BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Détail de l'éditeur
J. Picollec
localisé à :
Paris
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Rosa Luxemburg / Alain Guillerm
Titre : Rosa Luxemburg : la rose rouge Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Guillerm, Auteur Editeur : Paris : J. Picollec Année de publication : 2002 Importance : 1 vol. (259 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86477-191-3 Prix : 23 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Biographies Concepts : Sans schéma
Biographies ; RévolutionnairesIndex. décimale : 320.531 Socialisme Résumé : En ces temps où le marxisme s'est effondré sous les crimes de Staline, Mao et autres, Rosa Luxemburg est la seule personnalité qui laisse vivante l'idée d'une révolution antitotalitaire et autogestionnaire.
Née en 1871, dans une Pologne annexée par la Russie des tsars, cette révolutionnaire, femme, juive et Polonaise, refusa de se cantonner à cette triple condition pour choisir sa vie, ses hommes, son métier. Après des études à Varsovie et un séjour en Suisse, elle s'installe à Berlin, en 1898, et débute une carrière au sein du SPD, la social-démocratie allemande, la plus puissante et supposée la plus radicale d'Europe. Internationaliste, parlant couramment plusieurs langues, elle vivra deux ans à Paris, où elle publie un journal en polonais, La Cause ouvrière.
La Première Guerre mondiale et le vote des crédits militaires par le SPD allaient constituer pour elle un tournant décisif : seule, aux côtés du député Karl Liebknecht, elle s'oppose à cette décision et fonde, avec quelques dissidents, le mouvement spartakiste. Emprisonnée à de nombreuses reprises pour ses déclarations pacifistes, elle n'en continue pas moins de défendre ses idées, sous le pseudonyme de Junius.
Dans une brochure écrite en 1918, elle salue la Révolution d'Octobre mais en dénonce déjà les excès, notamment la terreur exercée par le régime bolchevik sur les opposants.
Peu après sa libération, elle participe à la fondation du parti communiste allemand, le KPD (Ligue Spartakus). Mais elle est assassinée, le 15 janvier 1919 lors d'émeutes ouvrières, sur l'ordre des sociaux-démocrates majoritaires.
Voici retracés le destin, les combats et les idées de celle qui écrivait :
«La liberté de penser, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement».Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10575 Rosa Luxemburg : la rose rouge [texte imprimé] / Alain Guillerm, Auteur . - Paris : J. Picollec, 2002 . - 1 vol. (259 p.) : couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-86477-191-3 : 23 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Biographies Concepts : Sans schéma
Biographies ; RévolutionnairesIndex. décimale : 320.531 Socialisme Résumé : En ces temps où le marxisme s'est effondré sous les crimes de Staline, Mao et autres, Rosa Luxemburg est la seule personnalité qui laisse vivante l'idée d'une révolution antitotalitaire et autogestionnaire.
Née en 1871, dans une Pologne annexée par la Russie des tsars, cette révolutionnaire, femme, juive et Polonaise, refusa de se cantonner à cette triple condition pour choisir sa vie, ses hommes, son métier. Après des études à Varsovie et un séjour en Suisse, elle s'installe à Berlin, en 1898, et débute une carrière au sein du SPD, la social-démocratie allemande, la plus puissante et supposée la plus radicale d'Europe. Internationaliste, parlant couramment plusieurs langues, elle vivra deux ans à Paris, où elle publie un journal en polonais, La Cause ouvrière.
La Première Guerre mondiale et le vote des crédits militaires par le SPD allaient constituer pour elle un tournant décisif : seule, aux côtés du député Karl Liebknecht, elle s'oppose à cette décision et fonde, avec quelques dissidents, le mouvement spartakiste. Emprisonnée à de nombreuses reprises pour ses déclarations pacifistes, elle n'en continue pas moins de défendre ses idées, sous le pseudonyme de Junius.
Dans une brochure écrite en 1918, elle salue la Révolution d'Octobre mais en dénonce déjà les excès, notamment la terreur exercée par le régime bolchevik sur les opposants.
Peu après sa libération, elle participe à la fondation du parti communiste allemand, le KPD (Ligue Spartakus). Mais elle est assassinée, le 15 janvier 1919 lors d'émeutes ouvrières, sur l'ordre des sociaux-démocrates majoritaires.
Voici retracés le destin, les combats et les idées de celle qui écrivait :
«La liberté de penser, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement».Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10575