BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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De l'action directe ; suivi de Où nous en sommes / Voltairine De Cleyre
Titre : De l'action directe ; suivi de Où nous en sommes Type de document : texte imprimé Auteurs : Voltairine De Cleyre (1866-1912), Auteur ; Normand Baillargeon (1958-....), Préfacier, etc. ; Emmanuelle Cosse, Auteur ; Marion Rousset, Auteur ; Samuel Lehoux, Auteur Editeur : Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin Année de publication : 2009 Collection : Réédition, ISSN 2109-7933 Importance : 1 vol. (74 p.) Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916952-24-6 Prix : 7 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Action directe Résistance politique Index. décimale : 322.4 Relations entre l'État et les groupes sociaux. Groupes politiques Résumé : Cette conférence, prononcée en 1912, est l’un des textes majeurs de l’anarchiste américaine Voltairine de Cleyre. Elle y étudie la légitimité d’un type d’action politique qui renaît chaque fois que sont menacées «les forces de la vie». Contre ceux qui tirent argument de la violence pour discréditer par avance tout mouvement social, Voltairine, puisant dans l’histoire contestataire des États-Unis, souligne l’inventivité des formes d’action directe et soutient la nécessité d’agir hors de toute médiation politique quand les droits les plus élémentaires ne sont pas reconnus.
Voltairine de Cleyre (1866-1912) était une anarchiste et activiste américaine. Connue pour être une excellente oratrice et rédactrice, elle s’est prononcée en faveur du féminisme, contre l’existence d’une armée en temps de paix…
Normand Baillargeon est professeur à l'UQAM, essayiste et militant libertaire. Grand admirateur et éditeur au Québec de Voltairine, il est notamment l’auteur d’un Petit cours d’autodéfense intellectuelle (Lux, 2006).
Ce texte est suivi d'un article d'Emmanuelle Cosse, Marion Rousset et Samuel Lehoux "Créativité contestataire" paru dans Regards en mars 2009Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3332 De l'action directe ; suivi de Où nous en sommes [texte imprimé] / Voltairine De Cleyre (1866-1912), Auteur ; Normand Baillargeon (1958-....), Préfacier, etc. ; Emmanuelle Cosse, Auteur ; Marion Rousset, Auteur ; Samuel Lehoux, Auteur . - Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin, 2009 . - 1 vol. (74 p.) ; 17 cm. - (Réédition, ISSN 2109-7933) .
ISBN : 978-2-916952-24-6 : 7 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Action directe Résistance politique Index. décimale : 322.4 Relations entre l'État et les groupes sociaux. Groupes politiques Résumé : Cette conférence, prononcée en 1912, est l’un des textes majeurs de l’anarchiste américaine Voltairine de Cleyre. Elle y étudie la légitimité d’un type d’action politique qui renaît chaque fois que sont menacées «les forces de la vie». Contre ceux qui tirent argument de la violence pour discréditer par avance tout mouvement social, Voltairine, puisant dans l’histoire contestataire des États-Unis, souligne l’inventivité des formes d’action directe et soutient la nécessité d’agir hors de toute médiation politique quand les droits les plus élémentaires ne sont pas reconnus.
Voltairine de Cleyre (1866-1912) était une anarchiste et activiste américaine. Connue pour être une excellente oratrice et rédactrice, elle s’est prononcée en faveur du féminisme, contre l’existence d’une armée en temps de paix…
Normand Baillargeon est professeur à l'UQAM, essayiste et militant libertaire. Grand admirateur et éditeur au Québec de Voltairine, il est notamment l’auteur d’un Petit cours d’autodéfense intellectuelle (Lux, 2006).
Ce texte est suivi d'un article d'Emmanuelle Cosse, Marion Rousset et Samuel Lehoux "Créativité contestataire" paru dans Regards en mars 2009Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3332 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102282 Anarchisme THEORIE - XIXe Livre Bibliothèque principale Disponible La civilisation et le travail / William Morris
Titre : La civilisation et le travail Type de document : texte imprimé Auteurs : William Morris (1834-1896), Auteur ; Guy Valette, Auteur ; Anselm Jappe (1962-....), Préfacier, etc. ; Dominique Bellec (1969-....), Traducteur Editeur : Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin Année de publication : 2013 Collection : Réédition, ISSN 2109-7933 Importance : 1 vol. (103 p.) Présentation : couv. ill. Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36935-001-9 Prix : 7 EUROS Note générale : Designer textile, imprimeur, écrivain, peintre, architecte… William Morris (1834-1896) considérait l’ordre social capitaliste et le système technique comme les deux sources principales et convergentes du malheur moderne. Dans ces deux conférences, il instruit le procès des logiques d’exploitation et de gaspillage de ce qu’il nomme la civilisation. Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Histoire:Europe:Royaume uni Index. décimale : 331 Économie du travail Résumé : Aux tâches répétitives et dépourvues de sens et à la consommation de pacotilles inhérentes au productivisme capitaliste – ces « fardeaux que nous avons coutume, aujourd’hui, d’appeler richesses » –, Morris oppose une vision du travail héritée des arts populaires, où l’artisan, maître de tous les aspects de son art, connaît à la fois un repos abondant, le plaisir créatif et la satisfaction de faire œuvre utile à la communauté.
Avec une acuité qui nous laisse stupéfaits quand nous le lisons 130 ans plus tard, William Morris critique les conditions du travail dans les usines, les formes artistiques créées par le capitalisme, la publicité (qui était encore à ses tout premiers débuts !), la production des faux besoins et désirs, l’esprit de concurrence universelle... En visionnaire, il montre que le travail moderne n’est exécuté qu’en vue de l’accumulation de cette richesse abstraite qu’est la valeur ; et note, avec une perspicacité rare à son époque, les effets désastreux de la domination de la nature sur la nature même ! D’autres aspects de sa pensée étonneront encore par leur actualité, que ce soit sa polémique contre la restauration des bâtiments du passé et la destruction du patrimoine architectural au nom de sa sauvegarde, sa méfiance envers les « experts », son rejet de l’État et de la politique...
Une invitation vigoureuse et profonde à repenser le travail !Note de contenu : Réunit la transcription de deux conférences de W. Morris : "Travail utile et vaine besogne", trad. de "Useful work versus useless toil" prononcée en janvier 1884 au Club libéral de Hampstead ; "Des origines des arts décoratifs", trad. de "Of the origins of ornemental arts" prononcée le 27 septembre 1886 à Kelmscott house. Contient en postface : "Mondialisation : un étrange commerce triangulaire" / Guy Valette
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Le passager clandestin poursuit le travail de redécouverte de William Morris qu’il avait entrepris en 2010 avec Comment nous pourrions vivre, en publiant deux conférences du socialiste anglais, dont la seconde était jusque-là inédite en français ; Travail utile et vaine besogne, et Des origines des arts décoratifs, prononcées en 1884 et 1886 et réunies ici sous le titre La civilisation et le travail, avec une préface d’Anselm Jappe.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9047 La civilisation et le travail [texte imprimé] / William Morris (1834-1896), Auteur ; Guy Valette, Auteur ; Anselm Jappe (1962-....), Préfacier, etc. ; Dominique Bellec (1969-....), Traducteur . - Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin, 2013 . - 1 vol. (103 p.) : couv. ill. ; 17 cm. - (Réédition, ISSN 2109-7933) .
ISBN : 978-2-36935-001-9 : 7 EUROS
Designer textile, imprimeur, écrivain, peintre, architecte… William Morris (1834-1896) considérait l’ordre social capitaliste et le système technique comme les deux sources principales et convergentes du malheur moderne. Dans ces deux conférences, il instruit le procès des logiques d’exploitation et de gaspillage de ce qu’il nomme la civilisation.
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Histoire:Europe:Royaume uni Index. décimale : 331 Économie du travail Résumé : Aux tâches répétitives et dépourvues de sens et à la consommation de pacotilles inhérentes au productivisme capitaliste – ces « fardeaux que nous avons coutume, aujourd’hui, d’appeler richesses » –, Morris oppose une vision du travail héritée des arts populaires, où l’artisan, maître de tous les aspects de son art, connaît à la fois un repos abondant, le plaisir créatif et la satisfaction de faire œuvre utile à la communauté.
Avec une acuité qui nous laisse stupéfaits quand nous le lisons 130 ans plus tard, William Morris critique les conditions du travail dans les usines, les formes artistiques créées par le capitalisme, la publicité (qui était encore à ses tout premiers débuts !), la production des faux besoins et désirs, l’esprit de concurrence universelle... En visionnaire, il montre que le travail moderne n’est exécuté qu’en vue de l’accumulation de cette richesse abstraite qu’est la valeur ; et note, avec une perspicacité rare à son époque, les effets désastreux de la domination de la nature sur la nature même ! D’autres aspects de sa pensée étonneront encore par leur actualité, que ce soit sa polémique contre la restauration des bâtiments du passé et la destruction du patrimoine architectural au nom de sa sauvegarde, sa méfiance envers les « experts », son rejet de l’État et de la politique...
Une invitation vigoureuse et profonde à repenser le travail !Note de contenu : Réunit la transcription de deux conférences de W. Morris : "Travail utile et vaine besogne", trad. de "Useful work versus useless toil" prononcée en janvier 1884 au Club libéral de Hampstead ; "Des origines des arts décoratifs", trad. de "Of the origins of ornemental arts" prononcée le 27 septembre 1886 à Kelmscott house. Contient en postface : "Mondialisation : un étrange commerce triangulaire" / Guy Valette
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Le passager clandestin poursuit le travail de redécouverte de William Morris qu’il avait entrepris en 2010 avec Comment nous pourrions vivre, en publiant deux conférences du socialiste anglais, dont la seconde était jusque-là inédite en français ; Travail utile et vaine besogne, et Des origines des arts décoratifs, prononcées en 1884 et 1886 et réunies ici sous le titre La civilisation et le travail, avec une préface d’Anselm Jappe.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9047 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104630 Travail HISTOIRE XIXe SIECLE Livre Bibliothèque principale Disponible Comment nous pourrions vivre / William Morris
Titre : Comment nous pourrions vivre Type de document : texte imprimé Auteurs : William Morris (1834-1896), Auteur ; Serge Latouche (1940-....), Préfacier, etc. Editeur : Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin Année de publication : 2010 Collection : Réédition, ISSN 2109-7933 Importance : 1 vol. (89 p.) Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916952-40-6 Prix : 7 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Révolutions et socialisme Index. décimale : 335 Socialisme et systèmes apparentés Résumé : C'est en 1884, soit six ans avant la parution de son célèbre Nouvelles de nulle part, que le socialiste révolutionnaire et architecte-décorateur, William Morris, prononce cette conférence.
Voici comment nous vivons et voilà comment nous pourrions vivre, écrit Morris, qui appelle à un sursaut collectif pour substituer la «coopération» à «l'état de guerre perpétuelle» inhérent au capitalisme, introduire la nature et l'art dans «ces conglomérats énormes, impossibles à gérer, qu'on appelle des villes», et refuser, au nom de la joie et de la dignité, la fatalité des «existences mécaniques». Si le mot décroissance fait aujourd'hui polémique, ce texte révèle que l'idée, elle, ne date pas d'hier.
Serge Latouche est professeur émérite d'économie à l'Université d'Orsay et objecteur de croissance. Il est notamment l'auteur de Le Pari de la décroissance (Fayard, 2006).Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3345 Comment nous pourrions vivre [texte imprimé] / William Morris (1834-1896), Auteur ; Serge Latouche (1940-....), Préfacier, etc. . - Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin, 2010 . - 1 vol. (89 p.) ; 17 cm. - (Réédition, ISSN 2109-7933) .
ISBN : 978-2-916952-40-6 : 7 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Révolutions et socialisme Index. décimale : 335 Socialisme et systèmes apparentés Résumé : C'est en 1884, soit six ans avant la parution de son célèbre Nouvelles de nulle part, que le socialiste révolutionnaire et architecte-décorateur, William Morris, prononce cette conférence.
Voici comment nous vivons et voilà comment nous pourrions vivre, écrit Morris, qui appelle à un sursaut collectif pour substituer la «coopération» à «l'état de guerre perpétuelle» inhérent au capitalisme, introduire la nature et l'art dans «ces conglomérats énormes, impossibles à gérer, qu'on appelle des villes», et refuser, au nom de la joie et de la dignité, la fatalité des «existences mécaniques». Si le mot décroissance fait aujourd'hui polémique, ce texte révèle que l'idée, elle, ne date pas d'hier.
Serge Latouche est professeur émérite d'économie à l'Université d'Orsay et objecteur de croissance. Il est notamment l'auteur de Le Pari de la décroissance (Fayard, 2006).Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3345 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100739 Écologie THEORIE Livre Bibliothèque principale Disponible Le communisme, avenir de la société / Auguste Blanqui
Titre : Le communisme, avenir de la société Type de document : texte imprimé Auteurs : Auguste Blanqui (1805-1881), Auteur ; Roger Martelli (1950-....), Préfacier, etc. ; Lucien Sève (1926-....), Postfacier, auteur du colophon, etc. Editeur : Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin Année de publication : 2008 Collection : Réédition, ISSN 2109-7933 Importance : 1 vol. (103 p.) Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916952-10-9 Prix : 7 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Communisme France 1800-.... Index. décimale : 320.5 Idéologies politiques Résumé :
Ce texte aux accents prophétiques fut rédigé à la fin du Second Empire.
« Que nous reste-t-il donc ? Le souffle du progrès qui circule dans l’air, les communications d’homme à homme par les routes ferrées, la conscience publique, le spectacle de nos ennemis surtout, notre meilleur plaidoyer. Ce qui grandit peut-être, c’est la colère. »
À l’heure où la gauche est confrontée à la nécessité de repenser ses fondements politiques, il est utile de se souvenir avec Blanqui que le communisme ne peut être que le terme d’un processus collectif et que l’émancipation des consciences est la condition principale de sa réinvention.
Roger Martelli, historien, longtemps communiste refondateur, puis communiste unitaire, est directeur du mensuel Regards. Il nous propose dans sa présentation du texte de Blanqui, de réfléchir à l’enjeu d’un « nouveau communisme ».
Ce texte est suivi d'une réflexion de Lucien Sève sur le devenir du communisme au XXIe siècle.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3185 Le communisme, avenir de la société [texte imprimé] / Auguste Blanqui (1805-1881), Auteur ; Roger Martelli (1950-....), Préfacier, etc. ; Lucien Sève (1926-....), Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin, 2008 . - 1 vol. (103 p.) ; 17 cm. - (Réédition, ISSN 2109-7933) .
ISBN : 978-2-916952-10-9 : 7 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Communisme France 1800-.... Index. décimale : 320.5 Idéologies politiques Résumé :
Ce texte aux accents prophétiques fut rédigé à la fin du Second Empire.
« Que nous reste-t-il donc ? Le souffle du progrès qui circule dans l’air, les communications d’homme à homme par les routes ferrées, la conscience publique, le spectacle de nos ennemis surtout, notre meilleur plaidoyer. Ce qui grandit peut-être, c’est la colère. »
À l’heure où la gauche est confrontée à la nécessité de repenser ses fondements politiques, il est utile de se souvenir avec Blanqui que le communisme ne peut être que le terme d’un processus collectif et que l’émancipation des consciences est la condition principale de sa réinvention.
Roger Martelli, historien, longtemps communiste refondateur, puis communiste unitaire, est directeur du mensuel Regards. Il nous propose dans sa présentation du texte de Blanqui, de réfléchir à l’enjeu d’un « nouveau communisme ».
Ce texte est suivi d'une réflexion de Lucien Sève sur le devenir du communisme au XXIe siècle.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3185 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102199 Socialisme THEORIE - XIXe indéterminé / indéterminé Bibliothèque principale Disponible La désobéissance civile / Henry David Thoreau
Titre : La désobéissance civile Type de document : texte imprimé Auteurs : Henry David Thoreau (1817-1862), Auteur ; Noël Mamère (1948-....), Préfacier, etc. Editeur : Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin Année de publication : 2007 Collection : Réédition, ISSN 2109-7933 Importance : 1 vol. (75 p.) Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916952-03-1 Prix : 7,00 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame) Mots-clés : Désobéissance civile Index. décimale : 322.4 Relations entre l'État et les groupes sociaux. Groupes politiques Résumé : Mis en prison pour avoir refusé de payer une taxe destinée à financer la guerre contre le Mexique, Henry David Thoreau crée le concept de désobéissance civile en 1849. Son essai La Désobéissance civile a inspiré Tolstoï, Martin Luther King et Gandhi.
S'il semble évident que la Loi doit, par principe, être toujours respectée, le concept de désobéissance civile semble prendre aujourd'hui un nouvel essor et gagner de nouveaux partisans. Mais quelles sont les justifications politiques et philosophiques à la désobéissance civile ?Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3268 La désobéissance civile [texte imprimé] / Henry David Thoreau (1817-1862), Auteur ; Noël Mamère (1948-....), Préfacier, etc. . - Neuvy-en-Champagne [France] : Le Passager clandestin, 2007 . - 1 vol. (75 p.) ; 17 cm. - (Réédition, ISSN 2109-7933) .
ISBN : 978-2-916952-03-1 : 7,00 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame)
Mots-clés : Désobéissance civile Index. décimale : 322.4 Relations entre l'État et les groupes sociaux. Groupes politiques Résumé : Mis en prison pour avoir refusé de payer une taxe destinée à financer la guerre contre le Mexique, Henry David Thoreau crée le concept de désobéissance civile en 1849. Son essai La Désobéissance civile a inspiré Tolstoï, Martin Luther King et Gandhi.
S'il semble évident que la Loi doit, par principe, être toujours respectée, le concept de désobéissance civile semble prendre aujourd'hui un nouvel essor et gagner de nouveaux partisans. Mais quelles sont les justifications politiques et philosophiques à la désobéissance civile ?Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3268 Le discours des deux méthodes / Jean Jaurès
PermalinkÉvolution et révolution / Élisée Reclus
PermalinkFeu le Comintern / Boris Souvarine
PermalinkLa guerre sociale / André Léo
PermalinkInterpellations / Octave Mirbeau
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PermalinkLe royaume des cieux est en vous / Léon Tolstoï
PermalinkDe la servitude volontaire / Étienne de La Boétie
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