BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Ce catalogue est en cours de construction et commence à ressembler à l'état du fonds documentaire à disposition (près de 6000 titres). Attention : l'information sur la disponibilité des exemplaires (les ouvrages sont-ils en rayon ou empruntés ?) n'est pas fiable.
Détail de l'auteur
Auteur Jacques Caron (1943-...)
Commentaire :
Né en 1943 à La Feuillie (Seine-Maritime), Jacques Caron bénéficie à l'école primaire de l'enseignement selon la pédagogie Freinet. À vingt ans, il reprend les études. Attaché principal de L'INSEE, il habite la Madeleine d'Evreux depuis 1972. Membre d'associations de locataires depuis 42 ans, il a été maire adjoint de la ville d'Evreux de 1977 à 2001, conseiller municipal de 2004 à 2008, administrateur de sociétés de logements sociaux pendant 24 ans.
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Titre : Quartiers brisés, habitants spoliés : l'arnaque de la rénovation urbaine : la Madeleine d'Evreux Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Caron (1943-...), Auteur Editeur : Paris : Non lieu Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (149 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35270-088-3 Prix : 15,00 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Habitations Réfection Logement social Aspect social Sécurité urbaine France Évreux (Eure) Index. décimale : 363.5 Logement Résumé : L'ANRU, le logement social, vous connaissez ? Les émeutes urbaines, les démolitions spectacles, des millions engloutis et, chaque année, le même constat : le manque de logements, la précarité grandissante. Comment en sortir ?
La Madeleine d'Évreux, quartier des zones dites sensibles : un de ses habitants, Jacques Caron, qui allie l'expérience professionnelle de l'observation des faits à l'engagement dans son territoire, livre ici un récit, parfois pathétique, des réalités vécues.
Il montre comment, derrière une façade honorable, la rénovation des quartiers de logements sociaux, se cache une redoutable machine à paupériser et à fragiliser les quartiers populaires. Les destructions massives sont financées par le 1 % logement, auparavant réservé à la construction des logements et à leur entretien. Les travaux de reconstruction font appel à l'emprunt, remboursé par les locataires : ainsi l'ANRU contribue-t-elle à la crise du logement. Les dégâts dans le patrimoine immobilier amplifient la détresse humaine.
Nos quartiers de logements sociaux n'ont pas besoin principalement d'un nouvel urbanisme, mais de citoyenneté, de démocratie, d'un système de représentation, d'une gestion, d'une fiscalité plus juste.
Nos quartiers n'ont pas besoin d'argent, source d'endettement supplémentaire, mais de l'arrêt des gaspillages, d'un bon usage de l'argent public, d'un retour aux fondements de notre société et, d'abord, à la représentation républicaine, souvent oubliée.En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782352700883/unimarc_utf-8 Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3366 Quartiers brisés, habitants spoliés : l'arnaque de la rénovation urbaine : la Madeleine d'Evreux [texte imprimé] / Jacques Caron (1943-...), Auteur . - Paris : Non lieu, 2010 . - 1 vol. (149 p.) : couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-35270-088-3 : 15,00 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Habitations Réfection Logement social Aspect social Sécurité urbaine France Évreux (Eure) Index. décimale : 363.5 Logement Résumé : L'ANRU, le logement social, vous connaissez ? Les émeutes urbaines, les démolitions spectacles, des millions engloutis et, chaque année, le même constat : le manque de logements, la précarité grandissante. Comment en sortir ?
La Madeleine d'Évreux, quartier des zones dites sensibles : un de ses habitants, Jacques Caron, qui allie l'expérience professionnelle de l'observation des faits à l'engagement dans son territoire, livre ici un récit, parfois pathétique, des réalités vécues.
Il montre comment, derrière une façade honorable, la rénovation des quartiers de logements sociaux, se cache une redoutable machine à paupériser et à fragiliser les quartiers populaires. Les destructions massives sont financées par le 1 % logement, auparavant réservé à la construction des logements et à leur entretien. Les travaux de reconstruction font appel à l'emprunt, remboursé par les locataires : ainsi l'ANRU contribue-t-elle à la crise du logement. Les dégâts dans le patrimoine immobilier amplifient la détresse humaine.
Nos quartiers de logements sociaux n'ont pas besoin principalement d'un nouvel urbanisme, mais de citoyenneté, de démocratie, d'un système de représentation, d'une gestion, d'une fiscalité plus juste.
Nos quartiers n'ont pas besoin d'argent, source d'endettement supplémentaire, mais de l'arrêt des gaspillages, d'un bon usage de l'argent public, d'un retour aux fondements de notre société et, d'abord, à la représentation républicaine, souvent oubliée.En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782352700883/unimarc_utf-8 Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3366 Exemplaires (1)
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