BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Ouvrages de la bibliothèque en indexation 330.1 (18)
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La brutalité financière / Christian Marazzi
Titre : La brutalité financière : grammaire de la crise Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Marazzi (1951-....), Auteur ; Anne Querrien (1945-....), Traducteur ; François Rosso, Traducteur Editeur : Lausanne : Réalités sociales Année de publication : 2013 Autre Editeur : Paris : L'Éclat Importance : 1 vol. (157 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-88146-148-4 Prix : 12 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita) Mots-clés : Crise économique (2008) Finances internationales Libéralisme Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : La crise historique qui nous affecte n'est pas seulement économique, mais humaine en ce qu'elle vise directement la « vie nue » des hommes et des femmes qui travaillent sous l'hégémonie brutale du capital. Qu'on en attribue la cause aux prêts subprime, aux endettements ou aux outrances de l'économie financière qui auraient intoxiqué l'« économie réelle », il n'en reste pas moins que toutes les solutions ponctuelles adoptées jusqu'alors, qui ont mobilisé ce qu'il restait des organismes publics au chevet du secteur privé, n'ont fait qu'amplifier la crise ou la déplacer.
Pour Christian Marazzi, la crise prend sa source non pas dans le dérèglement d'un système de production de richesse amorcé avec l'industrialisation du siècle passé, mais dans le principe même de ce système, en tant qu'il est fondé exclusivement sur l'extraction de profit de n'importe quelle activité, s'acharnant sur ceux qui n'ont précisément que leur vie à lui offrit. Dès lors il s'agit de mettre en place des stratégies et des mesures géomonétaires et géopolitiques afin de « prendre soin de soi et de l'environnement dans lequel on évolue, de favoriser une croissance socialement responsable ».
Christian Marazzi, économiste, est professeur à la Haute école spécialisée de la Suisse italienne. Deux de ses livres ont été traduits en français : La place des chaussettes (L'éclat, 1997) et Et vogue l'argent (L'aube, 2003).Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7897 La brutalité financière : grammaire de la crise [texte imprimé] / Christian Marazzi (1951-....), Auteur ; Anne Querrien (1945-....), Traducteur ; François Rosso, Traducteur . - Lausanne : Réalités sociales : Paris : L'Éclat, 2013 . - 1 vol. (157 p.) ; 19 cm.
ISBN : 978-2-88146-148-4 : 12 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita)
Mots-clés : Crise économique (2008) Finances internationales Libéralisme Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : La crise historique qui nous affecte n'est pas seulement économique, mais humaine en ce qu'elle vise directement la « vie nue » des hommes et des femmes qui travaillent sous l'hégémonie brutale du capital. Qu'on en attribue la cause aux prêts subprime, aux endettements ou aux outrances de l'économie financière qui auraient intoxiqué l'« économie réelle », il n'en reste pas moins que toutes les solutions ponctuelles adoptées jusqu'alors, qui ont mobilisé ce qu'il restait des organismes publics au chevet du secteur privé, n'ont fait qu'amplifier la crise ou la déplacer.
Pour Christian Marazzi, la crise prend sa source non pas dans le dérèglement d'un système de production de richesse amorcé avec l'industrialisation du siècle passé, mais dans le principe même de ce système, en tant qu'il est fondé exclusivement sur l'extraction de profit de n'importe quelle activité, s'acharnant sur ceux qui n'ont précisément que leur vie à lui offrit. Dès lors il s'agit de mettre en place des stratégies et des mesures géomonétaires et géopolitiques afin de « prendre soin de soi et de l'environnement dans lequel on évolue, de favoriser une croissance socialement responsable ».
Christian Marazzi, économiste, est professeur à la Haute école spécialisée de la Suisse italienne. Deux de ses livres ont été traduits en français : La place des chaussettes (L'éclat, 1997) et Et vogue l'argent (L'aube, 2003).Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7897 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 103714 Économie CRISE Livre Bibliothèque principale Disponible Le capitalisme à l'agonie / Paul Jorion
Titre : Le capitalisme à l'agonie Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Jorion (1946-....), Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : DL 2011 Importance : 1 vol. (348 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-65488-1 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Mots-clés : Capitalisme Libéralisme économique Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : À la chute du mur de Berlin en 1989, le capitalisme triomphait. Vingt ans plus tard, il est à l'agonie. Qu'a-t-il bien pu se passer entre-temps ? Une explication possible est que le capitalisme a été atteint du même mal qui venait de terrasser son rival, et la complexité devrait alors être incriminée : l'organisation des sociétés humaines atteindrait un seuil de complexité au-delà duquel l'instabilité prendrait le dessus et où, sa fragilité étant devenue excessive, le système courrait à sa perte. Une autre explication serait que le capitalisme avait besoin de l'existence d'un ennemi pour se soutenir. En l'absence de cette alternative, ses bénéficiaires n'auraient pas hésité à pousser leur avantage, déséquilibrant le système entier. Autre explication possible encore : du fait du versement d'intérêts par ceux qui sont obligés d'emprunter, le capitalisme engendrerait inéluctablement une concentration de la richesse telle que le système ne pourrait manquer de se gripper un jour ou l'autre. Entre ces hypothèses, il n'est pas nécessaire de choisir : les trois sont vraies et ont conjugué leurs effets dans la première décennie du xxie siècle. Cette rencontre de facteurs mortifères explique pourquoi nous ne traversons pas l'une des crises habituelles du capitalisme, mais sa crise majeure, celle de son essoufflement final, et pour tout dire celle de sa chute. Anthropologue, sociologue et spécialiste de la formation des prix, Paul Jorion jette depuis plusieurs années un autre regard sur l'économie ; il annonçait ainsi dès 2005 ce qui allait devenir la crise des subprimes. Il est également l'auteur, chez Fayard, de L'Implosion, La Crise et L'Argent. Note de contenu : Bibliogr. p. 341-346 Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5752 Le capitalisme à l'agonie [texte imprimé] / Paul Jorion (1946-....), Auteur . - Paris : Fayard, DL 2011 . - 1 vol. (348 p.) ; 22 cm.
ISBN : 978-2-213-65488-1 : 20 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Capitalisme Mots-clés : Capitalisme Libéralisme économique Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : À la chute du mur de Berlin en 1989, le capitalisme triomphait. Vingt ans plus tard, il est à l'agonie. Qu'a-t-il bien pu se passer entre-temps ? Une explication possible est que le capitalisme a été atteint du même mal qui venait de terrasser son rival, et la complexité devrait alors être incriminée : l'organisation des sociétés humaines atteindrait un seuil de complexité au-delà duquel l'instabilité prendrait le dessus et où, sa fragilité étant devenue excessive, le système courrait à sa perte. Une autre explication serait que le capitalisme avait besoin de l'existence d'un ennemi pour se soutenir. En l'absence de cette alternative, ses bénéficiaires n'auraient pas hésité à pousser leur avantage, déséquilibrant le système entier. Autre explication possible encore : du fait du versement d'intérêts par ceux qui sont obligés d'emprunter, le capitalisme engendrerait inéluctablement une concentration de la richesse telle que le système ne pourrait manquer de se gripper un jour ou l'autre. Entre ces hypothèses, il n'est pas nécessaire de choisir : les trois sont vraies et ont conjugué leurs effets dans la première décennie du xxie siècle. Cette rencontre de facteurs mortifères explique pourquoi nous ne traversons pas l'une des crises habituelles du capitalisme, mais sa crise majeure, celle de son essoufflement final, et pour tout dire celle de sa chute. Anthropologue, sociologue et spécialiste de la formation des prix, Paul Jorion jette depuis plusieurs années un autre regard sur l'économie ; il annonçait ainsi dès 2005 ce qui allait devenir la crise des subprimes. Il est également l'auteur, chez Fayard, de L'Implosion, La Crise et L'Argent. Note de contenu : Bibliogr. p. 341-346 Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5752 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100995 Économie LIBERALISME Livre Bibliothèque principale Disponible Capitalisme, désir et servitude / Frédéric Lordon
Titre : Capitalisme, désir et servitude : Marx et Spinoza Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Lordon (1962-....), Auteur Editeur : Paris [France] : La Fabrique Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (213 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35872-013-7 Prix : 12 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme
Philosophie:Philosophie politiqueConcepts : Sans schéma
CapitalismeMots-clés : Capitalisme Analyse marxiste Salariat Passions Anthropologie Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : Comment un certain désir s'y prend-il pour impliquer des puissances tierces dans ses entreprises ? C'est le problème de ce qu'on appellera en toute généralité le patronat, conçu comme un rapport social d'enrôlement. Marx a presque tout dit des structures sociales de la forme capitaliste du patronat et de l'enrôlement salarial. Moins de la diversité des régimes d'affects qui pouvaient s'y couler. Car le capital a fait du chemin depuis les affects tristes de la coercition brute. Et le voilà maintenant qui voudrait des salariés contents, c'est-à-dire qui désireraient conformément à son désir à lui. Pour mieux convertir en travail la force de travail il s'en prend donc désormais aux désirs et aux affects. L'enrôlement des puissances salariales entre dans un nouveau régime et le capitalisme expérimente un nouvel art de faire marcher les salariés.
Compléter le structuralisme marxien des rapports par une anthropologie spinoziste de la puissance et des passions offre alors l'occasion de reprendre à nouveaux frais les notions d'aliénation, d'exploitation et de domination que le capitalisme voudrait dissoudre dans les consentements du salariat joyeux. Et peut-être de prendre une autre perspective sur la possibilité de son dépassement.
Frédéric Lordon, directeur de recherche au CNRS, travaille au développement d'une économie politique spinoziste (L'intérêt souverain, 2006 : Spinoza et les sciences sociales, 2008) et sur les crises du capitalisme financier (Jusqu'à quand ? Pour en finir avec les crises financières, 2008 ; La crise de trop, 2009)Note de contenu : Bibliogr. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7364 Capitalisme, désir et servitude : Marx et Spinoza [texte imprimé] / Frédéric Lordon (1962-....), Auteur . - Paris [France] : La Fabrique, 2010 . - 1 vol. (213 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 20 cm.
ISBN : 978-2-35872-013-7 : 12 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Capitalisme
Philosophie:Philosophie politiqueConcepts : Sans schéma
CapitalismeMots-clés : Capitalisme Analyse marxiste Salariat Passions Anthropologie Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : Comment un certain désir s'y prend-il pour impliquer des puissances tierces dans ses entreprises ? C'est le problème de ce qu'on appellera en toute généralité le patronat, conçu comme un rapport social d'enrôlement. Marx a presque tout dit des structures sociales de la forme capitaliste du patronat et de l'enrôlement salarial. Moins de la diversité des régimes d'affects qui pouvaient s'y couler. Car le capital a fait du chemin depuis les affects tristes de la coercition brute. Et le voilà maintenant qui voudrait des salariés contents, c'est-à-dire qui désireraient conformément à son désir à lui. Pour mieux convertir en travail la force de travail il s'en prend donc désormais aux désirs et aux affects. L'enrôlement des puissances salariales entre dans un nouveau régime et le capitalisme expérimente un nouvel art de faire marcher les salariés.
Compléter le structuralisme marxien des rapports par une anthropologie spinoziste de la puissance et des passions offre alors l'occasion de reprendre à nouveaux frais les notions d'aliénation, d'exploitation et de domination que le capitalisme voudrait dissoudre dans les consentements du salariat joyeux. Et peut-être de prendre une autre perspective sur la possibilité de son dépassement.
Frédéric Lordon, directeur de recherche au CNRS, travaille au développement d'une économie politique spinoziste (L'intérêt souverain, 2006 : Spinoza et les sciences sociales, 2008) et sur les crises du capitalisme financier (Jusqu'à quand ? Pour en finir avec les crises financières, 2008 ; La crise de trop, 2009)Note de contenu : Bibliogr. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7364 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 103211 Économie LORDON Livre Bibliothèque principale Sorti jusqu'au 28/08/2017 Le capitalisme est en train de s'autodétruire / Patrick Artus
Titre : Le capitalisme est en train de s'autodétruire Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Artus (1951-....), Auteur ; Marie-Paule Virard, Auteur Editeur : Paris [France] : La Découverte Année de publication : impr. 2005 Collection : Cahiers libres, ISSN 0526-8370 Importance : 1 vol. (141 p.) Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4701-1 Prix : 12 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme
ÉconomieMots-clés : Capitalisme Économie de marché Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : Le capitalisme est-il en train de s'autodétruire ? La question peut sembler saugrenue, voire provocatrice, au moment même où les grandes entreprises de la planète, y compris en France, affichent des profits insolents, rémunèrent très confortablement leurs dirigeants et distribuent des dividendes records à leurs actionnaires? Alors que la croissance économique en Europe en tout cas stagne, que les délocalisations se multiplient et que chômage et précarité s'aggravent, on comprend que le débat devienne vif sur la légitimité d'une telle captation de richesses. Dans ce livre décapant et remarquable de clarté, les auteurs n'y vont pas par quatre chemins pour qualifier ce paradoxe : c'est au moment où le capitalisme n'a jamais été aussi prospère qu'il apparaît le plus vulnérable, et nous avec lui. Parce qu'il s'agit d'un capitalisme sans projet, qui ne fait rien d'utile de ses milliards, qui n'investit pas, qui ne prépare pas l'avenir. Et face au malaise social, les gouvernements ne traitent le plus souvent que les symptômes, faute de prendre en compte le fond du problème. Ce problème, c'est l'absurdité du comportement des grands investisseurs, qui exigent des entreprises des résultats exorbitants de tout sens commun. Du coup, elles privilégient le rendement à trois mois plutôt que l'investissement à long terme, quitte à délocaliser, à faire pression sur les salaires et à renoncer à créer des emplois ici et maintenant. Voilà pourquoi il est urgent, expliquent les auteurs, de réformer profondément la gestion de l'épargne, d'imposer de nouvelles règles de gouvernance aux gérants comme aux régulateurs. Faute de quoi on n'évitera pas une nouvelle crise du capitalisme, avec toutes ses conséquences politiques et sociales. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4029 Le capitalisme est en train de s'autodétruire [texte imprimé] / Patrick Artus (1951-....), Auteur ; Marie-Paule Virard, Auteur . - Paris [France] : La Découverte, impr. 2005 . - 1 vol. (141 p.) : couv. ill. ; 24 cm. - (Cahiers libres, ISSN 0526-8370) .
ISBN : 978-2-7071-4701-1 : 12 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Capitalisme
ÉconomieMots-clés : Capitalisme Économie de marché Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : Le capitalisme est-il en train de s'autodétruire ? La question peut sembler saugrenue, voire provocatrice, au moment même où les grandes entreprises de la planète, y compris en France, affichent des profits insolents, rémunèrent très confortablement leurs dirigeants et distribuent des dividendes records à leurs actionnaires? Alors que la croissance économique en Europe en tout cas stagne, que les délocalisations se multiplient et que chômage et précarité s'aggravent, on comprend que le débat devienne vif sur la légitimité d'une telle captation de richesses. Dans ce livre décapant et remarquable de clarté, les auteurs n'y vont pas par quatre chemins pour qualifier ce paradoxe : c'est au moment où le capitalisme n'a jamais été aussi prospère qu'il apparaît le plus vulnérable, et nous avec lui. Parce qu'il s'agit d'un capitalisme sans projet, qui ne fait rien d'utile de ses milliards, qui n'investit pas, qui ne prépare pas l'avenir. Et face au malaise social, les gouvernements ne traitent le plus souvent que les symptômes, faute de prendre en compte le fond du problème. Ce problème, c'est l'absurdité du comportement des grands investisseurs, qui exigent des entreprises des résultats exorbitants de tout sens commun. Du coup, elles privilégient le rendement à trois mois plutôt que l'investissement à long terme, quitte à délocaliser, à faire pression sur les salaires et à renoncer à créer des emplois ici et maintenant. Voilà pourquoi il est urgent, expliquent les auteurs, de réformer profondément la gestion de l'épargne, d'imposer de nouvelles règles de gouvernance aux gérants comme aux régulateurs. Faute de quoi on n'évitera pas une nouvelle crise du capitalisme, avec toutes ses conséquences politiques et sociales. Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4029 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100703 Économie ECONOMIE Livre Bibliothèque principale Disponible Crack capitalism / John Holloway
Titre : Crack capitalism : 33 thèses contre le capital Type de document : texte imprimé Auteurs : John Holloway (1947-....), Auteur ; José Chatroussat, Traducteur Editeur : Paris [France] : Libertalia Année de publication : 2012 Importance : 1 vol. (458 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-918059-22-6 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame) Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : « La révolution ne consiste pas à détruire le capitalisme mais à refuser de le fabriquer. La présenter comme la destruction du capitalisme, c’est partir perdant, c’est ériger un grand monstre en face de nous, si terrifiant que, soit nous renonçons par désespoir, soit nous en concluons que notre seule façon de tuer le monstre est de construire un grand parti avec des dirigeants héroïques qui se sacrifient (et tous ceux autour d’eux) au nom de la révolution. Nous partons à nouveau perdants, cette fois en élaborant une grande fable d’héroïsme, de direction, de sacrifice, d’autorité et de patience, une fable peuplée de saints – Lénine, Trotski, Rosa, Mao, le Che, Marcos ou qui vous voudrez – qui reproduit ce que nous voulons détruire. Présenter la révolution comme la destruction du capitalisme, c’est la mettre à distance de nous, c’est la reporter dans le futur. La question n’est pas dans le futur. Elle se pose ici et maintenant : comment cessons-nous de produire le système par lequel nous détruisons l’humanité ? »
Dans cet essai, John Holloway suggère que le capitalisme est déjà largement fissuré, en crise permanente, et contrarié par de multiples refus de sa force de cohésion. La force des brèches réside dans leurs aspirations partagées contre le travail capitaliste et pour un type d’activité différent : faire ce que nous considérons nécessaire ou désirable. Construit en 33 thèses, Crack Capitalism ranimera le débat dans les réseaux militants, parmi les Indignados, les chercheurs critiques et toutes celles et ceux qui aspirent aujourd’hui à changer le monde.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8634 Crack capitalism : 33 thèses contre le capital [texte imprimé] / John Holloway (1947-....), Auteur ; José Chatroussat, Traducteur . - Paris [France] : Libertalia, 2012 . - 1 vol. (458 p.) : couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-918059-22-6 : 20 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame)
Index. décimale : 330.1 Systèmes et théories économiques Résumé : « La révolution ne consiste pas à détruire le capitalisme mais à refuser de le fabriquer. La présenter comme la destruction du capitalisme, c’est partir perdant, c’est ériger un grand monstre en face de nous, si terrifiant que, soit nous renonçons par désespoir, soit nous en concluons que notre seule façon de tuer le monstre est de construire un grand parti avec des dirigeants héroïques qui se sacrifient (et tous ceux autour d’eux) au nom de la révolution. Nous partons à nouveau perdants, cette fois en élaborant une grande fable d’héroïsme, de direction, de sacrifice, d’autorité et de patience, une fable peuplée de saints – Lénine, Trotski, Rosa, Mao, le Che, Marcos ou qui vous voudrez – qui reproduit ce que nous voulons détruire. Présenter la révolution comme la destruction du capitalisme, c’est la mettre à distance de nous, c’est la reporter dans le futur. La question n’est pas dans le futur. Elle se pose ici et maintenant : comment cessons-nous de produire le système par lequel nous détruisons l’humanité ? »
Dans cet essai, John Holloway suggère que le capitalisme est déjà largement fissuré, en crise permanente, et contrarié par de multiples refus de sa force de cohésion. La force des brèches réside dans leurs aspirations partagées contre le travail capitaliste et pour un type d’activité différent : faire ce que nous considérons nécessaire ou désirable. Construit en 33 thèses, Crack Capitalism ranimera le débat dans les réseaux militants, parmi les Indignados, les chercheurs critiques et toutes celles et ceux qui aspirent aujourd’hui à changer le monde.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8634 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104297 Marxisme HOLLOWAY Livre Bibliothèque principale Disponible Crises / Léon de Mattis
PermalinkDu développement à la décroissance / Jean-Pierre Tertrais
PermalinkGéographie de la domination / David W. Harvey
PermalinkLe grand bond en arrière / Serge Halimi
PermalinkHistoire du capitalisme / Michel Beaud
PermalinkHistoire secrète du patronat
PermalinkMensonges de l'économie / John Kenneth Galbraith
PermalinkMisère de la pensée économique / Paul Jorion
PermalinkLe nouvel esprit du capitalisme / Luc Boltanski
PermalinkPetit cours d'autodéfense en économie / Jim Stanford
PermalinkLe profit avant l'homme / Noam Chomsky
PermalinkEn route vers l'abondance / Jacques Duboin
PermalinkLes travailleurs face au capitalisme / Culture et liberté
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