BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
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Critique de la raison décoloniale
Titre : Critique de la raison décoloniale : sur une contre-révolution intellectuelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Mikaël Faujour, Traducteur ; Pierre Madelin (1986-....), Traducteur Editeur : Montreuil [France] : L'Échappée Année de publication : 2024 Collection : Versus Importance : 1 vol. (253 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37309-157-1 Prix : 19 EUR Note générale : Recueil de contributions extraites en partie de "Piel blanca, máscaras negras : critiqua de la razón decolonial" ouvrage collectif publié au Mexique
Notes bibliogr. et webliogr.Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Index. décimale : 325.3 Colonisation Résumé : Le capitalisme et la modernité seraient intrinsèquement liés à un racisme d’essence coloniale et à la domination de l’Occident sur le Sud global : tel est le postulat des décoloniaux. Face à une rationalité considérée comme eurocentrique, face à un système de pouvoir qui chercherait à maintenir les « non-Blancs » dans une position subalterne, ils prônent un retour aux formes de savoir et aux visions du monde des peuples indigènes.
À l’heure où les théories décoloniales, nées en Amérique latine, gagnent du terrain dans les milieux universitaires et militants, les auteurs de ce livre, ancrés eux aussi dans ce continent, font entendre une autre voix. Ils démontrent comment ces théories propagent une lecture simpliste de l’histoire et des rapports de pouvoir, et comment leur focalisation sur les questions d’identité ethno-raciale relègue au second plan l’opposition pourtant fondamentale entre riches et pauvres. À l’horizon, une conviction : seul un anticolonialisme fondé sur une critique radicale du capitalisme permettra de sortir de cette impasse, en dépassant toute soif de revanche pour retrouver le contenu universel des luttes d’émancipation.
Les auteurs de ce recueil (Pierre Gaussens, Gaya Makaran, Daniel Inclán, Rodrigo Castro Orellana, Bryan Jacob Bonilla Avendaño, Martín Cortés et Andrea Barriga) sont des universitaires qui travaillent au carrefour de la sociologie, de la philosophie et de l’histoire.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11002 Critique de la raison décoloniale : sur une contre-révolution intellectuelle [texte imprimé] / Mikaël Faujour, Traducteur ; Pierre Madelin (1986-....), Traducteur . - Montreuil [France] : L'Échappée, 2024 . - 1 vol. (253 p.) ; 21 cm. - (Versus) .
ISBN : 978-2-37309-157-1 : 19 EUR
Recueil de contributions extraites en partie de "Piel blanca, máscaras negras : critiqua de la razón decolonial" ouvrage collectif publié au Mexique
Notes bibliogr. et webliogr.
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Index. décimale : 325.3 Colonisation Résumé : Le capitalisme et la modernité seraient intrinsèquement liés à un racisme d’essence coloniale et à la domination de l’Occident sur le Sud global : tel est le postulat des décoloniaux. Face à une rationalité considérée comme eurocentrique, face à un système de pouvoir qui chercherait à maintenir les « non-Blancs » dans une position subalterne, ils prônent un retour aux formes de savoir et aux visions du monde des peuples indigènes.
À l’heure où les théories décoloniales, nées en Amérique latine, gagnent du terrain dans les milieux universitaires et militants, les auteurs de ce livre, ancrés eux aussi dans ce continent, font entendre une autre voix. Ils démontrent comment ces théories propagent une lecture simpliste de l’histoire et des rapports de pouvoir, et comment leur focalisation sur les questions d’identité ethno-raciale relègue au second plan l’opposition pourtant fondamentale entre riches et pauvres. À l’horizon, une conviction : seul un anticolonialisme fondé sur une critique radicale du capitalisme permettra de sortir de cette impasse, en dépassant toute soif de revanche pour retrouver le contenu universel des luttes d’émancipation.
Les auteurs de ce recueil (Pierre Gaussens, Gaya Makaran, Daniel Inclán, Rodrigo Castro Orellana, Bryan Jacob Bonilla Avendaño, Martín Cortés et Andrea Barriga) sont des universitaires qui travaillent au carrefour de la sociologie, de la philosophie et de l’histoire.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11002 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105935 Colonialisme THEORIE Livre Bibliothèque principale Disponible Le désert de la critique / Renaud Garcia
Titre : Le désert de la critique : déconstruction et politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Renaud Garcia (1981-....), Auteur Editeur : Montreuil [France] : L'Échappée Année de publication : 2015 Collection : Versus Importance : 1 vol. (219 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-915830-98-9 Prix : 15 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Philosophie:Philosophie politique Concepts : Sans schéma
Philosophie politique ; Postmodernisme ; Déconstruction ; Transhumanisme ; Débats et controversesIndex. décimale : 320 Sciences politiques Résumé : La nature humaine ? Fiction dangereuse. La raison analytique ? Instrument d’uniformisation culturelle. La vérité ? Objet relatif masquant les dispositifs de pouvoir. Le langage ? Geôlier de la créativité. L’universalisme ? Alibi de l’Occident pour dominer le monde. Le corps ? Pâte à modeler au gré des innovations technologiques. Tels sont les lieux, devenus communs, de la pensée de la déconstruction.
Déconstruire… D’un concept plutôt ésotérique, les gauches « radicales » ont fait un programme systématique consistant à suspecter un rapport de domination sous chaque idée ou comportement. Si elles permettent de redoubler de subtilité sur les questions de mœurs – le domaine « sociétal » –, les théories de la déconstruction rendent les armes devant la marchandisation généralisée, l’emprise des industries culturelles et l’artificialisation du monde. Qui évoque la nécessité d’une décélération, parle d’aliénation, remet au cœur de l’analyse le corps vécu dans un environnement limité, commet dès lors le crime ultime : réintégrer un moment conservateur dans la critique.
Occupées à déconstruire et à se déconstruire à l’infini, les gauches « radicales » ont négligé le terrain du social, qu’une extrême droite opportuniste a investi en exploitant la détresse des perdants de l’histoire. Cet ouvrage tente de comprendre comment nous en sommes arrivés là, de donner les raisons de ce sabordage intellectuel et politique, en analysant l’influence de la déconstruction sur la critique sociale contemporaine. Il en appelle par là même à un renouveau de la lutte contre le capitalisme sur de tout autres fondements théoriques.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7269 Le désert de la critique : déconstruction et politique [texte imprimé] / Renaud Garcia (1981-....), Auteur . - Montreuil [France] : L'Échappée, 2015 . - 1 vol. (219 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Versus) .
ISBN : 978-2-915830-98-9 : 15 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Philosophie:Philosophie politique Concepts : Sans schéma
Philosophie politique ; Postmodernisme ; Déconstruction ; Transhumanisme ; Débats et controversesIndex. décimale : 320 Sciences politiques Résumé : La nature humaine ? Fiction dangereuse. La raison analytique ? Instrument d’uniformisation culturelle. La vérité ? Objet relatif masquant les dispositifs de pouvoir. Le langage ? Geôlier de la créativité. L’universalisme ? Alibi de l’Occident pour dominer le monde. Le corps ? Pâte à modeler au gré des innovations technologiques. Tels sont les lieux, devenus communs, de la pensée de la déconstruction.
Déconstruire… D’un concept plutôt ésotérique, les gauches « radicales » ont fait un programme systématique consistant à suspecter un rapport de domination sous chaque idée ou comportement. Si elles permettent de redoubler de subtilité sur les questions de mœurs – le domaine « sociétal » –, les théories de la déconstruction rendent les armes devant la marchandisation généralisée, l’emprise des industries culturelles et l’artificialisation du monde. Qui évoque la nécessité d’une décélération, parle d’aliénation, remet au cœur de l’analyse le corps vécu dans un environnement limité, commet dès lors le crime ultime : réintégrer un moment conservateur dans la critique.
Occupées à déconstruire et à se déconstruire à l’infini, les gauches « radicales » ont négligé le terrain du social, qu’une extrême droite opportuniste a investi en exploitant la détresse des perdants de l’histoire. Cet ouvrage tente de comprendre comment nous en sommes arrivés là, de donner les raisons de ce sabordage intellectuel et politique, en analysant l’influence de la déconstruction sur la critique sociale contemporaine. Il en appelle par là même à un renouveau de la lutte contre le capitalisme sur de tout autres fondements théoriques.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7269 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 103123 Philosophie GARCIA Livre Bibliothèque principale Disponible L'Empire du non-sens / Jacques Ellul
Titre : L'Empire du non-sens : l'art et la société technicienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Ellul (1912-1994) ; Mikaël Faujour, Préfacier, etc. Editeur : Montreuil [France] : L'Échappée Année de publication : 2021 Collection : Versus Importance : 1 vol. (292 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37309-083-3 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : 700.1 Philosophie et théorie des arts Résumé : Dans notre monde envahi par les technologies et leur recherche frénétique de l’efficacité, l’art pourrait apparaître comme une oasis vouée à la contemplation et à la méditation. Il n’en est pourtant rien. L’art de notre temps emprunte à l’industrie ses objets et ses matériaux, peuple ses expositions d’écrans, et rêve de cyborgs et de réseaux.
Dans ce livre prophétique, le grand penseur de la technique Jacques Ellul montre comment plasticiens, écrivains et musiciens ont succombé aux forces qui écrasent le monde. Certains, subjugués dès le début du XXe siècle par la technoscience, adoptent ses outils et ses procédures, se condamnant ainsi à la froideur, à l’absurdité ou à l’abstraction. D’autres – ou parfois les mêmes –, se voulant contestataires, accumulent les représentations du désastre ou les signes de la subversion, sans jamais pour autant saisir la racine du mal : le règne de la Technique.
Pour masquer sa vacuité, l’art contemporain se pare d’un discours théorique sophistiqué et intimidant. Passant outre, Ellul incite les artistes à s’émanciper de leur fascination pour la technologie, afin de renouer avec la faculté, propre à tout créateur authentique, d’allier le sens au sensible.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10004 L'Empire du non-sens : l'art et la société technicienne [texte imprimé] / Jacques Ellul (1912-1994) ; Mikaël Faujour, Préfacier, etc. . - Montreuil [France] : L'Échappée, 2021 . - 1 vol. (292 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Versus) .
ISBN : 978-2-37309-083-3 : 20 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 700.1 Philosophie et théorie des arts Résumé : Dans notre monde envahi par les technologies et leur recherche frénétique de l’efficacité, l’art pourrait apparaître comme une oasis vouée à la contemplation et à la méditation. Il n’en est pourtant rien. L’art de notre temps emprunte à l’industrie ses objets et ses matériaux, peuple ses expositions d’écrans, et rêve de cyborgs et de réseaux.
Dans ce livre prophétique, le grand penseur de la technique Jacques Ellul montre comment plasticiens, écrivains et musiciens ont succombé aux forces qui écrasent le monde. Certains, subjugués dès le début du XXe siècle par la technoscience, adoptent ses outils et ses procédures, se condamnant ainsi à la froideur, à l’absurdité ou à l’abstraction. D’autres – ou parfois les mêmes –, se voulant contestataires, accumulent les représentations du désastre ou les signes de la subversion, sans jamais pour autant saisir la racine du mal : le règne de la Technique.
Pour masquer sa vacuité, l’art contemporain se pare d’un discours théorique sophistiqué et intimidant. Passant outre, Ellul incite les artistes à s’émanciper de leur fascination pour la technologie, afin de renouer avec la faculté, propre à tout créateur authentique, d’allier le sens au sensible.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10004 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105299 Médias et culture de masse ART Livre Bibliothèque principale Disponible Être écoféministe / Jeanne Burgart Goutal
Titre : Être écoféministe : Théories et pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Burgart Goutal, Auteur Editeur : Montreuil [France] : L'Échappée Année de publication : 2020 Collection : Versus Importance : 1 vol. (317 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37309-069-7 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Écologie
FéminismeConcepts : Idées politiques
ÉcoféminismeIndex. décimale : 305.4 Femmes Résumé : Oppression des femmes et destruction de la nature seraient deux facettes indissociables d’un modèle de civilisation qu’il faudrait dépasser : telle est la perspective centrale de l’écoféminisme. Mais derrière ce terme se déploie une grande variété de pensées et de pratiques militantes.
Rompant avec une approche chic et apolitique aujourd’hui en vogue, ce livre restitue la richesse et la diversité des théories développées par cette mouvance née il y a plus de 40 ans : critique radicale du capitalisme et de la technoscience, redécouverte des sagesses et savoir-faire traditionnels, réappropriation par les femmes de leur corps, apprentissage d’un rapport intime au cosmos…
Dans ce road trip philosophique alternant reportage et analyse, l’auteure nous emmène sur les pas des écoféministes, depuis les Cévennes où certaines tentent l’aventure de la vie en autonomie, jusqu’au nord de l’Inde, chez la star du mouvement Vandana Shiva. Elle révèle aussi les ambiguïtés de ce courant, où se croisent Occidentaux en quête d’alternatives sociales et de transformations personnelles, ONG poursuivant leurs propres stratégies commerciales et politiques, et luttes concrètes de femmes et de communautés indigènes dans les pays du Sud.
Agrégée de philosophie et professeure de yoga, Jeanne Burgart Goutal mène depuis près de dix ans une recherche sur l'écoféminisme, mêlant approches théorique et vécue. Elle est l'auteure de plusieurs textes de référence sur le sujet, notamment dans Féminismes du XXIe siècle (PUR, 2017) et dans le Dictionnaire des féministes (PUF, 2017).Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9796 Être écoféministe : Théories et pratiques [texte imprimé] / Jeanne Burgart Goutal, Auteur . - Montreuil [France] : L'Échappée, 2020 . - 1 vol. (317 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Versus) .
ISBN : 978-2-37309-069-7 : 20 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Écologie
FéminismeConcepts : Idées politiques
ÉcoféminismeIndex. décimale : 305.4 Femmes Résumé : Oppression des femmes et destruction de la nature seraient deux facettes indissociables d’un modèle de civilisation qu’il faudrait dépasser : telle est la perspective centrale de l’écoféminisme. Mais derrière ce terme se déploie une grande variété de pensées et de pratiques militantes.
Rompant avec une approche chic et apolitique aujourd’hui en vogue, ce livre restitue la richesse et la diversité des théories développées par cette mouvance née il y a plus de 40 ans : critique radicale du capitalisme et de la technoscience, redécouverte des sagesses et savoir-faire traditionnels, réappropriation par les femmes de leur corps, apprentissage d’un rapport intime au cosmos…
Dans ce road trip philosophique alternant reportage et analyse, l’auteure nous emmène sur les pas des écoféministes, depuis les Cévennes où certaines tentent l’aventure de la vie en autonomie, jusqu’au nord de l’Inde, chez la star du mouvement Vandana Shiva. Elle révèle aussi les ambiguïtés de ce courant, où se croisent Occidentaux en quête d’alternatives sociales et de transformations personnelles, ONG poursuivant leurs propres stratégies commerciales et politiques, et luttes concrètes de femmes et de communautés indigènes dans les pays du Sud.
Agrégée de philosophie et professeure de yoga, Jeanne Burgart Goutal mène depuis près de dix ans une recherche sur l'écoféminisme, mêlant approches théorique et vécue. Elle est l'auteure de plusieurs textes de référence sur le sujet, notamment dans Féminismes du XXIe siècle (PUR, 2017) et dans le Dictionnaire des féministes (PUF, 2017).Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9796 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105165 Écologie THÉORIE, ESSAIS - ÉCOFÉMINISME Livre Bibliothèque principale Disponible La liberté dans un monde fragile / José Ardillo
Titre : La liberté dans un monde fragile : Écologie et pensée libertaire Type de document : texte imprimé Auteurs : José Ardillo (1969-....) ; Sonia Balidian, Traducteur Editeur : Montreuil [France] : L'Échappée Année de publication : 2018 Collection : Versus Importance : 1 vol. (256 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37309-034-5 Prix : 18 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Catégories : Anarchisme:21e siècle
ÉcologieIndex. décimale : 320.57 Anarchisme Résumé : Peut-on construire une société libre dans un monde aussi fragile que le nôtre ? Au cours des deux derniers siècles, la plupart des projets politiques qui avaient l’émancipation pour horizon ne se sont pas posé cette question, car tout leur paraissait possible. La raréfaction des ressources, la disparition des espèces et la pollution n’étaient pas prises en considération, la puissance des sciences et des technologies semblait alors sans limites.
A contrario, l’écologie nous enseigne aujourd’hui que la liberté de l’être humain doit être mise en regard des restrictions qu’impose le monde physique. Des auteurs comme Thoreau, Reclus, Kropotkine, Landauer, Huxley, Mumford, Ellul, Illich ou Bookchin ont compris très tôt que la nature et les limites de la planète et du monde vivant ne sont pas des chaînes qui entravent nos désirs et nos actions : elles sont au contraire les conditions de leur réalisation la plus authentique. Le point commun de ces penseurs : ils se sont tous situés, d’une manière ou d’une autre, au croisement de l’écologie et de la pensée libertaire.
Avec un style vivant et dans une langue accessible à tous, ce livre fait l’inventaire des jalons philosophiques et politiques posés par ces penseurs hors normes. Il est une invitation à revisiter leurs œuvres et à reprendre leur réflexion, en vue d’une critique radicale de la société industrielle.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8919 La liberté dans un monde fragile : Écologie et pensée libertaire [texte imprimé] / José Ardillo (1969-....) ; Sonia Balidian, Traducteur . - Montreuil [France] : L'Échappée, 2018 . - 1 vol. (256 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Versus) .
ISBN : 978-2-37309-034-5 : 18 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Catégories : Anarchisme:21e siècle
ÉcologieIndex. décimale : 320.57 Anarchisme Résumé : Peut-on construire une société libre dans un monde aussi fragile que le nôtre ? Au cours des deux derniers siècles, la plupart des projets politiques qui avaient l’émancipation pour horizon ne se sont pas posé cette question, car tout leur paraissait possible. La raréfaction des ressources, la disparition des espèces et la pollution n’étaient pas prises en considération, la puissance des sciences et des technologies semblait alors sans limites.
A contrario, l’écologie nous enseigne aujourd’hui que la liberté de l’être humain doit être mise en regard des restrictions qu’impose le monde physique. Des auteurs comme Thoreau, Reclus, Kropotkine, Landauer, Huxley, Mumford, Ellul, Illich ou Bookchin ont compris très tôt que la nature et les limites de la planète et du monde vivant ne sont pas des chaînes qui entravent nos désirs et nos actions : elles sont au contraire les conditions de leur réalisation la plus authentique. Le point commun de ces penseurs : ils se sont tous situés, d’une manière ou d’une autre, au croisement de l’écologie et de la pensée libertaire.
Avec un style vivant et dans une langue accessible à tous, ce livre fait l’inventaire des jalons philosophiques et politiques posés par ces penseurs hors normes. Il est une invitation à revisiter leurs œuvres et à reprendre leur réflexion, en vue d’une critique radicale de la société industrielle.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8919 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104503 Écologie THÉORIE, ESSAIS - ÉCOLOGIE LIBERTAIRE Livre Bibliothèque principale Disponible Misère de la théorie / Edward Palmer Thompson
PermalinkPour l'autonomie / Philippe Caumières
PermalinkPouvoir de détruire, pouvoir de créer / Murray Bookchin
PermalinkLe Sens des limites / Renaud Garcia
PermalinkLa technique et la chair / Daniel Cérézuelle
PermalinkUtopie et socialisme / Martin Buber
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