BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Détail de l'éditeur
Arléa
localisé à :
Paris
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Les naufragés du Batavia / Simon Leys
Titre : Les naufragés du Batavia : suivi de Prosper Type de document : texte imprimé Auteurs : Simon Leys (1935-2014), Auteur Editeur : Paris : Arléa Année de publication : 2003 Importance : 1vol. (125 p.) Présentation : cartes, couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-86959-623-5 Prix : 15 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Littérature:Romans et nouvelles Index. décimale : 843 Fiction de langue française (France) Résumé : On ne sait ce qui fait de ce récit historique d’un naufrage au XVIIe siècle - digne de figurer dans les annales de la criminalité peu ordinaire - un livre sur le mal, la modernité du mal, et l’impérieux besoin d’éthique de toute aventure humaine.
Le naufrage du Batavia (de la Compagnie hollandaise des Indes orientales) eut lieu en 1629, à proximité d’îlots de corail situés à quelque cent milles au large du continent australien.
Les trois cents naufragés ne furent pas longs à tomber sous la coupe d’un des leurs : un psychopathe à la fois autoritaire, lâche et sanguinaire, qui, en trois mois, réussit à massacrer deux tiers des survivants, n’épargnant ni les femmes, ni les enfants. Les derniers rescapés ne durent leur salut qu’à la résistance d’un groupe d’hommes courageux qui refusèrent de se soumettre, et surtout à l’arrivée d’un navire parti de Java pour les secourir.
Ce naufrage du Batavia donna lieu à de très nombreux récits, tant en Australie qu’en Grande-Bretagne. La tragédie, dont le déroulement fut décrit avec précision dans de nombreux documents, journaux intimes ou relation de survivants, actes du procès..., frappa les esprits au XVIIe siècle de façon plus vive encore que le naufrage du Titanic au début XXe.
Le deuxième récit de mer qui compose ce volume est de loin plus apaisé : l’aventure, ici, est bretonne. C’est l’été. Alors étudiant, Simon Leys, prêt à partir pour l’Extrême-Orient, a l’occasion de naviguer à bord d’un thonier breton, un des derniers bateaux de pêche à voiles. Il raconte avec précision et complicité sa « marée » - ainsi appelle-t-on les campagnes de pêche -, et l’on ne peut s’empêcher de penser, en lisant Prosper, à la merveilleuse traduction que fit Simon Leys, chez Payot, de l’ouvrage de Charles Dana : Deux années sur le gaillard d’avant.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8673 Les naufragés du Batavia : suivi de Prosper [texte imprimé] / Simon Leys (1935-2014), Auteur . - Paris : Arléa, 2003 . - 1vol. (125 p.) : cartes, couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 2-86959-623-5 : 15 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature:Romans et nouvelles Index. décimale : 843 Fiction de langue française (France) Résumé : On ne sait ce qui fait de ce récit historique d’un naufrage au XVIIe siècle - digne de figurer dans les annales de la criminalité peu ordinaire - un livre sur le mal, la modernité du mal, et l’impérieux besoin d’éthique de toute aventure humaine.
Le naufrage du Batavia (de la Compagnie hollandaise des Indes orientales) eut lieu en 1629, à proximité d’îlots de corail situés à quelque cent milles au large du continent australien.
Les trois cents naufragés ne furent pas longs à tomber sous la coupe d’un des leurs : un psychopathe à la fois autoritaire, lâche et sanguinaire, qui, en trois mois, réussit à massacrer deux tiers des survivants, n’épargnant ni les femmes, ni les enfants. Les derniers rescapés ne durent leur salut qu’à la résistance d’un groupe d’hommes courageux qui refusèrent de se soumettre, et surtout à l’arrivée d’un navire parti de Java pour les secourir.
Ce naufrage du Batavia donna lieu à de très nombreux récits, tant en Australie qu’en Grande-Bretagne. La tragédie, dont le déroulement fut décrit avec précision dans de nombreux documents, journaux intimes ou relation de survivants, actes du procès..., frappa les esprits au XVIIe siècle de façon plus vive encore que le naufrage du Titanic au début XXe.
Le deuxième récit de mer qui compose ce volume est de loin plus apaisé : l’aventure, ici, est bretonne. C’est l’été. Alors étudiant, Simon Leys, prêt à partir pour l’Extrême-Orient, a l’occasion de naviguer à bord d’un thonier breton, un des derniers bateaux de pêche à voiles. Il raconte avec précision et complicité sa « marée » - ainsi appelle-t-on les campagnes de pêche -, et l’on ne peut s’empêcher de penser, en lisant Prosper, à la merveilleuse traduction que fit Simon Leys, chez Payot, de l’ouvrage de Charles Dana : Deux années sur le gaillard d’avant.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8673 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 101728 Littérature LEYS Livre Bibliothèque principale Disponible