du tort.
Le Capitaine se tut. Ainsi - pour une absence de cinq mois - il ne retrouvait plus personne autour de lui. Sa bande, dont il était fier, l'avait lâché et il lui fallait maintenant chercher, pour de futurs exploits, de nouveaux volontaires. L'entreprise avait ses hasards. Il ne l'ignorait pas, mais il souffrait surtout dans son amour-propre à l'idée qu'un homme dont il ne savait rien s'était permis de le déposséder.
C'est à lui qu'allait toute sa haine et il tâchait à démêler, parmi ses souvenirs, celui qui l'aiderait à découvrir qui pouvait être cet homme dont il se promettait de briser l'ambition.
- J'aurai son rouge, déclara-t-il. Puis, comme ils arrivaient devant les bars de la porte des Lilas, le Capitaine les fouilla du regard.
Francis Carco est né à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) le 3 juillet 1886. Poète, conteur, critique, auteur dramatique et romancier, sa jeunesse s'écoule au milieu de la bohème du Quartier latin et de la butte Montmartre. En 1923, l'Académie française lui décerne le Grand Prix du roman pour l'Homme traqué. En 1937, il est élu membre de l'Académie Goncourt. Il meurt à Paris en 1958.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3418 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102914 Littérature CARCO Livre Bibliothèque principale Disponible Le révisionnisme en histoire / Domenico Losurdo
Titre : Le révisionnisme en histoire : problèmes et mythes Type de document : texte imprimé Auteurs : Domenico Losurdo (1941-....), Auteur ; Jean-Michel Goux, Traducteur Editeur : Paris [France] : Albin Michel Année de publication : 2006 Collection : Bibliothèque Albin Michel Sous-collection : Bibliothèque Albin Michel de l'histoire Importance : 1 vol. (316 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-226-15885-7 Prix : 24 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita) Mots-clés : Historiographie 20e siècle Révolutions Philosophie Philosophie de l'histoire Index. décimale : 907 Étude et enseignement, recherche, sujets connexes de l'histoire Résumé : Dans cette relecture originale des origines du totalitarisme, Domenico Losurdo s'attache à analyser et à dénoncer ce qui, selon lui, constitue le plus grand mythe historique de l'époque moderne, forgé par Carl Schmitt entre les deux guerres : l'idée que la tradition révolutionnaire, qui prend sa source dans la revendication de l'égalité abstraite et universelle de tous les hommes, est en dernier ressort la cause des totalitarismes - fasciste et communiste - qui ont marqué le XXe siècle.
S'inscrivant en faux contre les positions qui en découlent, D. Losurdo montre, contre Nolte, que la terreur de masse et le totalitarisme ont des racines qui précèdent de loin la révolution d'Octobre et, contre Furet, qu'ils n'ont pas de liens intrinsèques avec la tradition révolutionnaire et la lutte pour l'égalité abstraite. Leur origine est endogène à la culture libérale de l'Occident moderne ; elle est liée à la manière dont les démocraties ont conçu et développé leurs rapports avec les peuples « autres ». Le nazisme n'est donc pas le produit d'une infection par l'Orient (et n'a pas imité les méthodes des bolcheviques, « mongols », « asiates », juifs sans patrie, comme le prétend Nolte), mais est un pur produit de l'Occident. À l'opposé de la tradition révolutionnaire, il tire son essence de la négation de l'universel humain et de la racisation de l'ennemi pratiquée par les pays occidentaux, dans le colonialisme et les mouvements racialistes qui ont foisonné avec l'essor de la modernité industrielle et « libérale ».
Et c'est dans ce déni que plongent les racines du révisionnisme historique qui tend à s'insinuer de nos jours.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6525 Le révisionnisme en histoire : problèmes et mythes [texte imprimé] / Domenico Losurdo (1941-....), Auteur ; Jean-Michel Goux, Traducteur . - Paris [France] : Albin Michel, 2006 . - 1 vol. (316 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Bibliothèque Albin Michel. Bibliothèque Albin Michel de l'histoire) .
ISBN : 978-2-226-15885-7 : 24 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita)
Mots-clés : Historiographie 20e siècle Révolutions Philosophie Philosophie de l'histoire Index. décimale : 907 Étude et enseignement, recherche, sujets connexes de l'histoire Résumé : Dans cette relecture originale des origines du totalitarisme, Domenico Losurdo s'attache à analyser et à dénoncer ce qui, selon lui, constitue le plus grand mythe historique de l'époque moderne, forgé par Carl Schmitt entre les deux guerres : l'idée que la tradition révolutionnaire, qui prend sa source dans la revendication de l'égalité abstraite et universelle de tous les hommes, est en dernier ressort la cause des totalitarismes - fasciste et communiste - qui ont marqué le XXe siècle.
S'inscrivant en faux contre les positions qui en découlent, D. Losurdo montre, contre Nolte, que la terreur de masse et le totalitarisme ont des racines qui précèdent de loin la révolution d'Octobre et, contre Furet, qu'ils n'ont pas de liens intrinsèques avec la tradition révolutionnaire et la lutte pour l'égalité abstraite. Leur origine est endogène à la culture libérale de l'Occident moderne ; elle est liée à la manière dont les démocraties ont conçu et développé leurs rapports avec les peuples « autres ». Le nazisme n'est donc pas le produit d'une infection par l'Orient (et n'a pas imité les méthodes des bolcheviques, « mongols », « asiates », juifs sans patrie, comme le prétend Nolte), mais est un pur produit de l'Occident. À l'opposé de la tradition révolutionnaire, il tire son essence de la négation de l'universel humain et de la racisation de l'ennemi pratiquée par les pays occidentaux, dans le colonialisme et les mouvements racialistes qui ont foisonné avec l'essor de la modernité industrielle et « libérale ».
Et c'est dans ce déni que plongent les racines du révisionnisme historique qui tend à s'insinuer de nos jours.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6525 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102063 Histoire HISTORIOGRAPHIE Livre Bibliothèque principale Disponible Le ventre des femmes / Françoise Vergès
Titre : Le ventre des femmes : capitalisme, racialisation, féminisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Vergès (1952-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Albin Michel Année de publication : 2017 Collection : Bibliothèque Albin Michel Sous-collection : Idées Importance : 1 vol. (229 p.) Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-226-39525-2 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Histoire:France:1968->... Index. décimale : 305.4 Femmes Résumé : Dans les années 1960-1970, l'État français encourage l'avortement et la contraception dans les départements d'outre-mer alors même qu'il les interdit et les criminalise en France métropolitaine.
Comment expliquer de telles disparités ?
Partant du cas emblématique de La Réunion où, en juin 1970, des milliers d'avortements et de stérilisations sans consentement pratiqués par des médecins blancs sont rendus publics, Françoise Vergés retrace la politique de gestion du ventre des femmes, stigmatisées en raison de la couleur de leur peau.
Dès 1945, invoquant la « surpopulation » de ses anciennes colonies, l'État français prône le contrôle des naissances et l'organisation de l'émigration ; une politique qui le conduit à reconfigurer à plusieurs reprises l'espace de la République, provoquant un repli progressif sur l'Hexagone au détriment des outre-mer, où les abus se multiplient.
Françoise Vergés s'interroge sur les causes et les conséquences de ces reconfigurations et sur la marginalisation de la question raciale et coloniale par les mouvements féministes actifs en métropole, en particulier le MLF. En s'appuyant sur les notions de genre, de race, de classe dans une ère postcoloniale, l'auteure entend faire la lumière sur l'histoire mutilée de ces femmes, héritée d'un système esclavagiste, colonialiste et capitaliste encore largement ignoré aujourd'hui.
Françoise Vergés est titulaire de la Chaire « Global South (s) » au Collège d'études mondiales, Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris. Elle est notamment l'auteure d'Entretiens avec Aimé Césaire, Nègre je suis, nègre je resterai (2005), de La Mémoire enchaînée (2006), et de L'Homme prédateur (2011).Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9390 Le ventre des femmes : capitalisme, racialisation, féminisme [texte imprimé] / Françoise Vergès (1952-....), Auteur . - Paris [France] : Albin Michel, 2017 . - 1 vol. (229 p.) : couv. ill. ; 23 cm. - (Bibliothèque Albin Michel. Idées) .
ISBN : 978-2-226-39525-2 : 20 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire:France:1968->... Index. décimale : 305.4 Femmes Résumé : Dans les années 1960-1970, l'État français encourage l'avortement et la contraception dans les départements d'outre-mer alors même qu'il les interdit et les criminalise en France métropolitaine.
Comment expliquer de telles disparités ?
Partant du cas emblématique de La Réunion où, en juin 1970, des milliers d'avortements et de stérilisations sans consentement pratiqués par des médecins blancs sont rendus publics, Françoise Vergés retrace la politique de gestion du ventre des femmes, stigmatisées en raison de la couleur de leur peau.
Dès 1945, invoquant la « surpopulation » de ses anciennes colonies, l'État français prône le contrôle des naissances et l'organisation de l'émigration ; une politique qui le conduit à reconfigurer à plusieurs reprises l'espace de la République, provoquant un repli progressif sur l'Hexagone au détriment des outre-mer, où les abus se multiplient.
Françoise Vergés s'interroge sur les causes et les conséquences de ces reconfigurations et sur la marginalisation de la question raciale et coloniale par les mouvements féministes actifs en métropole, en particulier le MLF. En s'appuyant sur les notions de genre, de race, de classe dans une ère postcoloniale, l'auteure entend faire la lumière sur l'histoire mutilée de ces femmes, héritée d'un système esclavagiste, colonialiste et capitaliste encore largement ignoré aujourd'hui.
Françoise Vergés est titulaire de la Chaire « Global South (s) » au Collège d'études mondiales, Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris. Elle est notamment l'auteure d'Entretiens avec Aimé Césaire, Nègre je suis, nègre je resterai (2005), de La Mémoire enchaînée (2006), et de L'Homme prédateur (2011).Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9390 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104863 Féminisme VERGES Livre Bibliothèque principale Disponible