BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
La BAM est ouverte au public le samedi de 16h à 19h.
Ce catalogue est en cours de construction et commence à ressembler à l'état du fonds documentaire à disposition (près de 6000 titres). Attention : l'information sur la disponibilité des exemplaires (les ouvrages sont-ils en rayon ou empruntés ?) n'est pas fiable.
Détail de l'éditeur
Les Amis de Spartacus
localisé à :
Paris
Adresse :
8 Imp. Crozatier
75012 Paris France
Collections rattachées :
Autorités liées :
|
Documents disponibles chez cet éditeur (42)
Faire une suggestion
1933, la tragédie du prolétariat allemand / Hippolyte Etchebehere
Titre : 1933, la tragédie du prolétariat allemand Type de document : texte imprimé Auteurs : Hippolyte Etchebehere (1900-1936), Auteur Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2003 Importance : 84 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-902963-47-5 Prix : 9 EUR Note générale : Recueil de textes extr. de "Masses", publ. en juin et juillet 1933 Langues : Français (fre) Résumé : Dans les mois qui suivirent la révolution d'Octobre, Lénine et les plus lucides des bolcheviks l'affirmèrent avec force : si la Russie restait isolée, si les pays les plus industrialisés, et en premier lieu l'Allemagne, n'étaient pas gagnés par la révolution socialiste, alors celle-ci périrait.
C'est dans cette perspective qu'ils créèrent l'Internationale communiste au début de 1919. Même si celle-ci et sa subordination au parti bolchevik furent contestées dès sa fondation, même si, très vite, des révolutionnaires dénoncèrent la dictature du parti russe sur le prolétariat, elle représenta pendant des années encore pour de nombreux militants la lumière qui s'était allumée à l'Est, la perspective toute proche d'un monde libéré du capitalisme et des immenses massacres impérialistes.
Pour Hyppolyte Etchebehere, dit Rustico, l'Allemagne en crise du début des années 1930 restait le champ de bataille où se jouait l'avenir de la révolution, aussi bien par la puissance de son industrie que par celle de ses organisations ouvrières. A Berlin, aux côtés de ces communistes qui sont pour lui des révolutionnaires, il va vivre ces semaines de l'hiver 1932-1933 dont on s'apercevra que s'y décidera le sort d'au moins une génération.
Mobilisation des militants, immobilisme des partis et des syndicats, alliance des nazis et de l'appareil d'Etat : Rustico les vit jour après jour et témoigne que le nazisme fut d'abord une contre-révolution, avec, parmi ses premières victimes, une social-démocratie pourtant devenue un rouage de l'Etat allemand et un parti communiste instrument dévoué de l'Etat soviétique.
C'est dans cette perspective qu'ilsPermalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10875 1933, la tragédie du prolétariat allemand [texte imprimé] / Hippolyte Etchebehere (1900-1936), Auteur . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2003 . - 84 p. : ill., couv. ill. ; 21 cm.
ISBN : 2-902963-47-5 : 9 EUR
Recueil de textes extr. de "Masses", publ. en juin et juillet 1933
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans les mois qui suivirent la révolution d'Octobre, Lénine et les plus lucides des bolcheviks l'affirmèrent avec force : si la Russie restait isolée, si les pays les plus industrialisés, et en premier lieu l'Allemagne, n'étaient pas gagnés par la révolution socialiste, alors celle-ci périrait.
C'est dans cette perspective qu'ils créèrent l'Internationale communiste au début de 1919. Même si celle-ci et sa subordination au parti bolchevik furent contestées dès sa fondation, même si, très vite, des révolutionnaires dénoncèrent la dictature du parti russe sur le prolétariat, elle représenta pendant des années encore pour de nombreux militants la lumière qui s'était allumée à l'Est, la perspective toute proche d'un monde libéré du capitalisme et des immenses massacres impérialistes.
Pour Hyppolyte Etchebehere, dit Rustico, l'Allemagne en crise du début des années 1930 restait le champ de bataille où se jouait l'avenir de la révolution, aussi bien par la puissance de son industrie que par celle de ses organisations ouvrières. A Berlin, aux côtés de ces communistes qui sont pour lui des révolutionnaires, il va vivre ces semaines de l'hiver 1932-1933 dont on s'apercevra que s'y décidera le sort d'au moins une génération.
Mobilisation des militants, immobilisme des partis et des syndicats, alliance des nazis et de l'appareil d'Etat : Rustico les vit jour après jour et témoigne que le nazisme fut d'abord une contre-révolution, avec, parmi ses premières victimes, une social-démocratie pourtant devenue un rouage de l'Etat allemand et un parti communiste instrument dévoué de l'Etat soviétique.
C'est dans cette perspective qu'ilsPermalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10875 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 105812 Histoire ALLEMAGNE Livre Bibliothèque principale Disponible D'Alger à Mai 68 / François Cerutti
Titre : D'Alger à Mai 68 : mes années de révolution Type de document : texte imprimé Auteurs : François Cerutti (1941-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2010 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 179 Importance : 1 vol. (167 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-902963-61-4 Prix : 13 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Biographies
Colonialisme
Histoire:Afrique:Algérie
Histoire:France:1945-1968
Histoire:France:1968
Histoire:France:1968->...Concepts : Histoire - évènements
Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie) ; France -- 1968 (Journées de mai)
Histoire - périodes
Algérie -- 1962-1992
Sans schéma
Révolutionnaires ; BiographiesIndex. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Ceux qui, dans les années 1960 et 1970, ont cru à l'effondrement du vieux système d'exploitation et d'oppression, n'ont pas tous sublimé leur révolte et accepté de se couler dans les institutions.
Né à Alger en 1941, François Cerutti a rapidement rejoint ceux qui, en France, ont milité pour l'indépendance de l'Algérie. Pour lui, la révolte des peuples colonisés contre la domination criminelle des colonisateurs était un signe de l'imminence du renversement de la société bourgeoise. Insoumis, il part pour le Maroc. À Alger, de 1962 à 1965, il travaille dans une entreprise autogérée. Avec un petit groupe de membres de la IVe Internationale, il milite pour la consolidation du secteur autogéré face à la volonté de mainmise toujours plus forte du FLN et du gouvernement sur celui-ci.
En 1965, le coup d'État de Boumediène le fait rentrer en France, où l'armée l'oblige à faire le service militaire auquel il s'était soustrait. Il s'y heurtera à la bêtise et à la vindicte de l'institution, qui l'enverra pour quelques mois en prison.
Mai 68 le trouve aux premières loges, puisqu'il habite au Quartier latin et y travaille dans une librairie militante, vouée à la critique du léninisme et des régimes qui s'en réclament. Il participe à la coordination des comités d'action des entreprises de la région parisienne. Surtout, le mouvement de Mai renforce sa conviction que « le monde va changer de base » et que les vieilles organisations du mouvement ouvrier, piliers de l'ordre existant, devront être balayées.
Le récit de ce cheminement qui, d'un « pied-noir » fera un « pied-rouge », d'un révolté un révolutionnaire, c'est aussi celui de rencontres, d'actions militantes, de réflexions qui ont influencé toute une génération, dont une partie continue à affirmer, comme François Cerutti : « La nécessité de changer ce monde est de plus en plus évidente et urgente. »Note de contenu : En appendice, choix de documents Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9039 D'Alger à Mai 68 : mes années de révolution [texte imprimé] / François Cerutti (1941-....), Auteur . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2010 . - 1 vol. (167 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 179) .
ISBN : 978-2-902963-61-4 : 13 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Biographies
Colonialisme
Histoire:Afrique:Algérie
Histoire:France:1945-1968
Histoire:France:1968
Histoire:France:1968->...Concepts : Histoire - évènements
Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie) ; France -- 1968 (Journées de mai)
Histoire - périodes
Algérie -- 1962-1992
Sans schéma
Révolutionnaires ; BiographiesIndex. décimale : 944.083 Histoire de France. Ve République, 1958- Résumé : Ceux qui, dans les années 1960 et 1970, ont cru à l'effondrement du vieux système d'exploitation et d'oppression, n'ont pas tous sublimé leur révolte et accepté de se couler dans les institutions.
Né à Alger en 1941, François Cerutti a rapidement rejoint ceux qui, en France, ont milité pour l'indépendance de l'Algérie. Pour lui, la révolte des peuples colonisés contre la domination criminelle des colonisateurs était un signe de l'imminence du renversement de la société bourgeoise. Insoumis, il part pour le Maroc. À Alger, de 1962 à 1965, il travaille dans une entreprise autogérée. Avec un petit groupe de membres de la IVe Internationale, il milite pour la consolidation du secteur autogéré face à la volonté de mainmise toujours plus forte du FLN et du gouvernement sur celui-ci.
En 1965, le coup d'État de Boumediène le fait rentrer en France, où l'armée l'oblige à faire le service militaire auquel il s'était soustrait. Il s'y heurtera à la bêtise et à la vindicte de l'institution, qui l'enverra pour quelques mois en prison.
Mai 68 le trouve aux premières loges, puisqu'il habite au Quartier latin et y travaille dans une librairie militante, vouée à la critique du léninisme et des régimes qui s'en réclament. Il participe à la coordination des comités d'action des entreprises de la région parisienne. Surtout, le mouvement de Mai renforce sa conviction que « le monde va changer de base » et que les vieilles organisations du mouvement ouvrier, piliers de l'ordre existant, devront être balayées.
Le récit de ce cheminement qui, d'un « pied-noir » fera un « pied-rouge », d'un révolté un révolutionnaire, c'est aussi celui de rencontres, d'actions militantes, de réflexions qui ont influencé toute une génération, dont une partie continue à affirmer, comme François Cerutti : « La nécessité de changer ce monde est de plus en plus évidente et urgente. »Note de contenu : En appendice, choix de documents Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9039 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 104620 Biographies CERUTTI Livre Bibliothèque principale Disponible Algérie 1954-1965, un combat anticolonialiste / Daniel Guérin
Titre : Algérie 1954-1965, un combat anticolonialiste Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Guérin (1904-1988), Auteur ; Mohammed Harbi, Préfacier, etc. ; Daniel Guerrier, Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2017 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 197 Importance : 1 vol. (250 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-94106-29-7 Prix : 14 EUR Langues : Français (fre) Concepts : Histoire - évènements
Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie)
Sans schéma
Colonies françaisesIndex. décimale : 965.04 Histoire de l'Algérie. 1900-1962 Résumé : Aujourd'hui, seules une minorité de la population française, et une minorité bien plus faible encore de la population algérienne, ont vécu les années de guerre qui ont abouti en 1962 à l'indépendance de l'Algérie.
Pourtant, cette période, les souffrances qu'elle a causées, suscitent encore de fortes émotions des deux côtés de la Méditerranée. L'Algérie en France, la France en Algérie restent des plaies ouvertes.
Il n'est donc pas inutile de revenir sur les conséquences qu'a eues la lutte des Algériens pour leur indépendance sur l'évolution politique des deux pays. Les conflits internes du côté algérien, la paralysie politique du côté français ont influencé de façon durable l'exercice du pouvoir dans les deux pays.
Militant anticolonialiste dès les années 1930, Daniel Guérin a soutenu avec lucidité pendant plus de trente ans le combat pour l'indépendance de l'Algérie. Il en a rendu compte sur le moment, ainsi que des positions de ses partisans ou adversaires français, dans de nombreux « articles de combat ». Les textes qui sont rassemblés dans ce livre donnent sous une forme ramassée et extrêmement vivante une large vue des événements qui ont abouti d'abord au retour de Charles de Gaulle au pouvoir en 1958, puis à l'indépendance de l'Algérie en 1962 et enfin au coup d'État de Houari Boumediene en 1965.
Daniel Guérin (1904-1988), militant révolutionnaire, anticolonialiste, fut aussi un militant de la cause homosexuelle. Son parcours politique l'amena sans sectarisme dans les rangs du syndicalisme révolutionnaire, de la gauche socialiste, des groupes trotskystes puis des organisations libertaires. Homme de lettres, historien, son œuvre continue à susciter un intérêt dont témoignent les rééditions récentes de ses livres.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10565 Algérie 1954-1965, un combat anticolonialiste [texte imprimé] / Daniel Guérin (1904-1988), Auteur ; Mohammed Harbi, Préfacier, etc. ; Daniel Guerrier, Préfacier, etc. . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2017 . - 1 vol. (250 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 197) .
ISBN : 979-10-94106-29-7 : 14 EUR
Langues : Français (fre)
Concepts : Histoire - évènements
Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie)
Sans schéma
Colonies françaisesIndex. décimale : 965.04 Histoire de l'Algérie. 1900-1962 Résumé : Aujourd'hui, seules une minorité de la population française, et une minorité bien plus faible encore de la population algérienne, ont vécu les années de guerre qui ont abouti en 1962 à l'indépendance de l'Algérie.
Pourtant, cette période, les souffrances qu'elle a causées, suscitent encore de fortes émotions des deux côtés de la Méditerranée. L'Algérie en France, la France en Algérie restent des plaies ouvertes.
Il n'est donc pas inutile de revenir sur les conséquences qu'a eues la lutte des Algériens pour leur indépendance sur l'évolution politique des deux pays. Les conflits internes du côté algérien, la paralysie politique du côté français ont influencé de façon durable l'exercice du pouvoir dans les deux pays.
Militant anticolonialiste dès les années 1930, Daniel Guérin a soutenu avec lucidité pendant plus de trente ans le combat pour l'indépendance de l'Algérie. Il en a rendu compte sur le moment, ainsi que des positions de ses partisans ou adversaires français, dans de nombreux « articles de combat ». Les textes qui sont rassemblés dans ce livre donnent sous une forme ramassée et extrêmement vivante une large vue des événements qui ont abouti d'abord au retour de Charles de Gaulle au pouvoir en 1958, puis à l'indépendance de l'Algérie en 1962 et enfin au coup d'État de Houari Boumediene en 1965.
Daniel Guérin (1904-1988), militant révolutionnaire, anticolonialiste, fut aussi un militant de la cause homosexuelle. Son parcours politique l'amena sans sectarisme dans les rangs du syndicalisme révolutionnaire, de la gauche socialiste, des groupes trotskystes puis des organisations libertaires. Homme de lettres, historien, son œuvre continue à susciter un intérêt dont témoignent les rééditions récentes de ses livres.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10565 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 102422 Histoire ALGERIE Livre Bibliothèque principale Disponible L'anarchisme aujourd'hui / Jean Barrué
Titre : L'anarchisme aujourd'hui Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Barrué (1902-1989), Auteur Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 2000 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 157 Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-902963-39-3 Prix : 9,15 EUR Note générale : Première édition : 1970 Langues : Français (fre) Catégories : Anarchisme:20e siècle
Anarchisme:Ouvrages historiques et générauxIndex. décimale : 320.57 Anarchisme Résumé : Mai 68 vit les rues parcourues non seulement de drapeaux rouges, mais également de drapeaux noirs, symboles de l’anarchie. Des thèmes autogestionnaires, anti-autoritaires, séduisirent nombre de participants aux évènements, en particulier chez les plus jeunes d’entre eux, sans qu’ils rejettent pour autant les appels des groupes marxistes-léninistes.
C’est pourquoi Jean Barrué jugea nécessaire de rappeler ce que sont les principes anarchistes de la transformation sociale, et tout particulièrement ce qui les séparent, depuis l’époque de Marx et de Bakounine, du socialisme marxiste. Ce dernier a trouvé sa concrétisation historique dans le léninisme : conquête par les communistes du pouvoir d’État et exercice par celui-ci de la dictature du prolétariat. C’était là la perspective exprimée par Marx et Engels dans le Manifeste du parti communiste : « Le prolétariat se servira de sa suprématie politique… pour centraliser tous les instruments de production entre les mains de l’État, c’est-à-dire du prolétariat organisé en classe dominante… » Et Marx précise ce qu’est cet État : « Entre la société capitaliste et la société communiste se situe la période de transformation révolutionnaire de la première en la seconde. À quoi correspond une période de transition politique, où l’État ne saurait être autre chose que la dictature révolutionnaire du prolétariat. »
Selon Jean Barrué, « pour les anarchistes, la révolution ne peut être que l’œuvre des organisations économiques propres à la classe ouvrière, si cette classe veut gérer la production et la distribution et si elle en est capable…L’organisation économique du travail remplacera l’organisation politique…Les derniers vestiges des fonctions traditionnelles de l’État disparaîtront et l’on s’acheminera vers cette ‘association libre et égale des producteurs’ dont parlait Engels. »
Jean Barrué aborde différents aspects des conceptions et de la pratique anarchistes : sur l’État et sa destruction, sur la société post-révolutionnaire, mais aussi sur les hiérarchies, sur le syndicalisme, sur les rapports entre l’anarchisme et l’individu.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3683 L'anarchisme aujourd'hui [texte imprimé] / Jean Barrué (1902-1989), Auteur . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 2000 . - 1 vol. (96 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 157) .
ISBN : 978-2-902963-39-3 : 9,15 EUR
Première édition : 1970
Langues : Français (fre)
Catégories : Anarchisme:20e siècle
Anarchisme:Ouvrages historiques et générauxIndex. décimale : 320.57 Anarchisme Résumé : Mai 68 vit les rues parcourues non seulement de drapeaux rouges, mais également de drapeaux noirs, symboles de l’anarchie. Des thèmes autogestionnaires, anti-autoritaires, séduisirent nombre de participants aux évènements, en particulier chez les plus jeunes d’entre eux, sans qu’ils rejettent pour autant les appels des groupes marxistes-léninistes.
C’est pourquoi Jean Barrué jugea nécessaire de rappeler ce que sont les principes anarchistes de la transformation sociale, et tout particulièrement ce qui les séparent, depuis l’époque de Marx et de Bakounine, du socialisme marxiste. Ce dernier a trouvé sa concrétisation historique dans le léninisme : conquête par les communistes du pouvoir d’État et exercice par celui-ci de la dictature du prolétariat. C’était là la perspective exprimée par Marx et Engels dans le Manifeste du parti communiste : « Le prolétariat se servira de sa suprématie politique… pour centraliser tous les instruments de production entre les mains de l’État, c’est-à-dire du prolétariat organisé en classe dominante… » Et Marx précise ce qu’est cet État : « Entre la société capitaliste et la société communiste se situe la période de transformation révolutionnaire de la première en la seconde. À quoi correspond une période de transition politique, où l’État ne saurait être autre chose que la dictature révolutionnaire du prolétariat. »
Selon Jean Barrué, « pour les anarchistes, la révolution ne peut être que l’œuvre des organisations économiques propres à la classe ouvrière, si cette classe veut gérer la production et la distribution et si elle en est capable…L’organisation économique du travail remplacera l’organisation politique…Les derniers vestiges des fonctions traditionnelles de l’État disparaîtront et l’on s’acheminera vers cette ‘association libre et égale des producteurs’ dont parlait Engels. »
Jean Barrué aborde différents aspects des conceptions et de la pratique anarchistes : sur l’État et sa destruction, sur la société post-révolutionnaire, mais aussi sur les hiérarchies, sur le syndicalisme, sur les rapports entre l’anarchisme et l’individu.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3683 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 101961 Anarchisme XXe SIECLE Livre Bibliothèque principale Disponible L'anarchisme aujourd'hui / Jean Barrué
Titre : L'anarchisme aujourd'hui : l'inédit de Michel Bakounine ; la réaction en Allemagne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Barrué (1902-1989), Auteur ; Michel Bakounine (1814-1876), Auteur Editeur : Paris [France] : Les Amis de Spartacus Année de publication : 1970 Collection : Cahiers série B, ISSN 0758-3052 num. 35 Importance : 1 vol. (104 p.) Format : 19 cm Note générale : Réédité en 2000 Langues : Français (fre) Catégories : Anarchisme:20e siècle
Anarchisme:Ouvrages historiques et générauxIndex. décimale : 320.57 Anarchisme Résumé : Mai 68 vit les rues parcourues non seulement de drapeaux rouges, mais également de drapeaux noirs, symboles de l’anarchie. Des thèmes autogestionnaires, anti-autoritaires, séduisirent nombre de participants aux évènements, en particulier chez les plus jeunes d’entre eux, sans qu’ils rejettent pour autant les appels des groupes marxistes-léninistes.
C’est pourquoi Jean Barrué jugea nécessaire de rappeler ce que sont les principes anarchistes de la transformation sociale, et tout particulièrement ce qui les séparent, depuis l’époque de Marx et de Bakounine, du socialisme marxiste. Ce dernier a trouvé sa concrétisation historique dans le léninisme : conquête par les communistes du pouvoir d’État et exercice par celui-ci de la dictature du prolétariat. C’était là la perspective exprimée par Marx et Engels dans le Manifeste du parti communiste : « Le prolétariat se servira de sa suprématie politique… pour centraliser tous les instruments de production entre les mains de l’État, c’est-à-dire du prolétariat organisé en classe dominante… » Et Marx précise ce qu’est cet État : « Entre la société capitaliste et la société communiste se situe la période de transformation révolutionnaire de la première en la seconde. À quoi correspond une période de transition politique, où l’État ne saurait être autre chose que la dictature révolutionnaire du prolétariat. »
Selon Jean Barrué, « pour les anarchistes, la révolution ne peut être que l’œuvre des organisations économiques propres à la classe ouvrière, si cette classe veut gérer la production et la distribution et si elle en est capable…L’organisation économique du travail remplacera l’organisation politique…Les derniers vestiges des fonctions traditionnelles de l’État disparaîtront et l’on s’acheminera vers cette ‘association libre et égale des producteurs’ dont parlait Engels. »
Jean Barrué aborde différents aspects des conceptions et de la pratique anarchistes : sur l’État et sa destruction, sur la société post-révolutionnaire, mais aussi sur les hiérarchies, sur le syndicalisme, sur les rapports entre l’anarchisme et l’individu.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4852 L'anarchisme aujourd'hui : l'inédit de Michel Bakounine ; la réaction en Allemagne [texte imprimé] / Jean Barrué (1902-1989), Auteur ; Michel Bakounine (1814-1876), Auteur . - Paris [France] : Les Amis de Spartacus, 1970 . - 1 vol. (104 p.) ; 19 cm. - (Cahiers série B, ISSN 0758-3052; 35) .
Réédité en 2000
Langues : Français (fre)
Catégories : Anarchisme:20e siècle
Anarchisme:Ouvrages historiques et générauxIndex. décimale : 320.57 Anarchisme Résumé : Mai 68 vit les rues parcourues non seulement de drapeaux rouges, mais également de drapeaux noirs, symboles de l’anarchie. Des thèmes autogestionnaires, anti-autoritaires, séduisirent nombre de participants aux évènements, en particulier chez les plus jeunes d’entre eux, sans qu’ils rejettent pour autant les appels des groupes marxistes-léninistes.
C’est pourquoi Jean Barrué jugea nécessaire de rappeler ce que sont les principes anarchistes de la transformation sociale, et tout particulièrement ce qui les séparent, depuis l’époque de Marx et de Bakounine, du socialisme marxiste. Ce dernier a trouvé sa concrétisation historique dans le léninisme : conquête par les communistes du pouvoir d’État et exercice par celui-ci de la dictature du prolétariat. C’était là la perspective exprimée par Marx et Engels dans le Manifeste du parti communiste : « Le prolétariat se servira de sa suprématie politique… pour centraliser tous les instruments de production entre les mains de l’État, c’est-à-dire du prolétariat organisé en classe dominante… » Et Marx précise ce qu’est cet État : « Entre la société capitaliste et la société communiste se situe la période de transformation révolutionnaire de la première en la seconde. À quoi correspond une période de transition politique, où l’État ne saurait être autre chose que la dictature révolutionnaire du prolétariat. »
Selon Jean Barrué, « pour les anarchistes, la révolution ne peut être que l’œuvre des organisations économiques propres à la classe ouvrière, si cette classe veut gérer la production et la distribution et si elle en est capable…L’organisation économique du travail remplacera l’organisation politique…Les derniers vestiges des fonctions traditionnelles de l’État disparaîtront et l’on s’acheminera vers cette ‘association libre et égale des producteurs’ dont parlait Engels. »
Jean Barrué aborde différents aspects des conceptions et de la pratique anarchistes : sur l’État et sa destruction, sur la société post-révolutionnaire, mais aussi sur les hiérarchies, sur le syndicalisme, sur les rapports entre l’anarchisme et l’individu.Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4852 Anarchisme et organisation / Rudolf Rocker
PermalinkAnthologie 1956-1970 / Noir et Rouge
PermalinkBarricades à Barcelone / Agustín Guillamón
PermalinkLe capitalisme high tech / Jean-Pierre Garnier
PermalinkLa Commune de 1871 / C. Talès
PermalinkLe communisme n'a pas encore commencé / Claude Bitot
PermalinkDe la conscience en politique / Wilhelm Reich
PermalinkLe curé rouge / Dominic Rousseau
PermalinkAu-delà du parti
PermalinkLes dissidents du monde occidental / Louis Janover
PermalinkEspagne 1936-1937 / Henri Paechter
PermalinkEugène Varlin / Michel Cordillot
PermalinkLe gauchisme / Richard Gombin
PermalinkGracchus Babeuf pour le bonheur commun / Jean-Marc Schiappa
PermalinkLa grève généralisée en France / Informations correspondance ouvrières (ICO)
PermalinkGuérilleros, France 1944 / Christophe Castellano
PermalinkHaymarket / Albert Richard Parsons
PermalinkHomosexualité et révolution / Daniel Guérin
PermalinkJeanne Humbert et la lutte pour le contrôle des naissances / Roger-Henri Guerrand
PermalinkJuin 1848 / Victor Marouck
PermalinkLuttes sociales au temps des corporations / Jean-Jacques Soudeille
PermalinkLa makhnovchtchina / Pierre Archinov
PermalinkMarx et Engels poètes romantiques / Marcel Ollivier
PermalinkMilitants contre la guerre 1914-1918 / Julien Chuzeville
PermalinkNotes pour servir à l'histoire de la Commune de Paris de 1871 / Jules Andrieu
PermalinkLa peste brune / Daniel Guérin
PermalinkPologne, chroniques d'une société clandestine / Solidarité combattante
PermalinkRepenser la révolution / Claude Bitot
PermalinkLa République des conseils de Bavière / Erich Mühsam
PermalinkLa révolte des Canuts / Jacques Perdu
PermalinkLa révolution mexicaine de Ricardo Flores Magon / Ricardo Flores Magon
PermalinkRévolutionnaires en Catalogne, 1936-1937 / Deutsche Anarcho-Syndikalisten in Ausland
PermalinkRosa Luxemburg / John Peter Nettl
PermalinkLes socialismes : l'histoire sans fin / André Fontaine
PermalinkLes soviets trahis par les bolcheviks / Rudolf Rocker
PermalinkStaline, Trotski, l'héritage de Lénine / Willy Huhn
PermalinkVenezuela, révolution ou spectacle ? / Rafael Uzcategui
Permalink