BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Auteur Dominique Bellec (1969-....) |
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La civilisation et le travail / William Morris
Titre : La civilisation et le travail Type de document : texte imprimé Auteurs : William Morris (1834-1896), Auteur ; Guy Valette, Auteur ; Anselm Jappe (1962-....), Préfacier, etc. ; Dominique Bellec (1969-....), Traducteur Editeur : Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin Année de publication : 2013 Collection : Réédition, ISSN 2109-7933 Importance : 1 vol. (103 p.) Présentation : couv. ill. Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36935-001-9 Prix : 7 EUROS Note générale : Designer textile, imprimeur, écrivain, peintre, architecte… William Morris (1834-1896) considérait l’ordre social capitaliste et le système technique comme les deux sources principales et convergentes du malheur moderne. Dans ces deux conférences, il instruit le procès des logiques d’exploitation et de gaspillage de ce qu’il nomme la civilisation. Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Histoire:Europe:Royaume uni Index. décimale : 331 Économie du travail Résumé : Aux tâches répétitives et dépourvues de sens et à la consommation de pacotilles inhérentes au productivisme capitaliste – ces « fardeaux que nous avons coutume, aujourd’hui, d’appeler richesses » –, Morris oppose une vision du travail héritée des arts populaires, où l’artisan, maître de tous les aspects de son art, connaît à la fois un repos abondant, le plaisir créatif et la satisfaction de faire œuvre utile à la communauté.
Avec une acuité qui nous laisse stupéfaits quand nous le lisons 130 ans plus tard, William Morris critique les conditions du travail dans les usines, les formes artistiques créées par le capitalisme, la publicité (qui était encore à ses tout premiers débuts !), la production des faux besoins et désirs, l’esprit de concurrence universelle... En visionnaire, il montre que le travail moderne n’est exécuté qu’en vue de l’accumulation de cette richesse abstraite qu’est la valeur ; et note, avec une perspicacité rare à son époque, les effets désastreux de la domination de la nature sur la nature même ! D’autres aspects de sa pensée étonneront encore par leur actualité, que ce soit sa polémique contre la restauration des bâtiments du passé et la destruction du patrimoine architectural au nom de sa sauvegarde, sa méfiance envers les « experts », son rejet de l’État et de la politique...
Une invitation vigoureuse et profonde à repenser le travail !Note de contenu : Réunit la transcription de deux conférences de W. Morris : "Travail utile et vaine besogne", trad. de "Useful work versus useless toil" prononcée en janvier 1884 au Club libéral de Hampstead ; "Des origines des arts décoratifs", trad. de "Of the origins of ornemental arts" prononcée le 27 septembre 1886 à Kelmscott house. Contient en postface : "Mondialisation : un étrange commerce triangulaire" / Guy Valette
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Le passager clandestin poursuit le travail de redécouverte de William Morris qu’il avait entrepris en 2010 avec Comment nous pourrions vivre, en publiant deux conférences du socialiste anglais, dont la seconde était jusque-là inédite en français ; Travail utile et vaine besogne, et Des origines des arts décoratifs, prononcées en 1884 et 1886 et réunies ici sous le titre La civilisation et le travail, avec une préface d’Anselm Jappe.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9047 La civilisation et le travail [texte imprimé] / William Morris (1834-1896), Auteur ; Guy Valette, Auteur ; Anselm Jappe (1962-....), Préfacier, etc. ; Dominique Bellec (1969-....), Traducteur . - Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin, 2013 . - 1 vol. (103 p.) : couv. ill. ; 17 cm. - (Réédition, ISSN 2109-7933) .
ISBN : 978-2-36935-001-9 : 7 EUROS
Designer textile, imprimeur, écrivain, peintre, architecte… William Morris (1834-1896) considérait l’ordre social capitaliste et le système technique comme les deux sources principales et convergentes du malheur moderne. Dans ces deux conférences, il instruit le procès des logiques d’exploitation et de gaspillage de ce qu’il nomme la civilisation.
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Histoire:Europe:Royaume uni Index. décimale : 331 Économie du travail Résumé : Aux tâches répétitives et dépourvues de sens et à la consommation de pacotilles inhérentes au productivisme capitaliste – ces « fardeaux que nous avons coutume, aujourd’hui, d’appeler richesses » –, Morris oppose une vision du travail héritée des arts populaires, où l’artisan, maître de tous les aspects de son art, connaît à la fois un repos abondant, le plaisir créatif et la satisfaction de faire œuvre utile à la communauté.
Avec une acuité qui nous laisse stupéfaits quand nous le lisons 130 ans plus tard, William Morris critique les conditions du travail dans les usines, les formes artistiques créées par le capitalisme, la publicité (qui était encore à ses tout premiers débuts !), la production des faux besoins et désirs, l’esprit de concurrence universelle... En visionnaire, il montre que le travail moderne n’est exécuté qu’en vue de l’accumulation de cette richesse abstraite qu’est la valeur ; et note, avec une perspicacité rare à son époque, les effets désastreux de la domination de la nature sur la nature même ! D’autres aspects de sa pensée étonneront encore par leur actualité, que ce soit sa polémique contre la restauration des bâtiments du passé et la destruction du patrimoine architectural au nom de sa sauvegarde, sa méfiance envers les « experts », son rejet de l’État et de la politique...
Une invitation vigoureuse et profonde à repenser le travail !Note de contenu : Réunit la transcription de deux conférences de W. Morris : "Travail utile et vaine besogne", trad. de "Useful work versus useless toil" prononcée en janvier 1884 au Club libéral de Hampstead ; "Des origines des arts décoratifs", trad. de "Of the origins of ornemental arts" prononcée le 27 septembre 1886 à Kelmscott house. Contient en postface : "Mondialisation : un étrange commerce triangulaire" / Guy Valette
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Le passager clandestin poursuit le travail de redécouverte de William Morris qu’il avait entrepris en 2010 avec Comment nous pourrions vivre, en publiant deux conférences du socialiste anglais, dont la seconde était jusque-là inédite en français ; Travail utile et vaine besogne, et Des origines des arts décoratifs, prononcées en 1884 et 1886 et réunies ici sous le titre La civilisation et le travail, avec une préface d’Anselm Jappe.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9047 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104630 Travail HISTOIRE XIXe SIECLE Livre Bibliothèque principale Disponible De la servitude volontaire / Étienne de La Boétie
Titre : De la servitude volontaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Étienne de La Boétie (1530-1563), Auteur ; Miguel Benasayag (1953-....), Auteur ; Dominique Bellec (1969-....), Auteur ; Cornelius Castoriadis (1922-1997), Auteur Editeur : Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin Année de publication : 2010 Collection : Réédition, ISSN 2109-7933 Titres uniformes : Discours de la servitude volontaire Importance : 1 vol. (91 p.) Présentation : couv. ill. Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916952-39-0 Prix : 7 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : 194 Philosophie - France Résumé : Rédigé vers 1549 par un tout jeune homme de dix-huit ans, De la servitude volontaire est le grand texte «à l'honneur de la liberté contre les tyrans» (Montaigne, Les Essais) de la Renaissance.
À contre-courant des idées de son temps - on est alors en plein humanisme -, La Boétie constate non seulement que «l'amour de la liberté n'est pas si naturel», mais encore que le peuple est complice de sa propre servitude puisqu'il contribue, par son obéissance même, au maintien du tyran. Un demi-millénaire après sa rédaction, cet essai éclaire toujours d'une lumière crue ce que Miguel Benasayag appelle «notre époque obscure».
Psychanalyste et philosophe, ancien militant guévariste, Miguel Benasayag est l'un des fondateurs du collectif «Malgré tout» dédié aux formes concrètes de résistance créative. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont Résister c'est créer, avec Florence Aubenas (La Découverte, 2008).
Cet essai est suivi d'un entretien avec Cornelius Castoriadis, intitulé «Un monde à venir» et republié récemment par la revue Ecorev' (n° 34, février 2010).Note de contenu : Contient aussi : "Résister dans une époque obscure" : entretien avec Miguel Benasayag / propos recueillis par Dominique Bellec. "Un monde à venir" / entretien avec Cornelius Castoriadis Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3346 De la servitude volontaire [texte imprimé] / Étienne de La Boétie (1530-1563), Auteur ; Miguel Benasayag (1953-....), Auteur ; Dominique Bellec (1969-....), Auteur ; Cornelius Castoriadis (1922-1997), Auteur . - Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin, 2010 . - 1 vol. (91 p.) : couv. ill. ; 17 cm. - (Réédition, ISSN 2109-7933) .
ISBN : 978-2-916952-39-0 : 7 EUR
Oeuvre : Discours de la servitude volontaire
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 194 Philosophie - France Résumé : Rédigé vers 1549 par un tout jeune homme de dix-huit ans, De la servitude volontaire est le grand texte «à l'honneur de la liberté contre les tyrans» (Montaigne, Les Essais) de la Renaissance.
À contre-courant des idées de son temps - on est alors en plein humanisme -, La Boétie constate non seulement que «l'amour de la liberté n'est pas si naturel», mais encore que le peuple est complice de sa propre servitude puisqu'il contribue, par son obéissance même, au maintien du tyran. Un demi-millénaire après sa rédaction, cet essai éclaire toujours d'une lumière crue ce que Miguel Benasayag appelle «notre époque obscure».
Psychanalyste et philosophe, ancien militant guévariste, Miguel Benasayag est l'un des fondateurs du collectif «Malgré tout» dédié aux formes concrètes de résistance créative. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont Résister c'est créer, avec Florence Aubenas (La Découverte, 2008).
Cet essai est suivi d'un entretien avec Cornelius Castoriadis, intitulé «Un monde à venir» et republié récemment par la revue Ecorev' (n° 34, février 2010).Note de contenu : Contient aussi : "Résister dans une époque obscure" : entretien avec Miguel Benasayag / propos recueillis par Dominique Bellec. "Un monde à venir" / entretien avec Cornelius Castoriadis Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3346 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100404 Philosophie LA BOETIE Livre Bibliothèque principale Disponible