BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff
La BAM est ouverte au public le samedi de 16h à 19h.
Ce catalogue est en cours de construction et commence à ressembler à l'état du fonds documentaire à disposition (près de 6000 titres). Attention : l'information sur la disponibilité des exemplaires (les ouvrages sont-ils en rayon ou empruntés ?) n'est pas fiable.
Résultat de la recherche
2 recherche sur le mot-clé 'Anthropologie politique'
Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
La Société contre l'état / Pierre Clastres
Titre : La Société contre l'état : recherches d'anthropologie politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Clastres (1934-1977), Auteur Editeur : Paris : Editions de Minuit Année de publication : 1974 Collection : Critique num. 16 Importance : 1 vol. (186 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0021-8 Prix : 15,00 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : État Anthropologie politique Index. décimale : 320.1 L’État Résumé : Le problème du pouvoir politique dans les sociétés primitives. S’appuyant sur les sociétés indiennes d’Amérique du Sud, l’auteur démontre les mécanismes qui règlent leur fonctionnement. Au terme de ce travail d’analyse, on est amené à découvrir que les sociétés primitives ne sont pas seulement des sociétés sans État, mais, bien plus, des sociétés contre l’État.
« Quand, dans la société primitive, l’économique se laisse repérer comme champ autonome et défini, quand l’activité de production devient travail aliéné, comptabilisé et imposé par ceux qui vont jouir des fruits de ce travail, c’est que la société n’est plus primitive, c’est qu’elle est devenue une société divisée en dominants et dominés, en maîtres et sujets, c’est qu’elle a cessé d’exorciser ce qui est destiné à la tuer : le pouvoir et le respect du pouvoir. La division majeure de la société, celle qui fonde toutes les autres, y compris sans doute la division du travail, c’est la nouvelle disposition verticale entre la base et le sommet, c’est la grande coupure politique entre détenteurs de la force, qu’elle soit guerrière ou religieuse, et assujettis à cette force. La relation politique de pouvoir précède et fonde la relation économique d’exploitation. Avant d’être économique, l’aliénation est politique, le pouvoir est avant le travail, l’économique est une dérive du politique, l’émergence de l’État détermine l’apparition des classes. »Note de contenu : Notes bibliogr.. Index
Chapitre 1 : Copernic et les sauvages – Chapitre 2 : Échange et pouvoir : philosophie de la chefferie indienne – Chapitre 3 : Indépendance et exogamie – Chapitre 4 : Élément de démographie amérindienne – Chapitre 5 : L’arc et le panier – Chapitre 6 : De quoi rient les Indiens – Chapitre 7 : Le devoir de parole – Chapitre 8 : Prophètes dans la jungle – Chapitre 9 : De l’un sans le multiple – Chapitre 10 : De la torture dans les sociétés primitives – Chapitre 11 : La société contre l’ÉtatPermalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4713 La Société contre l'état : recherches d'anthropologie politique [texte imprimé] / Pierre Clastres (1934-1977), Auteur . - Paris : Editions de Minuit, 1974 . - 1 vol. (186 p.) ; 22 cm. - (Critique; 16) .
ISBN : 978-2-7073-0021-8 : 15,00 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : État Anthropologie politique Index. décimale : 320.1 L’État Résumé : Le problème du pouvoir politique dans les sociétés primitives. S’appuyant sur les sociétés indiennes d’Amérique du Sud, l’auteur démontre les mécanismes qui règlent leur fonctionnement. Au terme de ce travail d’analyse, on est amené à découvrir que les sociétés primitives ne sont pas seulement des sociétés sans État, mais, bien plus, des sociétés contre l’État.
« Quand, dans la société primitive, l’économique se laisse repérer comme champ autonome et défini, quand l’activité de production devient travail aliéné, comptabilisé et imposé par ceux qui vont jouir des fruits de ce travail, c’est que la société n’est plus primitive, c’est qu’elle est devenue une société divisée en dominants et dominés, en maîtres et sujets, c’est qu’elle a cessé d’exorciser ce qui est destiné à la tuer : le pouvoir et le respect du pouvoir. La division majeure de la société, celle qui fonde toutes les autres, y compris sans doute la division du travail, c’est la nouvelle disposition verticale entre la base et le sommet, c’est la grande coupure politique entre détenteurs de la force, qu’elle soit guerrière ou religieuse, et assujettis à cette force. La relation politique de pouvoir précède et fonde la relation économique d’exploitation. Avant d’être économique, l’aliénation est politique, le pouvoir est avant le travail, l’économique est une dérive du politique, l’émergence de l’État détermine l’apparition des classes. »Note de contenu : Notes bibliogr.. Index
Chapitre 1 : Copernic et les sauvages – Chapitre 2 : Échange et pouvoir : philosophie de la chefferie indienne – Chapitre 3 : Indépendance et exogamie – Chapitre 4 : Élément de démographie amérindienne – Chapitre 5 : L’arc et le panier – Chapitre 6 : De quoi rient les Indiens – Chapitre 7 : Le devoir de parole – Chapitre 8 : Prophètes dans la jungle – Chapitre 9 : De l’un sans le multiple – Chapitre 10 : De la torture dans les sociétés primitives – Chapitre 11 : La société contre l’ÉtatPermalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4713 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100505 Anthropologie CLASTRES Livre Bibliothèque principale Disponible Pour une anthropologie anarchiste / David Graeber
Titre : Pour une anthropologie anarchiste Type de document : texte imprimé Auteurs : David Graeber, Auteur ; Karine Peschard, Traducteur Editeur : Montréal (Québec) : Lux Année de publication : 2006 Collection : Instinct de liberté num. 11 Importance : 1 vol. (164 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89596-037-9 Prix : 16 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame) Mots-clés : Anarchisme Anthropologie politique Index. décimale : 320.57 Anarchisme Résumé : L’anarchisme, en tant que philosophie politique, est en plein essor. De fondement de l’organisation dans le mouvement altermondialiste qu’ils étaient, les principes anarchistes traditionnels -- autonomie, association volontaire, autogestion, entraide, démocratie directe -- en sont venus à jouer ce rôle dans des mouvements radicaux de toutes sortes dans le monde entier. Et pourtant, cela n’a eu presque aucun écho dans le milieu universitaire. Les anarchistes interrogent souvent les anthropologues sur leurs idées quant aux diverses façons d’organiser la société sur des bases plus égalitaires, moins aliénantes. Les anthropologues, terrifiés à l’idée de se voir accusés de romantisme, n’ont pour seule réponse que leur silence. Et s’il en était autrement ? « On peut penser, à tout le moins, qu’être un professeur ouvertement anarchiste signifierait, remettre en question la façon dont les universités sont gérées --cela non pas en demandant un département d’études anarchistes --, ce qui, bien sûr, lui attirerait beaucoup plus d’ennuis que tout ce qu’il pourrait écrire par ailleurs. » Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3370 Pour une anthropologie anarchiste [texte imprimé] / David Graeber, Auteur ; Karine Peschard, Traducteur . - Montréal (Québec) : Lux, 2006 . - 1 vol. (164 p.) ; 18 cm. - (Instinct de liberté; 11) .
ISBN : 978-2-89596-037-9 : 16 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame)
Mots-clés : Anarchisme Anthropologie politique Index. décimale : 320.57 Anarchisme Résumé : L’anarchisme, en tant que philosophie politique, est en plein essor. De fondement de l’organisation dans le mouvement altermondialiste qu’ils étaient, les principes anarchistes traditionnels -- autonomie, association volontaire, autogestion, entraide, démocratie directe -- en sont venus à jouer ce rôle dans des mouvements radicaux de toutes sortes dans le monde entier. Et pourtant, cela n’a eu presque aucun écho dans le milieu universitaire. Les anarchistes interrogent souvent les anthropologues sur leurs idées quant aux diverses façons d’organiser la société sur des bases plus égalitaires, moins aliénantes. Les anthropologues, terrifiés à l’idée de se voir accusés de romantisme, n’ont pour seule réponse que leur silence. Et s’il en était autrement ? « On peut penser, à tout le moins, qu’être un professeur ouvertement anarchiste signifierait, remettre en question la façon dont les universités sont gérées --cela non pas en demandant un département d’études anarchistes --, ce qui, bien sûr, lui attirerait beaucoup plus d’ennuis que tout ce qu’il pourrait écrire par ailleurs. » Permalink : https://bi.b-a-m.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3370 Exemplaires (1)
Code-barres Section Cote Support Localisation Disponibilité 100658 Anthropologie GRAEBER Livre Bibliothèque principale Disponible