BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Détail de l'auteur
Auteur Georges Sorel (1847-1922) |
Documents disponibles écrits par cet auteur (4)
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La décomposition du marxisme / Georges Sorel
Titre : La décomposition du marxisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Sorel (1847-1922), Auteur Mention d'édition : 1908 Editeur : Saint-Denis : Bona fide Année de publication : 1979 Importance : 1 vol. (72 p.) Format : 22 cm Langues : Français (fre) Index. décimale : 320.531 Socialisme Résumé : L'introduction de partis politiques dans un mouvement révolutionnaire nous éloigne beaucoup de la simplicité primitive. Les révoltés avaient été, tout d'abord, enivrés par l'idée que leur volonté ne devrait rencontrer aucun obstacle, puisqu'ils étaient le nombre ; il leur semblait évident qu'ils n'auraient qu'à désigner des délégués pour formuler une nouvelle légalité conforme à leurs besoins ; mais voilà qu'ils acceptent la direction d'hommes qui ont d'autres intérêts que les leurs ; ces hommes veulent bien leur rendre service, mais à la condition que les masses leur livreront l'État, objet de leur convoitise. Ainsi l'instinct de révolte des pauvres peut servir de base à la formation d'un État populaire, formé de bourgeois qui désirent continuer la vie bourgeoise, qui maintiennent les idéologies bourgeoises, mais qui se donnent comme les mandataires du prolétariat.
Georges SorelPermalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8882 La décomposition du marxisme [texte imprimé] / Georges Sorel (1847-1922), Auteur . - 1908 . - Saint-Denis : Bona fide, 1979 . - 1 vol. (72 p.) ; 22 cm.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 320.531 Socialisme Résumé : L'introduction de partis politiques dans un mouvement révolutionnaire nous éloigne beaucoup de la simplicité primitive. Les révoltés avaient été, tout d'abord, enivrés par l'idée que leur volonté ne devrait rencontrer aucun obstacle, puisqu'ils étaient le nombre ; il leur semblait évident qu'ils n'auraient qu'à désigner des délégués pour formuler une nouvelle légalité conforme à leurs besoins ; mais voilà qu'ils acceptent la direction d'hommes qui ont d'autres intérêts que les leurs ; ces hommes veulent bien leur rendre service, mais à la condition que les masses leur livreront l'État, objet de leur convoitise. Ainsi l'instinct de révolte des pauvres peut servir de base à la formation d'un État populaire, formé de bourgeois qui désirent continuer la vie bourgeoise, qui maintiennent les idéologies bourgeoises, mais qui se donnent comme les mandataires du prolétariat.
Georges SorelPermalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8882 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102728 Socialisme SOREL Livre Bibliothèque principale Disponible Histoire des Bourses du travail / Fernand Pelloutier
Titre : Histoire des Bourses du travail : origine, institutions, avenir Type de document : texte imprimé Auteurs : Fernand Pelloutier (1867-1901), Auteur ; Georges Sorel (1847-1922), Préfacier, etc. ; Victor Dave (1845-1922), Auteur du commentaire Editeur : Paris : Alfred Coste Année de publication : 1921 Importance : 1 vol. (340 p.) Format : 19 cm Langues : Français (fre) Concepts : Sans schéma
Mouvement ouvrier ; Syndicalisme révolutionnaireIndex. décimale : 331.11 Travailleurs. Monde du travail Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10460 Histoire des Bourses du travail : origine, institutions, avenir [texte imprimé] / Fernand Pelloutier (1867-1901), Auteur ; Georges Sorel (1847-1922), Préfacier, etc. ; Victor Dave (1845-1922), Auteur du commentaire . - Paris : Alfred Coste, 1921 . - 1 vol. (340 p.) ; 19 cm.
Langues : Français (fre)
Concepts : Sans schéma
Mouvement ouvrier ; Syndicalisme révolutionnaireIndex. décimale : 331.11 Travailleurs. Monde du travail Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10460 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105622 Mouvement ouvrier BOURSES DU TRAVAIL Livre Bibliothèque principale Disponible Les illusions du progrès / Georges Sorel
Titre : Les illusions du progrès Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Sorel (1847-1922), Auteur Editeur : Paris : Ed. du Trident Année de publication : 1989 Importance : 1 vol. (388 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87690-060-8 Résumé : Ce texte, écrit en 1908, définit la pensée de Georges Sorel (1847-1922), publiciste et lecteur de Marx, Proudhon, Bergson ou Nietzsche. Sa critique contre les démocrates réformistes et le progrès tous azimuts a fortement influencé de nombreux intellectuels au début du XXe siècle. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6221 Les illusions du progrès [texte imprimé] / Georges Sorel (1847-1922), Auteur . - Paris : Ed. du Trident, 1989 . - 1 vol. (388 p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-87690-060-8
Résumé : Ce texte, écrit en 1908, définit la pensée de Georges Sorel (1847-1922), publiciste et lecteur de Marx, Proudhon, Bergson ou Nietzsche. Sa critique contre les démocrates réformistes et le progrès tous azimuts a fortement influencé de nombreux intellectuels au début du XXe siècle. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6221 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 101688 Socialisme SOREL Livre Bibliothèque principale Disponible
Titre : Reflexions sur la violence Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Sorel (1847-1922), Auteur Editeur : Lausanne [Suisse] : Entremonde Année de publication : 2013 Collection : Classique Importance : 1 vol. (279 p.) Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940426-22-5 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Socialisme Index. décimale : 320.531 Socialisme Résumé : Les hommes qui adressent au peuple des paroles révolutionnaires sont tenus de se soumettre à de sévères obligations de sincérité ; parce que les ouvriers entendent ces paroles dans le sens exact que leur donne la langue et ne se livrent point à une interprétation symbolique. Lorsqu'en 1905 je me suis hasardé à écrire, d'une manière un peu approfondie, sur la violence prolétarienne, je me rendais parfaitement compte de la grave responsabilité que j'assumais en tentant de montrer le rôle historique d'actes que nos socialistes parlementaires cherchent à dissimuler avec tant d'art. Aujourd'hui, je n'hésite pas à déclarer que le socialisme ne saurait subsister sans une apologie de la violence.
G. Sorel
Peut-être est-ce la position ambiguë de ce qui fut le livre de chevet des radicaux autant de gauche que de droite qui l'a fait glisser dans les failles de la mémoire historique ? Écrites par le plus éminent des marxistes de France au moment précis où le prolétariat y était au faîte de sa puissance, les Réflexions sur la violence s'attellent à en illustrer les secrets non seulement historico-politiques, mais également psychologiques. La violence y acquiert un statut inédit : ni plus moyen ni fin, elle devient la manifestation de la division de classe au cœur du social, contre une entropie démocratique ne permettant aucune autonomie. Or, de cette autonomie dépend la possibilité d'une articulation entre les idées et les conditions d'existence sans laquelle une présence révolutionnaire ne pourrait jamais se conjuguer au présent, restant prise dans l'ingénierie du futur et l'imitation du passé propres à l'utopisme. Au fil des pages, l'image mythique qui nous est restée du syndicalisme révolutionnaire de la Belle Époque en vient à discerner son origine dans le fait même que ses protagonistes ont vécu la grève générale comme l'émanation d'un mythe.
Ingénieur des ponts et chaussées jusqu'à l'âge de 45 ans, Georges Sorel (1847-1922) se consacra à la théorie marxiste à partir de l'Affaire Dreyfus et devint la figure de proue du syndicalisme révolutionnaire. Après avoir fréquenté les milieux monarchistes, il revint au communisme avec la guerre. On lui doit notamment : L'Avenir socialiste des syndicats (Librairie de l'Art social, 1898), Les Illusions du progrès, (Marcel Rivière, 1908) et Matériaux d'une théorie du prolétariat (Marcel Rivière, 1919).En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782940426225/unimarc_utf-8 Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5446 Reflexions sur la violence [texte imprimé] / Georges Sorel (1847-1922), Auteur . - Lausanne [Suisse] : Entremonde, 2013 . - 1 vol. (279 p.) : couv. ill. ; 24 cm. - (Classique) .
ISBN : 978-2-940426-22-5 : 20 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Socialisme Index. décimale : 320.531 Socialisme Résumé : Les hommes qui adressent au peuple des paroles révolutionnaires sont tenus de se soumettre à de sévères obligations de sincérité ; parce que les ouvriers entendent ces paroles dans le sens exact que leur donne la langue et ne se livrent point à une interprétation symbolique. Lorsqu'en 1905 je me suis hasardé à écrire, d'une manière un peu approfondie, sur la violence prolétarienne, je me rendais parfaitement compte de la grave responsabilité que j'assumais en tentant de montrer le rôle historique d'actes que nos socialistes parlementaires cherchent à dissimuler avec tant d'art. Aujourd'hui, je n'hésite pas à déclarer que le socialisme ne saurait subsister sans une apologie de la violence.
G. Sorel
Peut-être est-ce la position ambiguë de ce qui fut le livre de chevet des radicaux autant de gauche que de droite qui l'a fait glisser dans les failles de la mémoire historique ? Écrites par le plus éminent des marxistes de France au moment précis où le prolétariat y était au faîte de sa puissance, les Réflexions sur la violence s'attellent à en illustrer les secrets non seulement historico-politiques, mais également psychologiques. La violence y acquiert un statut inédit : ni plus moyen ni fin, elle devient la manifestation de la division de classe au cœur du social, contre une entropie démocratique ne permettant aucune autonomie. Or, de cette autonomie dépend la possibilité d'une articulation entre les idées et les conditions d'existence sans laquelle une présence révolutionnaire ne pourrait jamais se conjuguer au présent, restant prise dans l'ingénierie du futur et l'imitation du passé propres à l'utopisme. Au fil des pages, l'image mythique qui nous est restée du syndicalisme révolutionnaire de la Belle Époque en vient à discerner son origine dans le fait même que ses protagonistes ont vécu la grève générale comme l'émanation d'un mythe.
Ingénieur des ponts et chaussées jusqu'à l'âge de 45 ans, Georges Sorel (1847-1922) se consacra à la théorie marxiste à partir de l'Affaire Dreyfus et devint la figure de proue du syndicalisme révolutionnaire. Après avoir fréquenté les milieux monarchistes, il revint au communisme avec la guerre. On lui doit notamment : L'Avenir socialiste des syndicats (Librairie de l'Art social, 1898), Les Illusions du progrès, (Marcel Rivière, 1908) et Matériaux d'une théorie du prolétariat (Marcel Rivière, 1919).En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782940426225/unimarc_utf-8 Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5446 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104371 Socialisme VIOLENCE REVOLUTIONNAIRE Livre Bibliothèque principale Sorti jusqu'au 23/05/2019