| Titre : |
Les Yeux plus grands que le ventre |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
François Cavanna (1923-2014), Auteur |
| Editeur : |
Paris : Belfond |
| Année de publication : |
1983 |
| Importance : |
314 p. |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
23 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
2-7144-1551-2 |
| Prix : |
75 F |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
« Trente-cinq ans. L'âge des ogresses qui rôdent, claquant des mâchoires. L'âge des mantes religieuses. Les redoutables divorcées de trente-cinq ans. Petit homme triste qui rêve d'un gros doux cul pour y poser ta tête, petit homme triste, si tu en vois une à l'horizon, fuis à toutes jambes, fuis ! »
Sur leurs hauts talons pointus, belles mille fois plus qu'à dix-huit ans, tendres et juteuses, et malheureuses, et tellement, tellement, tellement compréhensives, elles t'auront jusqu'au trognon, petit homme triste, jusqu'au trognon.
Les refaiseuses de vie, les redémarreuses à zéro-mais-cette-fois-c'est-la-bonne... Elles sont sans pitié, petit homme, car il y va de leur peau. Fuis. Ou sois sans pitié toi-même. Si tu le peux. Mais tu ne le peux pas, petit homme triste, tu ne le peux pas. Alors, fuis, cours, vite et loin, sans te retourner. » (Cavanna)
Il y a eu Les Ritals. Il y a eu Les Russkoffs. Il y a eu Bête et méchant. Voici Les yeux plus grands que le ventre. Suite et fin ? |
| Permalink : |
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Les Yeux plus grands que le ventre [texte imprimé] / François Cavanna (1923-2014), Auteur . - Paris : Belfond, 1983 . - 314 p. : couv. ill. en coul. ; 23 cm. ISBN : 2-7144-1551-2 : 75 F Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
« Trente-cinq ans. L'âge des ogresses qui rôdent, claquant des mâchoires. L'âge des mantes religieuses. Les redoutables divorcées de trente-cinq ans. Petit homme triste qui rêve d'un gros doux cul pour y poser ta tête, petit homme triste, si tu en vois une à l'horizon, fuis à toutes jambes, fuis ! »
Sur leurs hauts talons pointus, belles mille fois plus qu'à dix-huit ans, tendres et juteuses, et malheureuses, et tellement, tellement, tellement compréhensives, elles t'auront jusqu'au trognon, petit homme triste, jusqu'au trognon.
Les refaiseuses de vie, les redémarreuses à zéro-mais-cette-fois-c'est-la-bonne... Elles sont sans pitié, petit homme, car il y va de leur peau. Fuis. Ou sois sans pitié toi-même. Si tu le peux. Mais tu ne le peux pas, petit homme triste, tu ne le peux pas. Alors, fuis, cours, vite et loin, sans te retourner. » (Cavanna)
Il y a eu Les Ritals. Il y a eu Les Russkoffs. Il y a eu Bête et méchant. Voici Les yeux plus grands que le ventre. Suite et fin ? |
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Les Yeux plus grands que le ventre
